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onduire à la synthèse. Je vois le danger. Mais il
faut
voir aussi que l’union finale des esprits ne sera jamais acquise au p
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lle yâna bouddhique relève celui qui a dit : « Il
faut
que tu aimes Dieu comme non-Dieu, non-Esprit, non-Personne, non-Image
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ngagé sur la voie de la connaissance divine, « il
faut
demeurer dans l’action, gardant un esprit égal que l’action porte ses
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ussi lui reste-t-elle le plus souvent cachée ; il
faut
la déchiffrer dans ses actes et ses opinions. Ce qu’il pense de la pe
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nomique, sociale ou scientifique à l’Europe qu’il
faudrait
unir, sont bien souvent les mêmes qui, faisant demi-tour, déclarent q
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il n’y a pas d’Europe, et si l’on en veut une, il
faudra
l’inventer. Ce qui ne facilite guère l’œuvre d’union… Ainsi jouent le
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t européen entrer dans le vocabulaire courant, il
faut
attendre les xive et xve siècles, époque où la chrétienté perd ses
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it-on quand elle est née ? Et combien d’arbres il
faut
pour former une forêt ? J’ai mes racines, voilà qui est vrai, le rest
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e en doute l’existence même de cette Europe qu’il
faut
sauver. d. Rougemont Denis de, « [Lettre en réponse à Emmanuel Ber
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s lettres, les arts et la philosophie, sait qu’il
faut
être subversif ou pessimiste, ou les deux à la fois, sous peine de ne
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qu’on le produit au grand jour, explique tout. Il
faudra
plusieurs décennies pour qu’on en vienne à relativiser, en les expliq
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un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… Il
fallait
bien rappeler ici qu’une réflexion sur nos valeurs occidentales ne sa
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rouge et blanc. Quant à l’Asie et à l’Afrique, il
faudrait
y marquer des points rouges, indiquant la plupart des grandes villes,
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e audience, peu ou point d’échanges efficaces. Il
faudrait
réfléchir librement sur les problèmes économiques, et il faudrait y r
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ir librement sur les problèmes économiques, et il
faudrait
y réfléchir en groupe, car ces problèmes sont trop complexes pour le
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On peut créer une fédération européenne, et il le
faut
. Mais on ne peut pas créer une culture européenne et personne ne l’a
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t nous occuper est le suivant : étant donné qu’il
faut
unir l’Europe pour les motifs que nous indique clairement la conjonct
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, ou bien lui fait-elle obstacle ? Je pense qu’il
faut
répondre oui aux deux questions. Et ce paradoxe apparent définit asse
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onne n’y croit. (On attend de voir…) Et certes il
fallait
dire : unissons-nous ! Certes, il fallait ratifier des traités. Mais
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rtes il fallait dire : unissons-nous ! Certes, il
fallait
ratifier des traités. Mais voilà qui est fait désormais. La condition
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, la guerre étant devenue le fait des nations, il
faut
créer l’autorité législative et judiciaire qui leur retire la souvera
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) On se figure, et l’on écrit souvent, qu’il a
fallu
quelque six siècles à la Suisse pour devenir, par une évolution, l’Ét
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fédéral qu’elle est aujourd’hui. En réalité il a
fallu
neuf mois, au terme d’une crise de trente-trois ans, succédant à cinq
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col. Au nombre des seigneurs entreprenants qu’il
fallait
empêcher de dominer la route figuraient en bonne place les Habsbourg,
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Suisse du siècle dernier. A-t-on pris garde qu’il
fallait
trois jours à un député des Grisons pour se rendre à Berne, tandis qu
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s Grisons pour se rendre à Berne, tandis qu’il ne
faut
qu’une matinée à un délégué grec ou scandinave pour se rendre à Paris
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ant des applications futures à grande échelle, il
faut
relever qu’à son époque elle se produisit comme à contre-courant de l
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alors les sociétés helvétiques de tous ordres, il
faut
ajouter le rôle accidentel mais très efficace que joua la cause hellé
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ffusées de nos jours sur toute la terre ? Il s’en
faut
de beaucoup que leurs rivales asiatiques, qu’on dit plus raffinées, a
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ustifier les prophètes du désastre européen ? Que
faudrait
-il de plus, pour qu’on ait le droit de parler d’une éclipse ou d’une
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véracité, et du recours aux preuves par neuf. Il
faut
songer cependant que l’Asie et l’Afrique ignorent cette exigence de l
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e. Moment dramatique et passionnant, dont il nous
faut
tâcher d’évaluer les risques angoissants et les chances admirables. L
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s acceptable et imitable qu’aucune autre. Mais il
faut
voir enfin que cette civilisation n’a pu devenir universelle qu’en ve
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ffusées de nos jours sur toute la Terre ? II s’en
faut
de beaucoup que leurs rivales asiatiques, qu’on dit plus raffinées, a
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re action dans le monde et pour le monde. Il nous
faut
l’Europe parce qu’il faut faire le monde. Et parce que l’Europe seule
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pour le monde. Il nous faut l’Europe parce qu’il
faut
faire le monde. Et parce que l’Europe seule, en faisant le monde, acc
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et si bien qu’au point où nous en sommes, il nous
faut
constater qu’en fait et avant tout, ce qui s’oppose à la grande réuni
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me passionnent, et que les fidèles ignorent. Que
faudrait
-il pour rapprocher tous ces fidèles, qui ramèneraient ensuite leurs g
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ns le mouvement de sa genèse intellectuelle qu’il
faut
le saisir. Car le nationalisme est idéologie, avant d’être histoire.
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oit partir la liberté et le bonheur du monde. Il
faut
donc protéger par les armes cette France qui annonce la paix universe
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ous vivons. Si l’on veut supprimer la guerre, il
faut
en supprimer la cause. Il faut que chaque État obtienne ce qu’il proj
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imer la guerre, il faut en supprimer la cause. Il
faut
que chaque État obtienne ce qu’il projette d’obtenir par la guerre et
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ièrement après un laps de temps déterminé. Il lui
faut
donc prendre des mesures permettant d’atteindre bientôt sûrement ce b
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sont pas seulement les échanges commerciaux qu’il
faut
supprimer, mais aussi les échanges culturels, et le tourisme. Seule e
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topies issues de la philosophie préromantique, il
faut
avouer que celle de Fichte, pour absurde qu’elle nous paraisse, se tr
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mes Nous les Magyars, nous versons notre sang. Te
faut
-il encore plus, ô Liberté, Pour que ta grâce daigne sur nous descendr
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otre conscience nationale. Tirons l’épée, s’il le
faut
, au nom des malheureux persécutés, quand bien même ce serait aux dépe
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nom des prétendus intérêts de la civilisation. Il
faut
que les organes politiques reconnaissent la vérité, cette vérité même
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lle quelle est reconnue par le simple croyant. Il
faut
bien que la vérité soit conservée quelque part, que tout au moins une
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!… » … Ce que nous venons de dire de la race, il
faut
le dire de la langue. La langue invite à se réunir ; elle n’y force p
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et se passe en quelques heures : pour les uns, il
faut
la moitié d’une année, pour les autres la moitié d’une vie humaine, s
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des nations et de son impérialisme planétaire. Il
faudra
cependant en venir aux excès de l’autarcie affirmée sans scrupules («
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fonde des créations que je viens d’énumérer. Il y
faudrait
un livre, et je l’ai déjà écrit37. Je me bornerai donc à vous rappele
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e. Moment dramatique et passionnant, dont il nous
faut
tâcher d’évaluer les risques angoissants et les chances admirables. J
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nt d’autres motifs, beaucoup plus vastes. Il nous
faut
faire l’Europe, parce qu’il faut faire le monde, et que l’Europe seul
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vastes. Il nous faut faire l’Europe, parce qu’il
faut
faire le monde, et que l’Europe seule peut le faire, mais elle doit d
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es la voilure, le tonnage nécessaire ? Ou bien ne
faut
-il pas nous demander, plutôt, si l’homme qui les conduit a la foi néc
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préparait leur lit dans nos démocraties. Il nous
fallait
courir au plus pressé, secourir les persécutés accusés de liberté d’e
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ent transmission mais critique et rupture s’il le
faut
; qui n’est plus seulement tradition mais création, et qui n’est plus
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démocratique. Pour que notre vie ait un sens, il
faut
que la culture vivante recrée pour les hommes de ce temps des ensembl
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ommes de ce temps des ensembles intelligibles. Il
faut
que nos activités humaines que nous avons spécialisées et séparées ju
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ent transmission mais critique et rupture s’il le
faut
; qui n’est plus seulement tradition mais création, et qui n’est plus
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démocratique. Pour que notre vie ait un sens, il
faut
que la culture vivante recrée pour les hommes de ce temps des ensembl
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ommes de ce temps des ensembles intelligibles. Il
faut
que nos activités humaines que nous avons spécialisées et séparées ju
65
éations européennes que je viens d’énumérer. Il y
faudrait
tout un livre, et il se trouve que je l’ai déjà écrit. Je me bornerai
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e. Moment dramatique et passionnant, dont il nous
faut
tâcher d’évaluer les risques angoissants et les chances admirables. P
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nt d’autres motifs, beaucoup plus vastes. Il nous
faut
faire l’Europe, parce qu’il faut faire le monde, et que l’Europe seul
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vastes. Il nous faut faire l’Europe, parce qu’il
faut
faire le monde, et que l’Europe seule peut le faire. Or, elle doit d’
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s le tonnage, la voilure nécessaires ? Ou bien ne
faut
-il pas nous demander, plutôt, si l’homme qui les conduit a la foi néc
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it-elle que l’histoire d’une longue profanation ?
Faut
-il penser que les pouvoirs du mythe sont épuisés et que nous serons p
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épuisé, et s’il était vraiment un mythe de l’âme,
faut
-il conclure que c’est l’âme elle-même, la fonction émotive, dans l’ho
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ments. La passion se fait rare de nos jours, s’il
faut
en croire nos romanciers. Ils savent bien que le roman véritable n’es
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on de la mort est l’ultime sens du mythe. Mais il
faut
croire aux anges pour y croire. Selon la mythologie de l’ancien Iran,
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uelle on ne saurait s’aimer soi-même, puisqu’« il
faut
être deux pour aimer », comme dit la sagesse populaire. Aimer vraimen
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l’homme ne peut nous être ici d’aucun secours. Il
faut
aimer, pour le comprendre et rapporter l’amour à ses fins spirituelle
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sans la justifier pour autant. Et tout d’abord il
faut
bien constater que dans la petite phrase incriminée, la plupart de no
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l’heure au monde entier et ne craint personne. Il
faut
admettre ensuite que notre aurea mediocritas saute aux yeux du premie
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és d’une bonne culture moyenne. Et finalement, il
faut
avouer que le statut du « grand homme » en Suisse, en vertu de lois n
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tier : imaginons du moins son argument. ⁂ S’il me
fallait
décrire la Suisse en une seule phrase, comme il arrive que des touris
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musicien, un grand poète ou un grand peintre, il
faut
un milieu, une école, un public excité, un snobisme ou une cour, et u
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u de temps. Pour établir cette thèse centrale, il
faudrait
des volumes et toute une vie de recherches. Je vais devoir me content
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u xviiie siècle était des plus rudimentaire : il
fallait
qu’un surveillant introduise de temps à autre un jet d’eau froide dan
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nces et la littérature. C’est évident. Mais il ne
faut
pas oublier qu’ils se nourrissent en retour de la culture : nos lectu
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ines, les robots, les cerveaux électroniques. Que
faut
-il donc penser de cette longue plainte qui fut mise à la mode par Ber
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nous raconte donc pas d’histoires. Ce qu’il nous
faut
, c’est un contrôle de l’homme. Il n’est pas d’invention, si simple e
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la stagnation, ou à des monstruosités. S’il nous
faut
davantage de techniciens et de chercheurs scientifiques, il nous faut
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chniciens et de chercheurs scientifiques, il nous
faut
donc davantage de culture générale, et non pas moins, et seulement un
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mière attaque, suivie d’une opération au cerveau.
Fallait
-il vraiment, écrivait-il alors, être « nettoyé » par cette maladie mo
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Tel étant de toute évidence le train du monde, il
fallait
naviguer dans la vie d’un signe à l’autre, guidé par la seule intuiti
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mière attaque, suivie d’une opération au cerveau.
Fallait
-il vraiment, écrivait-il alors, être « nettoyé » par cette maladie mo
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e et moyen de me retirer des gens. Mais tant s’en
faut
que je vinsse à bout de mon désir, qu’au contraire toutes retraites e
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squ’elle détient l’autorité, qui est de l’esprit.
Faut
-il ranger Calvin au camp de la liberté ? Oui certes, dans la mesure o
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itude fédéraliste : l’union dans la diversité. Il
faut
prendre au sérieux les deux termes ensemble. Tel est le secret spirit
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royait « faire ». Car, en fin de compte, pourquoi
faut
-il créer un grand marché européen ? Sinon pour mettre ou remettre l’E
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a position imprenable dans la guerre actuelle. Il
faudrait
déclencher une action dans le pays, pour la résistance à tout prix, a
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nne idée… Seulement ce n’est rien d’en parler. Il
faut
le faire ! » J’ai senti sous son regard direct le danger d’avoir une