1 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
1 choses qui nous engagerait au sacrifice de notre nationalité . » Un autre député qualifiait de « chimère » l’idée d’une Union suiss
2 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
2 tisme, en appelant lyriquement la formation des «  nationalités  » comme autant d’étapes nécessaires d’une dialectique de l’Esprit, s’
3 es romantiques allemands : celle d’une Europe des nationalités , qu’il considère lui aussi comme une étape inévitable, quoique danger
4 ur que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païenne succède la fraternité chrétienne. Passons sur des exclamatio
5 dans le sens mazzinien d’une « Internationale des nationalités  », et il loue Herder d’avoir considéré l’humanité « comme une grande
6 icain ! Pauvres petits-fils ! Si pour Heine la «  nationalité  » représente la dernière défense des diversités européennes, pour les
7 métropole d’un monde au sein duquel toutes les «  nationalités  » politiques et spirituelles, sauvegardant leur diversité, entreraien
8 autre origine. La Pologne et la Hongrie sont des nationalités opprimées et qui ont perdu l’indépendance ; l’Allemagne et l’Italie s
9 n, « les mouvements légitimes de croissance et de nationalité des peuples ». Cependant, elle n’entend pas : incendier le monde, ma
10 frontières, a créé entre les esprits cette grande nationalité intellectuelle qui sera l’achèvement de la Révolution française et la
11 ’Europe… Lorsque cet idéal sera réalisé, alors la nationalité internationale des Suisses pourra se dissoudre dans la plus grande co
12  ». Grâce aux divisions morbides que la folie des nationalités a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi