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de l’Occident 5. — L’Orient et l’Occident ne sont
donc
pas seulement des entités géographiques faciles à situer, sinon à lim
2
i le Japon l’Occident de l’Amérique ! Elle révèle
donc
une forme de l’âme, une pente de l’âme, voire une « orientation » de
3
ascèse soumettant le corps et le mental à l’âme,
donc
délivrant celle-ci des liens de Prakriti (le monde manifesté, qui est
4
roits distincts, ni de sa chance, ni d’un miroir,
donc
ni d’une personnalité ni d’un visage. « On peut aller jusqu’à prétend
5
il n’est pas de dialogue possible, ni d’appel, ni
donc
de vocation, ni par suite de personne. De là découle un monde de cons
6
ent nos nations depuis des siècles. Il n’y aurait
donc
, à les en croire, pas de différences bien notables (dans le domaine d
7
enable au plan de la nation. Comment le serait-il
donc
au plan de l’Europe entière ? On nous dit que les contrastes entre Al
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de se déplacer au cours des temps. Elle ne serait
donc
définissable que par sa culture, qui ne l’est guère. Conclusion : il
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connue que ses limites. L’Europe ne serait-elle
donc
pas née du tout, parce qu’on ne s’accorde pas sur sa date de naissanc
10
seulement qu’on ne peut la vouloir et la faire —
donc
l’unir par des liens fédéraux — si d’abord on nie qu’elle existe comm
11
fait pas être : la plupart des “européens” furent
donc
des sophistes. Guéhenno dirigeait la revue : Europe, il ne pensait pa
12
on si elle leur en superpose un nouveau. Pourquoi
donc
accorderais-je au fédéralisme ce que je refusais au chauvinisme ? Il
13
Morale athéiste. Tout ce qui compte en Europe est
donc
antibourgeois, j’entends bien dans le domaine de l’éthique et de l’es
14
isation croissante des travailleurs. L’URSS était
donc
l’avenir, tandis que les USA se voyaient condamnés par le « mouvement
15
et le Centre neutralisé. Sa décadence paraissait
donc
irréversible. Le mouvement vers l’union fédérale, déclenché au lendem
16
économique, ni commercer comme il l’entend. Aucun
donc
n’est indépendant. Mais ils peuvent l’être tous ensemble, et ils comm
17
nière de parler abusivement prise à la lettre, et
donc
fautive. Les machines envahissent nos vies ? Si seulement ! Car elles
18
agace, vous vous décidez à répondre. Vous n’êtes
donc
pas l’esclave du téléphone, mais de votre seule curiosité. Le règne d
19
posaient la machine et la chaîne. Le remède était
donc
le robot, dont l’application générale prit récemment le nom anglais d
20
ines et propose un sens moral au lecteur ». C’est
donc
sa récente Aventure de l’homme occidental (Albin Michel, éd.) qui est
21
ible ? Rougemont ? Un Suisse ? Un étranger ? J’ai
donc
aujourd’hui ma revanche. Aux photographes qui me mitraillaient de fla
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sept ans. Son exemple peut éclairer. J’essaierai
donc
de le décrire, très brièvement, pour illustrer les considérations, un
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dans le cadre d’un programme commun. Quelles sont
donc
les grandes lignes de ce programme ? Laissant de côté des réalisation
24
es forces pendant qu’il en est temps. Le Centre a
donc
suscité dans plusieurs de nos pays des expériences-pilotes d’éducati
25
’une institution unique et compétente. L’Europe a
donc
besoin d’un ministère des Affaires étrangères européennes. Mais de mê
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au nom de l’Europe entière, sûre de sa vocation,
donc
ouverte à l’avenir. 19. On parle 6 langues en France, 4 en Suisse,
27
sentiment les lois de leur communauté. Il s’agit
donc
de transférer le pouvoir à quelque « plus vaste unité ». Mais la Soci
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d’Hitler une forte page de rhétorique. Nous voici
donc
ramenés à la nécessité d’une autorité supérieure à celle des nations
29
le Jura, le lac de Constance et le Léman, n’était
donc
encore, après cinq siècles, guère plus qu’une simple Ligue d’États so
30
ndise pour la peser ». Le trafic étranger évitait
donc
la Suisse. Bien plus, un industriel de Saint-Gall avait intérêt à fai
31
Metternich, ou de la Grande-Bretagne, finissaient
donc
, dans la plupart des cas, par imposer la décision. « Je mènerai ces g
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de l’union dans la diversité. Le fédéralisme doit
donc
souligner le thème de l’union quand les diversités tendent à devenir
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la systole et la diastole du cœur humain. Europe,
donc
, cœur du monde, et jamais plus qu’au siècle où, par nos œuvres et nos
34
as les moyens. L’Europe dans son ensemble se voit
donc
appelée par la conjoncture historique à rester ou à redevenir — désor
35
ntière et sa culture. » Aucun de nos pays ne peut
donc
bénéficier du crédit qui s’attache à l’Europe tout entière, s’il se p
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ser, si toutefois l’histoire continue. Anticipons
donc
sur l’histoire et mettons entre parenthèses l’ère des souverainetés n
37
le et foyer de rayonnement planétaire, ne saurait
donc
être conçue selon le modèle archaïque d’un État-nation. Les questions
38
ussir les Six » sans vouloir davantage conduirait
donc
nécessairement à rater les Six et à agir contre l’Europe, qui se verr
39
tant mortelles, la nôtre aussi pourrait périr, va
donc
probablement périr. Pour émouvante qu’elle soit, elle exprime, à mon
40
idu dans la marche de l’Histoire » et qu’il obéit
donc
, comme tout individu, à une loi de croissance, d’épanouissement et de
41
elle une civilisation comme les autres ? Est-elle
donc
vraiment comparable à celles qui l’ont précédée ? Son destin peut-il
42
ien pouvoir décider sur ce point, force nous sera
donc
de rechercher d’abord quelle est l’originalité de notre civilisation
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perpétuelle session contradictoire. Nous pouvons
donc
expliquer par des motifs religieux et philosophiques l’un des caractè
44
actes à la fois devant Dieu et devant la société,
donc
devant son destin sur la terre comme au ciel. De ce destin, il se cro
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use, et toujours à l’exportation de nos produits,
donc
au total, à l’expansion. Que ce mouvement ait été baptisé « impériali
46
t humains. Ces très hautes civilisations devaient
donc
nécessairement demeurer régionales, et décliner dans les limites de l
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age. La mortalité des civilisations nous apparaît
donc
très variable. Certes, plusieurs ont disparu sans nous laisser d’autr
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rique, qui est une invention de l’Europe ! Où est
donc
dans tout cela « l’éclipse » de l’Europe ? Je vais le dire : dans l’e
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sme, art et science de l’union dans la diversité,
donc
art et science œcuméniques, universels par excellence ; — et la secon
50
dans la mesure où il tend à se normaliser. Plutôt
donc
que de retracer la chronique des triomphes et des méfaits du national
51
, esprit messianique, etc.) ; son bien se confond
donc
avec le bien de l’humanité, et ses ennemis sont ceux de la paix unive
52
stice ; sinon c’est qu’il n’existe pas ; il n’y a
donc
plus d’instance supérieure à la nation, ni plus d’appel possible cont
53
artir la liberté et le bonheur du monde. Il faut
donc
protéger par les armes cette France qui annonce la paix universelle e
54
», que Vergniaud célèbre en ces termes : Chantez
donc
, chantez une victoire qui sera celle de l’humanité. Il a péri des hom
55
es pas les représentants du genre humain. Je veux
donc
que le législateur de la France oublie un instant l’univers pour ne s
56
sais pour former de véritables Nations. Il s’agit
donc
de pousser vivement ce processus, si l’on veut sortir de l’état d’ana
57
ent après un laps de temps déterminé. Il lui faut
donc
prendre des mesures permettant d’atteindre bientôt sûrement ce but. I
58
ermeture totale des monades nationales, succédera
donc
un jour, selon Fichte, l’expansion triomphale de la culture européenn
59
ctère, mais c’est son esprit national. » (On voit
donc
que nation et Patrie diffèrent pour lui comme esprit et nature.) Cet
60
atteint sa pleine vigueur (surtout en s’opposant,
donc
par la guerre), puis fatalement décline et meurt. Chaque peuple mûri
61
incarne le plus haut concept de l’Esprit. Voilà
donc
les peuples élevés à la dignité d’intentions particulières de l’espri
62
e de ces pèlerins, et tu ne m’as pas écoutée ; va
donc
en servitude, là où il y aura le sifflement du knout et le cliquetis
63
agne qu’est venue la division de l’Église, il est
donc
du devoir de ce pays, plus que de tout autre, de recréer la communaut
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es ancestrales de la Russie paysanne, adversaires
donc
de « l’Europe », et cette revue s’intitule Europa ! Par la plume d’Iv
65
dans l’histoire mondiale. La primauté appartient
donc
à l’ensemble européen, qu’il définit comme le domaine « romano-german
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(Or) le fait de la race, capital à l’origine, va
donc
toujours perdant de son importance. L’histoire humaine diffère essent
67
u Pouvoir, d’une uniformité imposée par la force.
Donc
, d’une part unité traditionnelle, originelle, innée à la culture et d
68
perpétuelle session contradictoire. Nous pouvons
donc
expliquer par des motifs religieux et philosophiques l’un des caractè
69
actes à la fois devant Dieu et devant la société,
donc
devant son destin sur la terre comme au ciel, destin dont il se croit
70
d’une agression délibérée de notre part. Je pense
donc
que le dynamisme de notre civilisation européenne provient plutôt de
71
un livre, et je l’ai déjà écrit37. Je me bornerai
donc
à vous rappeler, mais avec la plus vive insistance, que ce n’est pas
72
et volonté de vérité à n’importe quel prix. Voici
donc
notre situation dans le monde du xxe siècle : Nos créations les plus
73
ne notre idéal de l’amour du prochain. On ne peut
donc
pas encore affirmer que notre culture soit devenue réellement univers
74
re titre : Congrès, Liberté, Culture. Nous sommes
donc
d’abord un Congrès — un congrès permanent, il est vrai, puisqu’il a t
75
ir une tradition où l’on se sente chez soi. C’est
donc
d’abord permettre à l’homme de se situer à sa place dans le monde, et
76
t transmettre et situer Le pire danger, c’est
donc
l’absence de sens : le sentiment de l’absurdité d’une vie sans but. O
77
ir une tradition où l’on se sente chez soi. C’est
donc
d’abord permettre à l’homme de se situer à sa place dans le monde, et
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us soyons d’abord anti-ceci ou cela… J’insisterai
donc
à mon tour. Au-delà de la politique : Liberté, Progrès et Bien
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artie par le seul fait qu’il le conteste ? C’est
donc
dans le fait de notre exceptionnelle diversité, non pas subie mais ja
80
u Pouvoir, d’une uniformité imposée par la force.
Donc
, d’une part unité traditionnelle, originelle, innée à la culture et d
81
actes à la fois devant Dieu et devant la société,
donc
devant son destin sur la terre comme au ciel, destin dont il se croit
82
sacré, dans notre civilisation profane. Je pense
donc
que le dynamisme de notre civilisation européenne provient plutôt de
83
se trouve que je l’ai déjà écrit. Je me bornerai
donc
à rappeler, mais avec la plus vive insistance, que ce n’est pas par h
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et volonté de vérité à n’importe quel prix. Voici
donc
notre situation dans le monde du xxe siècle : Nos créations les plus
85
ne notre idéal de l’amour du prochain. On ne peut
donc
pas encore affirmer que notre culture soit devenue réellement univers
86
nnent à qui sait entreprendre, et qu’ils seraient
donc
trouvés dans la mesure même où les activités paraîtraient effectives
87
nvaincantes. Deux départements spécialisés furent
donc
créés sans plus attendre : celui de l’éducation et celui des Beaux-Ar
88
gueur en formules de biochimie. De quoi s’agit-il
donc
ici ? Entre le corps et l’intellect, la tradition distingue une trois
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réalité est lourdement présente. Elle ne saurait
donc
que freiner l’élan de l’âme vers l’Ange désiré. « Ce n’est pas amour,
90
s de roman, ni de passion mortelle, il n’y aurait
donc
pas eu de mythe. On ne saurait imaginer le grand roi Marc s’inclinant
91
de l’archétype de Tristan et Iseut. Ils cherchent
donc
partout l’obstacle qui résiste, et n’en trouvent guère. L’Homme sans
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appeler le souvenir d’un prédécesseur. Il lui fut
donc
loisible d’y indiquer d’intéressantes théories sur le roman de Trista
93
nt pu quitter Genève à cause du brouillard. C’est
donc
en son absence que M. Guiette a rappelé que “de ses observations sur
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toute l’évolution culturelle de l’Occident. C’est
donc
dans la technique, par son intermédiaire et à son sujet, que la cultu
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mieux vérifiable. Le sujet de mes réflexions sera
donc
: l’interaction de la culture et de la technique au sein de la civili
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progrès si elle se coupe de la culture. Je pense
donc
que l’opposition entre la culture générale et une éducation spécialis
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uoi l’homme fabrique-t-il des outils ? Quels sont
donc
les motifs profonds de la technique ? Tout le xixe siècle répond en
98
os rêves constants qui détermine nos découvertes,
donc
nos techniques. Mais nos rêves à leur tour, d’où viennent-ils ? Ils e
99
e qui a créé notre culture ; — la technique n’est
donc
pas un destin objectif et que nous aurions à subir, mais bien au cont
100
s robots, les cerveaux électroniques. Que faut-il
donc
penser de cette longue plainte qui fut mise à la mode par Bergson, et
101
endra coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte
donc
pas d’histoires. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’homme. I
102
mesure que se développera l’automation. Imaginons
donc
notre humanité occidentale partiellement libérée du travail mécanique
103
eur de la culture seront sensiblement améliorées.
Donc
, tout ce que la technique permet de gagner sur le temps de travail mé
104
iens et de chercheurs scientifiques, il nous faut
donc
davantage de culture générale, et non pas moins, et seulement un peu
105
i, et nos remèdes deviendront des poisons. Il est
donc
temps, pour nous Occidentaux, d’adjoindre à l’assistance technique do
106
les moyens matériels. L’avenir de l’Occident est
donc
entre les mains de ceux qui assumeront à la fois les conditions moral
107
servir de modèle à tous les hommes. Il appartient
donc
conjointement à la culture et à l’économie, qui trouvent là leur comm
108
t-il. Dieu toutefois me fit tourner bride… Ayant
donc
reçu quelque goût et connaissance de la vraie piété, je fus incontine
109
de ceux du dehors, ou de ceux de dedans ». Ainsi
donc
, d’appel en appel, Jehan Chauvin, le frêle Picard, devint Calvin, nom
110
hacun dans son domaine professionnel. J’essaierai
donc
de démontrer ici, d’une manière aussi simple que possible : 1° que l’
111
éside dans les esprits, non dans les faits. C’est
donc
dans les esprits qu’il s’agit de le combattre. Et ceci n’est pas une
112
lexes acquis — de sentiment autant que de raison.
Donc
une question de culture, d’éducation nouvelle. Mais « faire l’Europe
113
et Churchill, de nos jours, — depuis six siècles
donc
, les meilleurs esprits et les meilleurs hommes politiques du continen
114
diversité de nos langues. La première tâche sera
donc
d’illustrer l’unité de base de toutes ces cultures prétendument « nat
115
s forces culturelles à notre intégration consiste
donc
d’abord à préparer le terrain pour les mesures politiques qui achèver
116
paraissent pas spécialement frappés. Cela passera
donc
sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de mon beau-frèr
117
onjour mon cher. Asseyez-vous. (Je me dis : C’est
donc
si grave que cela ?) — J’ai beaucoup aimé votre article… Mais la Léga
118
justice militaire ne veut pas de votre cas. C’est
donc
le général lui-même qui vous condamne au maximum de la peine : quinze
119
spoir que son travail ». Que les Suisses oublient
donc
leurs divisions partisanes. Venus de tous les points de l’horizon po
120
rsonne n’ébruita la chose à l’époque. On comprend
donc
que M. Kimche n’ait pas pu faire état de l’incident, si pittoresque e
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de faire peur aux mous. Le Conseil fédéral devait
donc
nous croire et ne pas nous croire à la fois. Finalement, il résista,
122
oussé dans le dos, attiré en avant, je me décidai
donc
à partir. Et, certes, les raisons qui m’animaient n’étaient point exa
123
t de réalisation de soi lui sont ouvertes. Il est
donc
probable que la différence s’accentue entre une majorité passive et m
124
carrefour, un défilé, un gué, un centre agraire —
donc
une limite, un centre ou un passage : tous ces accidents naturels peu
125
a circulation. À partir de cette place, banale et
donc
typique, un savant débarqué de Mars ou de Vénus pourrait reconstituer
126
e des cabinets d’études et de l’école. N’oublions
donc
pas, sur la place, la présence du kiosque à journaux, point d’inserti