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i de but. Le monde magique est en forme de Boule,
infinie
et tout-englobante. En Occident, le moi et le non-moi, le oui et le n
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nces globales qu’il importe de déchiffrer. Mais l’
infinie
complexité de leurs données nous oblige à n’examiner que des prises p
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dans la mesure où elles résultent de nos variétés
infinies
et de leur équilibre en tension. L’impossible solitude À ces néc
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ions intérieures, de ce mouvement brownien de nos
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contradictions qui nous provoque à créer, à inventer, à émigrer, à ex
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ard mais c’est en vertu même de cette dialectique
infinie
et toujours ouverte que je décrivais plus haut, en vertu même de cett
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ions intérieures, de ce mouvement brownien de nos
infinies
contradictions qui nous provoquent d’âge en âge à créer, inventer, ém
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ard mais c’est en vertu même de cette dialectique
infinie
et toujours ouverte que je décrivais dans la première partie de mon e
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e en sa donnée — bien qu’offrant des possibilités
infinies
d’adaptation aux circonstances individuelles les plus diverses — une
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s’élance, reliant un sommet au monde des Lumières
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. À son entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste, jeun
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hors du canton. Ces trois points appelleraient d’
infinis
commentaires, un livre entier : imaginons du moins son argument. ⁂ S’