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les détracteurs des temps modernes, c’est une des
gloires
de ces temps, que cette idée ait acquis plus de netteté, ce sentiment
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grie est la Hongrie depuis le ixe siècle, que sa
gloire
dans le passé et ses espérances dans l’avenir, que la mémoire des inc
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européenne. Elle n’aura pas vécu en vain, ni sans
gloire
. Ainsi se réaliserait ce passage à l’Europe, cette « transfiguration
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t, dans le passé, de souvenirs, de sacrifices, de
gloires
, souvent de deuils et de regrets communs ; dans le présent, du désir
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ons pour des qualités, qui se nourrirait de vaine
gloire
; qui serait à ce point jaloux, égoïste, querelleur ; qui ne pourrait
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des idées en France, et Bossuet lui concède « la
gloire
d’avoir aussi bien écrit qu’homme de son siècle », mais ce n’était pa
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t utopique et vouée dès le départ à un échec sans
gloire
. Prendre au sérieux nos principes et nos valeurs, c’est une affaire d
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au lendemain de la chute de Paris, un papier à la
gloire
de la capitale française qui n’était pas tendre pour le Führer triomp