1 e à l’esprit des Occidentaux, mais elle n’a pas d’ effet dans leur vie religieuse, moins encore dans leur vie sociale. Mais c

2 tat naissant. Qu’elles soient causes premières ou effets  ; qu’elles résument une série de facteurs antécédents, ou qu’au contr

3 rer l’ouvrier des servitudes mécaniques. Mais ses effets médiats seront plus étendus. Ils sont littéralement incalculables. L’

4 péenne à travers son histoire et d’en mesurer les effets . C’est ce que j’ai tenté dans mon livre et ma conclusion est tout à f

5 t immense. Est-il trop dispersé pour porter plein effet  ? Est-il suffisamment soutenu par les pouvoirs publics et le mécénat

6 le développement de la culture, et la crainte des effets d’une guerre totale. Einstein propose une seule idée, d’une irréfuta

7 sont point parvenues à provoquer là-bas les mêmes effets , à dégager le même rayonnement, ni même à provoquer la moindre tentat

8 e la bêtise humaine en général, s’il n’avait pour effet de détendre les ressorts créateurs du progrès dont il est trop souven

9 tardant ou sabotant l’union de l’Europe, mais cet effet ne suffit pas à le définir : ses motivations sont ailleurs, et surtou

10 ement, au niveau de la création comme à celui des effets extérieurs, et s’inter-déterminent de la manière la mieux vérifiable.

11 mme sur un anachronisme, et sur une confusion des effets et des causes. Au début, il y a le rêve, le jeu ; plus tard viennent

12 ique. Et nous pouvons aisément vérifier que leurs effets , au stade présent de leur évolution, loin de se contrecarrer et de se

13 es — bien typiques de l’époque — n’eurent d’autre effet que de me piquer au jeu. Bien décidé à n’en pas tenir compte, je fini