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groupe d’hommes attentifs dans une cour écoute le
lecteur
de poèmes : il s’agit de légendes sacrées. Jamais la vie ne m’a paru
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n’est pas de les mettre en relief pour inciter le
lecteur
à des comparaisons tournant à l’avantage de l’un ou de l’autre « camp
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’œuvre d’union… Ainsi jouent les sophistes, et le
lecteur
s’inquiète : il sent vaguement qu’il est en train de se laisser prend
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pérer d’une manière exemplaire — convainquant les
lecteurs
qu’il voulait révolter. Le masochisme européen avait trouvé son expre
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les qualités humaines et propose un sens moral au
lecteur
». C’est donc sa récente Aventure de l’homme occidental (Albin Michel
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t de L’Aventure occidentale de l’homme (que les
lecteurs
de Réalités connaissent bien par ses articles sur “La fin du pessimis
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foi nécessaire ? Je sais bien que certains de mes
lecteurs
hésitent à me donner raison, parce qu’ils doutent de l’avenir prochai
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vous célébrez aujourd’hui. En restituant pour les
lecteurs
du xxe siècle les textes originaux de la légende, et leur contexte c
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ion d’étendue comparable, sur notre continent. Le
lecteur
de ce recueil m’aura vu venir : je n’entendais poser que les prolégom
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x paperbacks, d’un supplément posthume de 200 000
lecteurs
aux États-Unis ! Deuxième conclusion : Gardons-nous d’opposer techniq
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la ligue des officiers, et surtout à replacer le
lecteur
d’aujourd’hui dans le climat de cette période angoissée, telle que j’
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62, p. 1. ak. Précédé du chapeau suivant : « Nos
lecteurs
se souviennent sans doute de l’étude du journaliste anglo-suisse Jon
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technique à l’homme. J’écris ceci pour amuser les
lecteurs
de 1980, s’ils retrouvent par hasard mon petit essai ; et pour que ce