1 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
1 oint je ne sais quel leadership (nom moderne de l’ hégémonie ), conception déjà dépassée et au surplus disqualifiée par ceux-là mêm
2 storique à rester ou à redevenir — désormais sans hégémonie — ce qu’elle fut dès la Renaissance : une fonction mondiale, un foyer
3 obins de nation, de supernation, d’autarcie, ou d’ hégémonie continentale. Nos États se définissent depuis des siècles par les fro
2 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
4 e crise interne, va précipiter l’écroulement de l’ hégémonie politique de l’Europe, et même le rendre, à vues humaines, définitif.
5 ar une élémentaire prudence historique. Primo, l’ hégémonie politique n’est pas toujours et nécessairement liée à la vitalité d’u
6 e du même coup. Chacun sait que Gengis Khan eut l’ hégémonie sans la civilisation, mais que l’Europe du Moyen Âge eut une civilisa
7 e l’Europe du Moyen Âge eut une civilisation sans hégémonie . Secundo, il n’est pas du tout certain que les précédents historique
3 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
8 e : respectueux des diversités, exclusif de toute hégémonie d’une des parties contractantes. Mais le nationalisme, condamné par F
9 ra russe. Pour Kirievsky et ses amis, la notion d’ hégémonie organisatrice est capitale : Pour que l’unité de l’Europe se constit