1 Fontaine, Le Monde, au lendemain de la révolution hongroise .) Cinquante ans d’analyses pessimistes de notre société et de son des

2 rtaires du « Printemps » polonais et de l’Octobre hongrois , enfin l’essor libérateur de la technique dans les régimes capitalist

3 s ? Le traumatisme provoqué par la brève tragédie hongroise et ressenti profondément dans toute l’Europe, mais aussi en Asie, et

4 mérique. Comme l’ont fait la plupart des ouvriers hongrois réfugiés en Autriche et libres de parler. Il n’en reste pas moins fra

5 appant de constater que l’avenir, aux yeux de ces Hongrois , s’il n’est pas l’URSS n’est pas non plus l’Europe… On devine, pour q

6 t des tensions. Le Sud-Est européen, de la Puszta hongroise à l’Asie Mineure turque, en passant par les Balkans, est demeuré sans

7 ière défense des diversités européennes, pour les Hongrois et les Polonais écrasés par la Russie, elle est le synonyme concret d

8 s comme deux cris, échappés au chef de la révolte hongroise , Lajos Kossuth, qui put émigrer en Europe, et au poète-soldat Alexand

9 de croissance ; des Balkaniques braconniers ; des Hongrois guerriers ? Comment calmerez-vous ce panier rempli de crabes qui se p