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oint je ne sais quel leadership (nom moderne de l’
hégémonie
), conception déjà dépassée et au surplus disqualifiée par ceux-là mêm
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storique à rester ou à redevenir — désormais sans
hégémonie
— ce qu’elle fut dès la Renaissance : une fonction mondiale, un foyer
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obins de nation, de supernation, d’autarcie, ou d’
hégémonie
continentale. Nos États se définissent depuis des siècles par les fro
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e crise interne, va précipiter l’écroulement de l’
hégémonie
politique de l’Europe, et même le rendre, à vues humaines, définitif.
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ar une élémentaire prudence historique. Primo, l’
hégémonie
politique n’est pas toujours et nécessairement liée à la vitalité d’u
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e du même coup. Chacun sait que Gengis Khan eut l’
hégémonie
sans la civilisation, mais que l’Europe du Moyen Âge eut une civilisa
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e l’Europe du Moyen Âge eut une civilisation sans
hégémonie
. Secundo, il n’est pas du tout certain que les précédents historique
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e : respectueux des diversités, exclusif de toute
hégémonie
d’une des parties contractantes. Mais le nationalisme, condamné par F
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ra russe. Pour Kirievsky et ses amis, la notion d’
hégémonie
organisatrice est capitale : Pour que l’unité de l’Europe se constit