1 Ce serait faire tort à l’homme que de nier leurs liens avec certaines options fondamentales qu’il a prises au plan religieux

2 rit le pèlerinage de l’âme, son « exil » dans les liens de la matière et du corps qui la retiennent captive dans leurs noires

3 ion, la connaissance égarée, et obscurcie par les liens matériels et passionnels, le lieu d’exil. Cette unanimité dans l’inte

4 et le mental à l’âme, donc délivrant celle-ci des liens de Prakriti (le monde manifesté, qui est illusion) afin qu’elle aille

5 peut la vouloir et la faire — donc l’unir par des liens fédéraux — si d’abord on nie qu’elle existe comme entité de culture e

6 socialisantes de nos institutions. Tels étant les liens innombrables qui unissent les attitudes fondamentales de la psyché eu

7 européennes se créent dès 194620. Ils nouent des liens entre eux dès 1950. On en compte aujourd’hui plus d’une vingtaine, po

8 ontière naturelle, mais le Danube et le Rhône des liens naturels ?…, etc. 20. Voir l’ Annuaire 1957 de l’Association des ins

9 d’oligarchies patriciennes pures ou mitigées. Un lien si lâche ne représentait en vérité qu’une faible garantie pour l’indé

10 ale. Rossi remarquait d’abord que la faiblesse du lien fédéral institué en Suisse par le Pacte de 1815 créait « une illusion

11 iminuer les souverainetés locales et d’établir un lien fédéral efficace. De nos jours encore, ceux qui s’intitulent « fédéra

12 ionale en est véritablement la création. Le seul lien qui devra subsister entre les peuples sera celui de la Science : … G

13 ux tout le reste. Nul État fermé ne supprimera ce lien , il le favorisera plutôt, car l’enrichissement de la Science par la p

14 ujourd’hui, dès lors que le mariage n’est plus un lien sacré, adversaire à la taille de la passion ; et que, loin de provoqu