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que. Car si le soleil se lève à l’Orient pour les
Grecs
, il en va de même pour les Hindous, et ceux-ci ne figurent pas pour a
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rmée, pour l’équipement de la campagne contre les
Grecs
, demande au roi cette faveur : exempter de la guerre un de ses cinq f
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ieu défileront les armées qui marchent contre les
Grecs
, et dans ces armées se trouveront les quatre frères et le père du cou
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du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’idée
grecque
de mesure et, en liaison avec elle, l’idée de liberté. Seule l’idée d
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de tous les doutes possibles, les Français et les
Grecs
, les Anglais et les Suisses, les Suédois et les Castillans sont vus c
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Français, Insulaires et Continentaux, Suédois et
Grecs
(pour ne parler que de géographie, d’histoire récente et de modes de
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oyants que soient les contrastes entre Suédois et
Grecs
, par exemple, il n’en reste pas moins qu’un Suédois lisant Kazantzaki
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ste pas moins qu’un Suédois lisant Kazantzaki, un
Grec
lisant Selma Lagerlöf, un Français et un Allemand lisant ces deux aut
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borées aux origines mêmes de l’Europe ; la notion
grecque
d’individu et la notion chrétienne de personne. La première remonte a
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C’est de la conjonction séculaire de ces valeurs
grecques
et chrétiennes que procède l’idée de liberté dans ses différentes acc
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tandis qu’il ne faut qu’une matinée à un délégué
grec
ou scandinave pour se rendre à Paris ou à Bruxelles ? L’Europe actuel
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930. Toute la Suisse se passionna pour la liberté
grecque
— fortement financée par le Genevois Eynard — et trouva dans cette pa
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t contradictoires, qui ont fait l’Europe. Sources
grecque
, juive et phénicienne, romaine, celte et germanique, arabe enfin ; et
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source judéo-chrétienne vient confluer la source
grecque
: l’homme mesure de toutes choses selon Protagoras, le « cosmopolite
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e l’Égypte et du Proche-Orient, prolongées par la
grecque
et la romaine, dont l’essentiel vit dans la nôtre, sont-elles mortes
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de la vérité objective nous vient sans doute des
Grecs
, eux-mêmes héritiers des premiers principes de la mathématique et de
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que le sont nos origines. Car la liberté pour le
Grec
, c’est la critique frondeuse, le risque individuel ; pour le chrétien
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mi-chemin entre l’animal et l’Égyptien. Pour les
Grecs
et les Chinois également, il existait deux espèces différentes de bip
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ux espèces différentes de bipèdes verticaux : les
Grecs
, ou les Chinois, d’une part, et les barbares, c’est-à-dire tous les a
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imée par saint Paul (« il n’y a plus ni juifs, ni
Grecs
, ni esclaves ni hommes libres, ni hommes ni femmes, car vous êtes tou
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up mieux que les fresques de Lascaux, les statues
grecques
et les temples des Pharaons menacés par les eaux d’un barrage. La mor
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e l’Égypte et du Proche-Orient, prolongées par la
grecque
et la romaine, dont l’essentiel vit dans la nôtre, sont-elles vraimen
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écondes, mais toujours provisoires. Entre l’homme
grec
, astucieux et critique, le citoyen romain obéissant à la raison d’Éta
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de la vérité objective nous vient sans doute des
Grecs
, eux-mêmes héritiers des premiers principes de la mathématique et de
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que le sont nos origines. Car la liberté pour le
Grec
, c’est la critique frondeuse, le risque individuel ; pour le chrétien
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écondes, mais toujours provisoires. Entre l’homme
grec
, astucieux et critique, le citoyen romain obéissant à la raison d’Éta
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de la vérité objective nous vient sans doute des
Grecs
, eux-mêmes héritiers des premiers principes de la mathématique et de
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que le sont nos origines. Car la liberté pour le
Grec
, c’est la critique frondeuse, le risque individuel ; pour le chrétien
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ché. Face à l’hôtel de ville, l’église. Le temple
grec
sur l’agora, l’autel romain sur le forum, enfin l’église chrétienne o