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s tensions dialectiques qui devaient provoquer la
fin
du nôtre. À partir de la Renaissance, l’angle de divergence s’agrandi
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l s’entend sur ce point aux distinctions les plus
fines
, bien que leurs résultats se montrent, non dans sa pensée, mais dans
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imple entre deux conceptions de l’homme et de ses
fins
, celle dont les conséquences ont formé l’Occident. 1. L’Occident é
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t pas être regardée comme une entité ni comme une
fin
, mais comme un moyen. M. de Rougemont me prouve que l’urgence était p
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La
fin
du pessimisme (juin 1957)f Le fameux sens de l’histoire, argument
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contre l’homme, de l’homme contre l’humain, de la
fin
des illusions, de la fin de tout. L’Anti-moderne de Maritain et Les T
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e contre l’humain, de la fin des illusions, de la
fin
de tout. L’Anti-moderne de Maritain et Les Temps modernes de Chaplin,
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tion est mortelle comme les autres et prédit à la
fin
que nous allons vers la « parfaite et définitive fourmilière » ? On p
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nos maux, car toute solution concevable serait la
fin
de notre liberté. J’imagine au contraire le progrès véritable dans l’
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ouvrir des portes. f. Rougemont Denis de, « La
fin
du pessimisme », Réalités, Paris, juin 1957, p. 27-29.
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La
fin
justifie les moyens (9 juin 1957)g Denis de Rougemont a remporté l
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rale de la vocation, c’est-à-dire prouvera que la
fin
justifie les moyens. À condition que cette fin soit juste et, pour s’
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la fin justifie les moyens. À condition que cette
fin
soit juste et, pour s’opposer à Nietzsche, en considérant que, par ex
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rant que, par exemple, la puissance n’est pas une
fin
juste. Le second ouvrage essaiera de situer cette morale de la vocati
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’on veut défendre. g. Rougemont Denis de, « La
fin
justifie les moyens », Tribune de Lausanne, Lausanne, 9 juin 1957, p.
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l’Europe ait seule développé la technique dès la
fin
du xviiie siècle ? C’est qu’il se produisit à ce moment, en Europe,
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es ou étrangères incessantes, se poursuivit de la
fin
du xiiie siècle à la fin du xviiie siècle. Un enchevêtrement d’alli
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es, se poursuivit de la fin du xiiie siècle à la
fin
du xviiie siècle. Un enchevêtrement d’alliances particulières et un
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un tragique exemple. Chose étrange, c’est avec la
fin
de l’ère du colonialisme européen que coïncide cette contagion occide
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lus la protéger, notre Europe désunie marche à sa
fin
. Aucun de nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de
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du grand historien suisse Jacob Burckhardt, à la
fin
du siècle passé ; et le second dans un quotidien du parti communiste
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éalités connaissent bien par ses articles sur “La
fin
du pessimisme” en juin 1957 et “La nature profonde de l’Europe” en ju
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autarcie absolue qui naît sous nos yeux. C’est la
fin
du processus exactement inverse de celui du Marché commun [dont] Fich
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ent sans retirer quelque avantage en faveur de la
fin
poursuivie. Tous les ans l’importation étrangère doit diminuer. D’une
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sance réunie de l’espèce humaine, avance même ces
fins
terrestres particulières… Ce système une fois généralisé, et la paix
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… Chacun a son principe auquel il tend comme à sa
fin
. Une fois cette fin atteinte, il n’a plus rien à faire dans le monde.
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ipe auquel il tend comme à sa fin. Une fois cette
fin
atteinte, il n’a plus rien à faire dans le monde. Et encore : À cha
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à leur tour le droit de dominer l’époque. À cette
fin
, chacun prétendra qu’il incarne « le plus haut concept de l’esprit ».
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ndial. Et c’est pourquoi les grands esprits de la
fin
du xixe siècle, enregistrant cette dissolution de l’idéal européen,
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ieusement, il est nécessaire qu’il existe à cette
fin
un centre déterminé, un peuple qui domine les autres de sa supériorit
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e « sombrer dans le cynisme » et d’y trouver leur
fin
, « vers laquelle il semble bien qu’ils s’acheminent ». III. Les pr
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nt à orienter les esprits et leurs choix vers des
fins
qui dépassent la politique et qui seules lui donnent son vrai sens, s
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d’accorder à la politique cette valeur absolue de
fin
en soi que lui donnent les totalitaires — tant qu’un jour il n’y a pl
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nt à orienter les esprits et leurs choix vers des
fins
qui dépassent la politique et qui seules lui donnent son vrai sens, s
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d’accorder à la politique cette valeur absolue de
fin
en soi que lui donnent les totalitaires, tant qu’un jour il n’y a plu
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que doit rester pour nous un moyen dominé par des
fins
humaines, ces fins que l’esprit seul peut entrevoir, imaginer et prop
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r nous un moyen dominé par des fins humaines, ces
fins
que l’esprit seul peut entrevoir, imaginer et proposer à nos désirs e
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Et alors, la liberté serait-elle du nombre de ces
fins
dernières, serait-elle à son tour un absolu ? Non, certes, mais elle
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? Non, certes, mais elle seule nous conduit à nos
fins
. Car la liberté se concrétise dans l’augmentation continuelle des pos
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affronter le mystère de sa personne. Telle est la
fin
dernière de toute communauté, et la seule mesure qui permette de juge
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ques et politiques, qui doit se réaliser d’ici la
fin
de l’année. z. Rougemont Denis de, « Une fusée à trois étages : br
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t impudente, ou ignorante, ou inconsciente, à des
fins
de rendement commercial : comédies à succès sur le thème du triangle,
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er, pour le comprendre et rapporter l’amour à ses
fins
spirituelles. Le mythe peut nous y aider, c’est bien là sa fonction,
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publier une Vue générale du genre humain, dès la
fin
du xviiie siècle. Mais ce n’est pas en grimpant sur nos Alpes que ce
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isme mort ». Mais déjà nous voyons s’approcher la
fin
de cette ère primitive, inhumaine et cruelle, de la technique occiden
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situdes de l’époque, et diriger les hommes à leur
fin
de salut. Il n’a écrit que pour mieux faire comprendre l’Écriture, pa
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telle, transfigurée par les rayons obliques d’une
fin
d’après-midi dorée, avec Ortega y Gasset, et nous parlions d’amis com
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cette bouleversante déclamation chorale, vers la
fin
: « Il y a l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui e
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rappés. Cela passera donc sans histoires. Vers la
fin
de la matinée, téléphone de mon beau-frère, M. P., qui est à la Censu
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… Nous avons choisi de publier ces pages en cette
fin
de juin, à peu près à l’époque, vingt-deux après, où Denis de Rougemo
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a nécessité de nous adapter à l’ordre nouveau »…)
Fin
juin 1940 Repris mon service à la section « Armée et Foyer ». Pendant
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part, je suis sûr qu’il en approuvera la pensée.
Fin
juillet 1940 Je rédige une brochure intitulée : Qu’est-ce que la Lig
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fédéral eût exigé sur l’heure que le Général mît
fin
à leurs activités qu’il connaissait ou pressentait sans aucun doute :
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apportés les dix-huit ans qui nous séparent de la
fin
de la dernière guerre. L’Europe de l’Ouest a passé de la ruine généra
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nes, épousant la nature tout en l’utilisant à des
fins
militaires, agricoles, commerciales, après avoir été souvent sacrée.