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ion, la sagesse, la régénération, la connaissance
libérée
par l’illumination, la patrie originelle. Occident : le couchant, le
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uisque le moi est voie, et que la voie consiste à
libérer
progressivement une âme de l’illusion d’être distincte. Tout se ramèn
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l’Europe. Les réactions de défense des peuples «
libérés
» prendront la même forme que l’agression : une mobilisation de l’ins
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e la culture européenne, portée par la Science et
libérée
de tout impérialisme… Nous n’en sommes peut-être pas loin dans cette
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e d’évolution globale vers l’harmonie des peuples
libérés
a-t-il été brutalement démenti au terme même du processus de formatio
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tous du messianisme de la Révolution française :
libérer
sa propre nation du joug des tyrans intérieurs ou étrangers, c’est li
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du joug des tyrans intérieurs ou étrangers, c’est
libérer
l’Europe et le genre humain. En fait, la liberté de la nation, une fo
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ivilisation sont invités à se laisser éclairer et
libérer
par la sainte Russie, sous peine de « sombrer dans le cynisme » et d’
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l’amour-passion est cette forme de l’amour qui se
libère
des contraintes naturelles, des rythmes trop prévus de la sexualité,
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e l’amour, passion de l’âme ouverte sur l’esprit,
libérée
des corps dont elle vient, et survolant les irritantes vicissitudes d
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s communistes qui ont créé les moyens concrets de
libérer
le prolétariat, mais c’est la technique elle-même. Ce n’est pas en fr
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ons donc notre humanité occidentale partiellement
libérée
du travail mécanique, pourvue de loisirs tout nouveaux, et privée du
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ni de valeurs à proposer au tiers-monde récemment
libéré
? Vouloir faire l’Europe par des procédés techniques, sans tenir comp