1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 rishna disait : « Il n’y a aucune différence, que vous l’appeliez ‟Toi” ou que vous pensiez ‟Je suis Lui”. » S’il n’y avait
2 cune différence, que vous l’appeliez ‟Toi” ou que vous pensiez ‟Je suis Lui”. » S’il n’y avait « aucune différence », il n’y
3 voyageur allemand9 demandait à un yogi : « N’avez- vous pas tenté, en Inde aussi, de calculer la quadrature du cercle ? » Le
4 e ce chapitre : « Il n’y a aucune différence, que vous l’appeliez Toi ou que Vous disiez Je suis Lui. » Nous y lisons mainte
5 aucune différence, que vous l’appeliez Toi ou que Vous disiez Je suis Lui. » Nous y lisons maintenant la vraie définition de
2 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
6 t de même la Suisse, c’était la France ; réformez vos catégories pour les faire correspondre au réel, car il s’agit mainten
3 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
7 re, dans ma campagne, pour obtenir le téléphone ! Vous me parlez de l’esclavage du téléphone ? Mais a-t-on jamais vu qu’un a
8  ? C’est toujours quelqu’un qui l’actionne. Comme vous ne savez pas qui, et que le bruit vous agace, vous vous décidez à rép
9 nne. Comme vous ne savez pas qui, et que le bruit vous agace, vous vous décidez à répondre. Vous n’êtes donc pas l’esclave d
10 ous ne savez pas qui, et que le bruit vous agace, vous vous décidez à répondre. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone,
11 e savez pas qui, et que le bruit vous agace, vous vous décidez à répondre. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone, mais
12 e bruit vous agace, vous vous décidez à répondre. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone, mais de votre seule curiosité
13 s n’êtes donc pas l’esclave du téléphone, mais de votre seule curiosité. Le règne des machines, à vous entendre, nous isolera
14 e votre seule curiosité. Le règne des machines, à vous entendre, nous isolerait de la Nature ? Mais je vois au contraire que
15 l’homme, qui aurait ici le droit de se plaindre. Vous citez l’apprenti sorcier. Et qui ne l’a pas cité, quel journaliste ?
16 travaillent pour nous, c’est tant mieux. Mais si vous me dites qu’ils vont penser pour vous, c’est que vous l’aurez bien mé
17 ux. Mais si vous me dites qu’ils vont penser pour vous , c’est que vous l’aurez bien mérité. L’Apprenti sorcier de la légende
18 me dites qu’ils vont penser pour vous, c’est que vous l’aurez bien mérité. L’Apprenti sorcier de la légende déchaînait une
4 1957, Articles divers (1957-1962). La fin justifie les moyens (9 juin 1957)
19 ouvais aux côtés du maréchal Juin, j’ai pu dire : Vous rendez-vous compte ? Me photographier, moi, auprès du Maréchal ? Moi
20 ôtés du maréchal Juin, j’ai pu dire : Vous rendez- vous compte ? Me photographier, moi, auprès du Maréchal ? Moi qui ne suis
5 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
21 nt. Un intellectuel indonésien me dit un jour : «  Vous autres Européens, vous nous envoyez des machines-outils ; c’est très
22 onésien me dit un jour : « Vous autres Européens, vous nous envoyez des machines-outils ; c’est très joli, cela nous amuse e
23 s amuse et c’est utile, mais pourquoi n’y joignez- vous pas un petit livre expliquant d’où viennent ces objets, pourquoi vous
24 vre expliquant d’où viennent ces objets, pourquoi vous avez eu l’idée de les construire et comment ils expriment et transpor
6 1958, Articles divers (1957-1962). Demain l’Europe sans frontières ?[préface] (1958)
25 sserait-il si… ? — Rien ou presque rien de ce que vous redoutiez, mais beaucoup de bonnes choses qu’il vous reste à vouloir
26 s redoutiez, mais beaucoup de bonnes choses qu’il vous reste à vouloir — avec au moins autant de lucidité que les totalitair
7 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
27 tent entre ses diverses parties. La nature a fait votre État fédératif. Vouloir la vaincre, ne peut pas être d’un homme sage 
8 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
28 ur dire : si nous, Européens, sommes en mesure de vous secourir matériellement, c’est à cause du travail acharné que nous no
29 siècles, conformément à nos principes, tandis que votre misère est fort bien tolérée par la sagesse de vos élites, qui exclut
30 re misère est fort bien tolérée par la sagesse de vos élites, qui exclut comme illusoire la solidarité, puisqu’elle refuse
31 claves ni hommes libres, ni hommes ni femmes, car vous êtes tous fils de Dieu, vous êtes tous un en Jésus-Christ »), cette c
32 ommes ni femmes, car vous êtes tous fils de Dieu, vous êtes tous un en Jésus-Christ »), cette conception devait (seule) perm
33 roposait de corriger comme suit le passage que je vous ai cité : « Nous autres civilisations, nous avons depuis peu la certi
34 ignes extérieurs. Il y a surtout l’URSS, penserez- vous . Mais qu’apporte-t-elle de nouveau du point de vue de la civilisation
35 chez les autres qu’il triomphe. Permettez-moi de vous citer à ce propos deux textes dont le rapprochement éclaire cruelleme
9 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
36 le jure, au nom de la fraternité universelle que vous allez établir, chacun de vos combats sera un pas de fait vers la paix
37 ité universelle que vous allez établir, chacun de vos combats sera un pas de fait vers la paix, l’humanité et le bonheur de
38 azette. Mais cette nation répondra : Quand m’avez- vous appelée ? Et la Liberté répondra : J’ai appelé par la bouche de ces p
39 cliquetis des ukases. … Les Puissances ont rejeté votre pierre de l’édifice européen, et voici que cette pierre deviendra la
40 La politique panslave… C’est gai pour demain ! Je vous dis que la guerre viendra de la Russie. …Comment ferez-vous pour fédé
41 ue la guerre viendra de la Russie. …Comment ferez- vous pour fédérer des Slaves, ou religieux ou mystiques révolutionnaires ;
42 niers ; des Hongrois guerriers ? Comment calmerez- vous ce panier rempli de crabes qui se pincent toute la sainte journée ? M
43 n’améliorera le sort de l’Europe. Pourquoi voulez- vous qu’il s’améliore ? Que signifie ce vieux fond d’optimisme qui attend
44 chimiques. Ça met le feu ; que diable ! Prenez-en votre parti ! IV. Liquidation de l’Europe des nations Sorel, qui par
10 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
45 ndrai d’un seul mot : Voyagez ! Quittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et dès que vous commencerez à pressentir certaines r
46 uittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et dès que vous commencerez à pressentir certaines réalités vastes et inquiétantes, v
47 uiétantes, vraiment « étrangères » cette fois-ci, vous commencerez du même coup à sentir « cette inimitable saveur que l’on
48 t des sciences exactes, notamment. Voilà qui peut vous paraître banal, à vous Européens élevés dans le respect de la vérité
49 notamment. Voilà qui peut vous paraître banal, à vous Européens élevés dans le respect de la vérité dite objective, de la s
50 t de travail. Voilà encore une banalité, me direz- vous . Mais comparez, une fois de plus. Les cultures totalitaires subordonn
51 ur dire : si nous, Européens, sommes en mesure de vous secourir matériellement, c’est à cause du travail acharné que nous no
52 siècles, conformément à nos principes, tandis que votre misère est fort bien tolérée par la sagesse de vos élites, qui exclut
53 re misère est fort bien tolérée par la sagesse de vos élites, qui exclut comme illusoire la solidarité, puisqu’elle refuse
54 e, et je l’ai déjà écrit37. Je me bornerai donc à vous rappeler, mais avec la plus vive insistance, que ce n’est pas par has
11 1960, Articles divers (1957-1962). Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de la rencontre de Berlin (extraits) (juin-juillet 1960)
55 qu’il soit le mot capital. Car la liberté, voyez- vous , ce n’est pas quelque chose dont nous devons parler, mais quelque cho
56 ibertés ne viennent pas seulement des régimes que vous savez. Elles viennent de la misère et de la faim pour une large parti
57 le Congrès comme je viens de le faire, j’ai voulu vous montrer qu’il n’agit pas au niveau de la politique proprement dite, m
12 1960, Articles divers (1957-1962). La liberté et le sens de la vie (8 juillet 1960)
58 ou, en tout cas, qu’elle doit et peut intervenir. Vous avez lu et entendu depuis longtemps tant de banalités, souvent exacte
59 , sur la culture et ses définitions, que là aussi vous me permettrez d’être assez bref, et de me borner à quelques traits dé
60 es. On nous demande souvent, de tous côtés : Êtes- vous un mouvement politique ? Il me semble que le commentaire que je viens
61 ? Il me semble que le commentaire que je viens de vous donner de nos buts répond suffisamment à cette question. Mais on insi
62 le Congrès comme je viens de le faire, j’ai voulu vous montrer qu’il n’agit pas au niveau de la politique proprement dite, m
13 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
63 ndrai d’un seul mot : Voyagez ! Quittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et dès que vous commencerez à pressentir certaines r
64 uittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et dès que vous commencerez à pressentir certaines réalités vastes et inquiétantes, v
65 quiétantes, vraiment « étrangère » cette fois-ci, vous commencerez du même coup à sentir cette inimitable saveur que l’on ne
66 ur dire : si nous, Européens, sommes en mesure de vous secourir matériellement, c’est à cause du travail acharné que nous no
67 siècles, conformément à nos principes, tandis que votre misère est fort bien tolérée par la sagesse de vos élites, qui exclut
68 re misère est fort bien tolérée par la sagesse de vos élites, qui exclut comme illusoire la solidarité, puisqu’elle refuse
14 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
69 avers le temps (1961)aa ab I. Qui d’entre vous ne se souvient de cette première phrase du Tristan rendu naguère au g
70 péen par les soins de Joseph Bédier : Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ? Seigneurs et
71 ur et de mort ? Seigneurs et dames ici présents, vous répondez tous dans vos cœurs : Rien au monde ne saurait nous plaire d
72 rs et dames ici présents, vous répondez tous dans vos cœurs : Rien au monde ne saurait nous plaire davantage. Or, songez-y 
73 entre ces deux générations, Ernest Vinaver — que vous célébrez aujourd’hui. En restituant pour les lecteurs du xxe siècle
74 e vers la hauteur, où elle entraîne l’amant ravi. Vous avez reconnu la conclusion gnostique du Second Faust de Goethe, mais
75 Selon les sociologues, la passion doit mourir. Je vous dis que je n’en crois rien. Car s’il est vrai que la passion se nourr
15 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
76 vie de recherches. Je vais devoir me contenter de vous rappeler quelques exemples très typiques d’inventions techniques déci
77 es premiers astronautes quittèrent la Terre. Mais vous êtes tous témoins qu’il n’en est rien. C’est la nature de nos rêves c
78 écrivit en détail ses méthodes, et il conclut : «  Vous voyez, notre activité réelle, c’est un mélange de poésie et de cuisin
16 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
79 echnocrate et un théoricien de l’économie peuvent vous faire en trois jours un plan géométrique d’unification rigoureuse du
80 ionales de traditions et de régimes ; ils peuvent vous démontrer que ce plan serait rentable, et que votre intérêt commande
81 ous démontrer que ce plan serait rentable, et que votre intérêt commande de l’appliquer. Un autre groupe peut vous rappeler q
82 rêt commande de l’appliquer. Un autre groupe peut vous rappeler que depuis Dante et Pierre Dubois, au début du xive siècle,
83 euples, respectant leurs diversités. Aux premiers vous direz : votre Europe technicienne marcherait sans nul doute, elle « r
84 ctant leurs diversités. Aux premiers vous direz : votre Europe technicienne marcherait sans nul doute, elle « rendrait » maté
85 nifiée mais ne serait plus l’Europe. Aux seconds, vous direz : votre Europe harmonieuse serait sans nul doute plus conforme
86 e serait plus l’Europe. Aux seconds, vous direz : votre Europe harmonieuse serait sans nul doute plus conforme au génie de no
17 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
87 maisons, les étages et les noms de ces messieurs. Vous forcez la porte, vous coupez d’abord les fils de téléphone, puis vous
88 les noms de ces messieurs. Vous forcez la porte, vous coupez d’abord les fils de téléphone, puis vous arrêtez les agents et
89 , vous coupez d’abord les fils de téléphone, puis vous arrêtez les agents et ramassez leurs papiers. Compris. Telle était l’
90 anne . « Voyez si les prescriptions de la censure vous permettent de publier cela. » Lundi 17 juin 1940 au soir Faisons le p
91 .-M. du Général. — Ici colonel Masson. C’est bien vous qui avez écrit l’article paru ce matin dans la Gazette  ? — Oui, mon
92 tin dans la Gazette  ? — Oui, mon colonel. — Avez- vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon colonel. — Pour
93 on colonel. — Avez-vous demandé l’autorisation de vos supérieurs ? — Non, mon colonel. — Pourquoi ? — Je ne suis pas offici
94 urquoi ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous deviez le faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à chef d’État
95 r de carrière. — Vous deviez le faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à chef d’État étranger. Vous mettez en danger l
96 ous êtes accusé d’injures à chef d’État étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave, c’est… très g
97 hef de la Ve Section. — Bonjour mon cher. Asseyez- vous . (Je me dis : C’est donc si grave que cela ?) — J’ai beaucoup aimé vo
98 st donc si grave que cela ?) — J’ai beaucoup aimé votre article… Mais la Légation d’Allemagne a protesté, hier matin. J’ai l’
99 Allemagne a protesté, hier matin. J’ai l’ordre de vous faire conduire chez vous pour y prendre les arrêts. Voulez-vous me la
100 r matin. J’ai l’ordre de vous faire conduire chez vous pour y prendre les arrêts. Voulez-vous me laisser votre pistolet ? Je
101 duire chez vous pour y prendre les arrêts. Voulez- vous me laisser votre pistolet ? Je dépose mon pistolet sur le bureau. Je
102 pour y prendre les arrêts. Voulez-vous me laisser votre pistolet ? Je dépose mon pistolet sur le bureau. Je me sens tout nu.
103 rutions diverses. Dialogue invariable : — Qu’avez- vous à dire pour votre défense ? — Absolument rien. Je suppose que vous êt
104 Dialogue invariable : — Qu’avez-vous à dire pour votre défense ? — Absolument rien. Je suppose que vous êtes d’accord avec m
105 votre défense ? — Absolument rien. Je suppose que vous êtes d’accord avec mon article. Là n’est pas la question… La question
18 1962, Articles divers (1957-1962). La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)
106 ttaché par un ruban. — Ça, c’est du chocolat pour votre femme, ça c’est des cigarettes parisiennes, pour vous. Maintenant, éc
107 femme, ça c’est des cigarettes parisiennes, pour vous . Maintenant, écoutez. La justice militaire ne veut pas de votre cas.
108 ant, écoutez. La justice militaire ne veut pas de votre cas. C’est donc le général lui-même qui vous condamne au maximum de l
109 de votre cas. C’est donc le général lui-même qui vous condamne au maximum de la peine : quinze jours au fort de Saint-Mauri
110 ce, au pain et à l’eau, sans visites ni courrier. Vous avez bien compris ? Vous êtes dès maintenant à Saint-Maurice. Tout ce
111 ans visites ni courrier. Vous avez bien compris ? Vous êtes dès maintenant à Saint-Maurice. Tout ce que je vous demande, c’e
112 es dès maintenant à Saint-Maurice. Tout ce que je vous demande, c’est de ne pas sortir dans les rues de Berne chaque soir av
113 que soir avec une petite femme à chaque bras. — À vos ordres, mon colonel ! J’ai toujours été partisan des vacances payées.
114 ’ai toujours été partisan des vacances payées. Je vous remercie. — Repos ! Le colonel a bien voulu prendre un verre, au term
115 l Guisan le 31 août 1939 par le Conseil fédéral : Vous avez pour mission de sauvegarder l’indépendance du pays et de mainten
116 Suisse dans le présent et pour l’avenir. Nous ne vous promettons qu’un grand effort commun. Mais il nous rendra fiers d’êtr
117 e manière d’aller dire à un gouvernement : « Nous vous avertissons qu’il existe un complot pour vous renverser, et que nous
118 ous vous avertissons qu’il existe un complot pour vous renverser, et que nous en sommes les fauteurs ! » Logiquement, si le
119 du Gothard, me dit, quelques jours plus tard : «  Vous êtes imprudent au téléphone. Par bonheur, c’est moi qui suis chargé d
120 orts d’écoute. J’efface les rouleaux enregistrant vos conversations ! » 41. Il s’agit de M. Auguste Lindt, aujourd’hui amb
19 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
121 délicate. « Le général est toujours furieux après vous  ! » m’a dit hier encore mon colonel, un Bernois. Mais quoi ! D’une pa
20 1962, Articles divers (1957-1962). La commune, base essentielle de notre civilisation (novembre-décembre 1962)
122 e 1962)as Anciens villages et villes d’Europe, vous n’en trouverez pas deux dont les plans soient superposables. S’ils se
123 résume en un coup d’œil. Car autour de la place, vous trouvez, l’église et la mairie, souvent l’école, et les cafés, et le