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ons, remplaçait le pouvoir central par une simple
Diète
composée de plénipotentiaires des États, et supprimait le terme de «
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ne pouvait parler au nom de la Suisse entière. La
Diète
représentant 25 États souverains, l’unanimité pratiquement requise po
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hâter l’avènement d’une Suisse unie. En 1832, la
Diète
admit, sous la pression des cantons « régénérés », le principe d’une
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upant ». Il décrivait la paralysie qui frappe une
Diète
formée de délégués d’États souverains et non de députés des peuples :
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t les catholiques le jugèrent révolutionnaire. La
Diète
l’enterra en 1833, après l’avoir plusieurs fois renvoyé à des commiss
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e » restait à l’ordre du jour, même au sein de la
Diète
qui l’avait rejetée ; Les adversaires du Projet d’union l’avaient dén
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phère de réconciliation nationale ainsi créée, la
Diète
décida d’entreprendre sans plus de délai la rédaction d’une Constitut
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et fort. La commission de révision, nommée par la
Diète
et comprenant un délégué par canton, se réunit pour la première fois
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ayant été transmis préalablement aux cantons, la
Diète
en aborda l’examen. Une première lecture, un renvoi de quelques artic
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t lieu pendant le mois d’août. Le 4 septembre, la
Diète
se réunit une dernière fois pour prendre connaissance des résultats :
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ida à la rédaction du projet, à son examen par la
Diète
, à sa ratification par les cantons et les peuples, et à sa mise en vi