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pour s’élever vers le Rien transcendant. Les deux
mouvements
— descente et remontée — ne sont qu’apparemment superposables ; car i
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ais, entre ceux-ci et les Allemands, etc. Un même
mouvement
de ces esprits les porte à effacer les différences continentales, mai
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tification » comme eût dit Marx lui-même, et le «
mouvement
de l’histoire » un mauvais alibi pour nos démissions personnelles. Le
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tandis que les USA se voyaient condamnés par le «
mouvement
de l’histoire ». Telle était la religion des « progressistes ». Voyon
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sé. Sa décadence paraissait donc irréversible. Le
mouvement
vers l’union fédérale, déclenché au lendemain de la guerre par les co
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ndemain de la dernière guerre ? Parallèlement aux
mouvements
fédéralistes, une série d’instituts d’études européennes se créent dè
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udes et d’initiatives. Fondé sous les auspices du
Mouvement
européen, le CEC est issu des délibérations du congrès de La Haye (ma
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et ces déséquilibres sociaux devaient nourrir le
mouvement
de « Régénération » qui se prononça dès 1830. Influencée par l’action
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fait que les chartes revendiquées ailleurs par le
mouvement
de 1848, la Constitution fédérale fut présentée au peuple comme un co
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stoire. Déjà, le pacte de 1291, dernier reflet du
mouvement
des communes italiennes, françaises et flamandes, était apparu comme
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heureuses. « La Confédération suisse est le seul
mouvement
qui ait survécu au combat pour l’idée démocratique et communale au Mo
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durable que l’on puisse attribuer précisément au
mouvement
général de 1848, partout ailleurs étouffé après la première explosion
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iques, de notre hygiène et de notre alphabet. Nul
mouvement
réciproque n’est encore observé, ni même pressenti. 3. C’est l’Europe
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os produits, donc au total, à l’expansion. Que ce
mouvement
ait été baptisé « impérialisme » au xxe siècle, voilà qui me paraît
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ême parfois nos dictatures. Et nous savons que ce
mouvement
d’imitation s’opère à sens unique et n’est plus réversible. Mais comm
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rendre la vraie nature du phénomène c’est dans le
mouvement
de sa genèse intellectuelle qu’il faut le saisir. Car le nationalisme
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ature en nationalisme, culte laïque de l’État. Le
mouvement
Jeune Europe, qui voulait utiliser les passions nationales au service
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, elle va protéger, par la force au besoin, « les
mouvements
légitimes de croissance et de nationalité des peuples ». Cependant, e
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et unifiante, imposée par une force extérieure au
mouvement
spontané de la culture. Nous tous, que nous le sachions ou non et que
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ôt de notre régime de tensions intérieures, de ce
mouvement
brownien de nos infinies contradictions qui nous provoque à créer, à
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exporter, et nous condamne à l’expansion. Que ce
mouvement
ait été baptisé « impérialisme » au xxe siècle, voilà qui me paraît
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ous demande souvent, de tous côtés : Êtes-vous un
mouvement
politique ? Il me semble que le commentaire que je viens de vous donn
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et unifiante, imposée par une force extérieure au
mouvement
spontané de la culture. Nous tous, que nous le sachions ou non et que
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ôt de notre régime de tensions intérieures, de ce
mouvement
brownien de nos infinies contradictions qui nous provoquent d’âge en
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xporter, et nous condamnent à l’expansion. Que ce
mouvement
ait été baptisé « impérialisme » au xxe siècle, voilà qui me paraît
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ostique du Second Faust de Goethe, mais aussi, le
mouvement
de l’ascension mystique de Dante, poursuivant l’image aimée d’une Béa
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du Centre européen de la culture, engagé dans le
mouvement
fédéraliste européen, M. de Rougemont est entre autres fondateur, ave
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t est entre autres fondateur, avec E. Mounier, du
mouvement
personnaliste, président du comité exécutif du Congrès pour la libert
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a Gréco — de l’Épître à François Ier, opposons le
mouvement
pressant et familier des Sermons qu’il prononce chaque jour à la cath
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ous voyons que le programme commun des instituts,
mouvements
et associations de culture que notre Fondation entend soutenir, doit
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ient de publier, M. Jon Kimche parle beaucoup des
mouvements
de résistance qui se développèrent en Suisse pendant la crise de mai
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signalé la formation durant l’été de 1940 d’un «
mouvement
de résistance » — il en distingue deux, l’un civil, l’autre formé d’o
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n chef rendit inutile toute action directe de ces
mouvements
qui ont toutefois joué un rôle non négligeable en faisant front contr
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La Ligue du Gothard : premier
mouvement
de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)am an Mercred
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tu, nos conjurés sont réunis pour la fondation du
mouvement
de résistance à tout prix, contre tous les défaitismes et opportunism
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j’ai eu le temps de rédiger le manifeste de notre
mouvement
, qui a pris le nom de « Ligue du Gothard », pour ma plus grande satis
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nal d’un témoin II : La Ligue du Gothard, premier
mouvement
de résistance », Tribune de Genève, Genève, 25 juin 1962, p. 1. an.
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e. Elle avait au départ formé le noyau du premier
mouvement
de résistance, au sens que ce mot devait prendre un peu plus tard dan
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moins forte et moins bien alertée. Et notre petit
mouvement
de résistance, pour préventif qu’il soit resté, eût certainement pass
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« l’Action nationale de résistance », tantôt le «
Mouvement
de résistance national ». Si j’en juge par les noms qu’il donne des r
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s noms qu’il donne des responsables de ce dernier
Mouvement
, il ne saurait s’agir que d’une organisation civile qui apparut duran
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du Gothard et la substitution à cette ligue d’un
mouvement
qui n’eut d’autre tort à mes yeux que celui de n’avoir pas existé pen
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ccès des thèses gaullistes, et par la carence des
mouvements
fédéralistes. Il en résulte alors, nécessairement, une renaissance de
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e. Revenu en Europe en 1946, il s’engagea dans le
mouvement
pour une fédération européenne et il organisa, en 1949, à Lausanne, l
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ations les plus centralisées, comme la France, le
mouvement
de restauration des compétences communales se prononce chaque année p