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ous l’appeliez ‟Toi” ou que vous pensiez ‟Je suis
Lui
”. » S’il n’y avait « aucune différence », il n’y aurait pas non plus
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e la Matière pure. L’ange qui apparaît à l’adepte
lui
décrit un cosmos dont les données apparemment physiques se transmuent
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si détaché, si versé dans la Loi, et si maître de
lui
qu’il soit, un dieu lui-même ne peut sans le yoga atteindre la libéra
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ue vous l’appeliez Toi ou que Vous disiez Je suis
Lui
. » Nous y lisons maintenant la vraie définition de l’attitude religie
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ec le libre arbitre remonte à ses origines. Aussi
lui
reste-t-elle le plus souvent cachée ; il faut la déchiffrer dans ses
6
ha le territoire des Assassins, leur grand-maître
lui
fit escorte et lui montra au passage ses palais et ses châteaux. Ils
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s Assassins, leur grand-maître lui fit escorte et
lui
montra au passage ses palais et ses châteaux. Ils arrivèrent devant u
8
d maître voulut faire voir au comte que les siens
lui
obéissaient mieux qu’aux princes chrétiens leurs sujets : il leva le
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agne : il se verra mené à un point où éclatera en
lui
le plus sincère, le plus violent des refus. Les formes fondamentales
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ées de leur place ; l’horreur d’un monde étranger
lui
monte au cœur. Cette horreur saisira toujours celui qui respecte en l
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L’Europe est née ! Montesquieu, et Leibniz avant
lui
, mettent l’Europe au-dessus de leur « nation ». Mais l’adjectif europ
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éponse au post-scriptum d’Emmanuel Berl, que nous
lui
avons fait parvenir avant publication, Denis de Rougemont nous a envo
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’Autriche ? Et à Leipzig, avec Napoléon ou contre
lui
? Il ne suffit pas d’ignorer quand une personne est née pour avoir la
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r Quatre-vingt-quatre. Et soudain, celle de l’Est
lui
répond Quarante-huit. C’est quatre-vingt-quatre inversé. Jamais chiff
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de la valeur des conventions ; mais n’est-ce pas
lui
qui ouvrit, en 1919, le grand courant du pessimisme européen, par cet
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régime soviétique, et qu’Orwell a dit vrai malgré
lui
. Curieux pouvoir des pessimistes de l’autre siècle sur les héritiers
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lever la main pour demander la permission — qu’on
lui
refuse. Aucun ne peut garder seul ses colonies. Aucun ne peut vivre e
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ir et quatre heures du matin, mais ce régime doit
lui
convenir puisqu’il annonce deux importants ouvrages : l’un qui établi
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et suivi par beaucoup de députés — n’hésite pas,
lui
, à jouer le jeu de « ce qui se passerait si… » Seulement, il a tendan
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péens peut-elle contribuer à cette union, ou bien
lui
fait-elle obstacle ? Je pense qu’il faut répondre oui aux deux questi
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t les mécènes virtuels du continent s’obstinent à
lui
refuser même le centième de l’aide que lui accordent chez eux les emp
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nent à lui refuser même le centième de l’aide que
lui
accordent chez eux les empires ascendants et réalistes des USA et de
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e peut élaborer, et moins encore faire accepter à
lui
tout seul. Ces difficultés sont d’ordre culturel (spirituel et sociol
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répond dans la rigueur de sa pensée : il est chez
lui
. Que dit Einstein ? Il dit que, la guerre étant devenue le fait des n
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l’ait adoptée sans la moindre exigence critique,
lui
qui voyait pourtant et vivait de si près la montée d’Hitler au pouvoi
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. Il la cherche en vain, ne voit rien… Et c’est à
lui
que Freud écrit prophétiquement, à lui parmi tous ses contemporains,
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Et c’est à lui que Freud écrit prophétiquement, à
lui
parmi tous ses contemporains, à cet homme dont les découvertes ont dé
28
me si le calcul profond du daimôn qui habitait en
lui
, déjouant les conclusions sincères de sa raison, l’avait inconsciemme
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u roi de Sardaigne et du roi de Prusse. La France
lui
fournit en secret des canons et des fusils. Lorsque les cantons libér
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os pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que
lui
pose l’économie moderne. La situation n’a guère changé depuis ce con
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ion pour l’Europe. Malgré l’humiliant démenti que
lui
infligea l’affaire de Suez, l’illusion de la « souveraineté nationale
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de sa longue royauté mondiale. Déjà le communisme
lui
dispute non seulement en Asie et en Afrique, mais aux yeux d’une part
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, Dieu est la Vérité. On ne peut pas tricher avec
lui
, on ne peut pas tricher non plus avec la réalité du monde qu’il a cré
34
s hommes de notre continent, et l’on peut voir en
lui
le plus proche équivalent de l’invocation au sacré, dans notre civili
35
s autres cultures, mais ce sont les Européens qui
lui
ont donné son contenu concret et ont seuls démontré sa conscience. On
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ique, il a pour résultante actuelle de s’opposer,
lui
aussi, à l’Occident, en retardant ou sabotant l’union de l’Europe, ma
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entièrement après un laps de temps déterminé. Il
lui
faut donc prendre des mesures permettant d’atteindre bientôt sûrement
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haque État en effet ne peut les utiliser que pour
lui
à l’intérieur et nullement pour en asservir d’autres et pour s’attrib
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, il mobilise l’instinct patriotique et opère sur
lui
la première en date de toutes les nationalisations ; celle des commun
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as les déterminations naturelles de la nation qui
lui
donnent son caractère, mais c’est son esprit national. » (On voit don
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(On voit donc que nation et Patrie diffèrent pour
lui
comme esprit et nature.) Cet esprit national est « un individu dans l
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le d’une Europe des nationalités, qu’il considère
lui
aussi comme une étape inévitable, quoique dangereuse de l’évolution h
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fut, tout exige qu’elle reste la Hongrie. Enlevez-
lui
cette qualité, et elle n’est plus rien pour l’Europe, si peu que rien
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aternité internationale sur le globe. Michelet,
lui
aussi, exalte « l’intime harmonie qui doit unir toutes les parties co
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formule célèbre. Une nation ou une société, selon
lui
, ne conquiert que par sa culture le droit de jouer un rôle actif dans
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e l’Europe les souverainetés nationales absolues,
lui
paraît beaucoup plus grave : Ceux qui tiennent simplement pour une t
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la sainte journée ? Malheureuse Europe ! Pourquoi
lui
cacher ce qui l’attend ? Avant dix ans, elle sombrera dans la guerre
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simiste de l’Europe des nationalismes. Et c’est à
lui
que 1914 donnera raison. Car 1914 sonne le glas non de l’Europe, cert
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, Dieu est la Vérité. On ne peut pas tricher avec
Lui
, on ne peut pas tricher non plus avec la réalité du monde qu’il a cré
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s hommes de notre continent, et l’on peut voir en
lui
le plus proche équivalent de l’invocation au sacré, dans notre civili
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s autres cultures, mais ce sont les Européens qui
lui
ont donné son contenu concret et qui ont seuls démontré sa consistanc
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des fins qui dépassent la politique et qui seules
lui
donnent son vrai sens, son sens humain pour chaque personne. La polit
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politique cette valeur absolue de fin en soi que
lui
donnent les totalitaires — tant qu’un jour il n’y a plus rien d’autre
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des fins qui dépassent la politique et qui seules
lui
donnent son vrai sens, son sens humain, pour chaque personne. La poli
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politique cette valeur absolue de fin en soi que
lui
donnent les totalitaires, tant qu’un jour il n’y a plus rien d’autre
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, Dieu est la Vérité. On ne peut pas tricher avec
Lui
, on ne peut pas tricher non plus avec la réalité du monde qu’il a cré
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s hommes de notre continent, et l’on peut voir en
lui
le plus proche équivalent de l’invocation au sacré, dans notre civili
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s autres cultures, mais ce sont les Européens qui
lui
ont donné son contenu concret et ont seuls démontré sa consistance. O
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our l’aider à faire face au défi tout nouveau que
lui
porte le Monde, — ce Monde du xxe siècle né de leurs propres œuvres
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Pour faciliter les débuts de la Fondation, le CEC
lui
avait offert de partager une partie de ses locaux et de son staff à G
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ogramme, d’autre part de rassembler les fonds qui
lui
avaient été promis. Car elle ne disposait pas, comme les fondations a
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prends pas ce mot dans le sens noble et vague que
lui
donnent un peu trop facilement les poètes, ni dans le sens goethéen d
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fameux coup de foudre romantique — a cru voir en
lui
la lueur, toujours fuyante mais en fuite vers la hauteur, où elle ent
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amants ont perdu la vie, gagné l’amour. Le mari,
lui
, a partagé la vie d’Iseut. Il reste seul vivant, mais sans amour. Aux
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, un amour qui s’adresse à la part immortelle que
lui
seul pourra deviner — ou susciter dans l’autre : la part de l’Ange.
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, jeune femme d’une beauté resplendissante et qui
lui
dit : — Je suis toi-même ! Mais si l’homme sur la Terre a maltraité s
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ction, qui est d’orienter notre vie affective, de
lui
offrir un modèle simple et pur, une grande image ordonnatrice de la p
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pas à rappeler le souvenir d’un prédécesseur. Il
lui
fut donc loisible d’y indiquer d’intéressantes théories sur le roman
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t différent, M. Denis de Rougemont, qui a traité,
lui
, du « mythe » de Tristan et Iseut dans plusieurs ouvrages. M. Robert
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. En revanche, les noms d’hommes importants qu’on
lui
donnera sont inconnus hors du canton. Ces trois points appelleraient
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be sont faites par l’homme et ne feront rien sans
lui
. J’écrivais au lendemain d’Hiroshima : La bombe n’est pas dangereu
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est horriblement dangereux, c’est l’homme. C’est
lui
qui a fait la bombe et se prépare à l’employer. Le contrôle de la bom
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ts nous ramènent au contraire vers la culture, et
lui
donnent un sérieux nouveau, une importance économique croissante. Cep
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aimait pas les discussions métaphysiques ni qu’on
lui
demandât ce qu’il croyait. D’une thèse ou d’un point de vue qu’on le
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théologie. » Et l’on sentait qu’il s’agissait en
lui
non pas d’une objection logique ou de doctrine, mais d’une allergie s
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la chute assourdie de la strophe. Le monde humain
lui
apparaissait lourd et fluent, informe et grouillant comme le ventre t
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doute la morale. Pourtant, nul n’était moins que
lui
tenté par le nihilisme ou simplement par la révolte. Car il croyait q
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références secrètes à son système d’évaluations)
lui
permettaient de donner le change au premier venu. Il protégeait en lu
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onner le change au premier venu. Il protégeait en
lui
le grand poète qu’il se sentait devenir dans « le temps saugrenu » de
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ire, et la langue des idées en France, et Bossuet
lui
concède « la gloire d’avoir aussi bien écrit qu’homme de son siècle »
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ton quelconque, — l’idée même d’être original ne
lui
a pas fait perdre une seconde. On ne joue pas avec les mots quand on
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relâche à l’individu naturel par ce qui n’est pas
lui
, mais qui vient l’appeler et le réalise à jamais. Toutes les vertus
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pensée directrice : à Dieu seul tout est dû et de
Lui
seul tout vient. La phrase est souvent longue, mais d’une démarche fe
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par toute une élite européenne, assemblée devant
lui
, au pied de la chaire, et dont il connaît bien les circonstances conc
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ccident. Je cherche en vain l’esprit qu’on puisse
lui
comparer par l’ampleur et par la durée d’une action de cet ordre dans
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il est question d’intégration européenne et qu’on
lui
parle de culture, l’homme d’aujourd’hui, qu’il soit d’ailleurs indust
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e audience du Conseil fédéral. Ils ont mission de
lui
déclarer que s’il cède aux exigences des nazis, tout est prêt pour le
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er) envoie à Gazette de Lausanne un article qui
lui
vaut d’être mis aux arrêts (“Qui ne sait se taire nuit à son pays”).
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» par les divertissements (au sens pascalien) que
lui
offre une production massive de spectacles de tous ordres, de magazin
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s nombres, des standards et des modes favorise en
lui
une attitude de consommateur hédoniste. D’autre part, des possibilité
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plus vastes de création et de réalisation de soi
lui
sont ouvertes. Il est donc probable que la différence s’accentue entr
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d’une table de bistrot ou d’un étalage de marché
lui
permettraient de trouver quelques-uns des secrets (pour nous trop évi
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qui est celle des plans à grande échelle, allait
lui
porter le coup de grâce. Bien au contraire. Le bon usage et la santé