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de lycée à Marseille et Oran, puis successivement
officier
de parachutistes dans les Forces françaises libres en Angleterre et à
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de lycée à Marseille et Oran, puis successivement
officier
de parachutistes dans les Forces françaises libres en Angleterre et à
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. Il insiste notamment sur la fameuse « ligue des
officiers
», affaire dont M. Kurz, de son côté, souhaite qu’elle soit un jour é
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les circonstances qui firent naître la ligue des
officiers
, et surtout à replacer le lecteur d’aujourd’hui dans le climat de cet
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u de rédiger des plans de causeries à l’usage des
officiers
chargés de faire la « théorie » quotidienne à leur troupe. C’était au
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— Non, mon colonel. — Pourquoi ? — Je ne suis pas
officier
de carrière. — Vous deviez le faire quand même. Vous êtes accusé d’in
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rniers. Secret bien gardé jusqu’ici. Ce matin, un
officier
de l’E.-M. est venu m’avertir de ce qui s’est passé dans la nuit de s
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il en distingue deux, l’un civil, l’autre formé d’
officiers
— qui entendait barrer la route à ceux qui auraient pu être tentés d’
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près la guerre, l’épisode de « la conjuration des
officiers
» dont l’acte d’indiscipline fut sanctionné, mais dont les objectifs
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e le capitaine E., l’un des chefs de la ligue des
officiers
— tout ce qu’il possède, paraît-il. 26 juin 1940 Hier, discours de Pi
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croire qu’il ne l’a pas senti. Mais ce matin, un
officier
de l’E.-M. du Général me dit : « Pour la première fois de ma vie, j’a
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1962)ao ap 10 juillet 1940 Réunion avec trois
officiers
de l’E.-M. G. chargés de préparer le message du 1er août du général.
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ts que je relèverai maintenant. 1. La « ligue des
officiers
» s’est bien constituée aux dates qu’indique M. Kimche (seconde quinz
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d’importance : je ne crois pas un instant que les
officiers
ligueurs aient pu douter de la volonté de résistance à tout prix du G
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t à sa table. 2. Il est probable que la ligue des
officiers
et la ligue civile naquirent simultanément, et il est certain qu’elle
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gue du Gothard qui agit seule en liaison avec les
officiers
pendant la crise de l’été 1940. 3. L’absence de toute mention de la L
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e 25 juillet, le général Guisan convoqua tous les
officiers
supérieurs de l’armée sur la prairie du Grütli pour leur exposer son
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e, « Journal d’un témoin III : La conjuration des
officiers
en juin 1940 », Tribune de Genève, Genève, 26 juin 1962, p. 1. ap. P