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es égards, en effet, le Moyen Âge a représenté la
période
« orientale » de l’Occident. Le symbolisme y dominait dans tous les o
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la foi jurée devaient rester, pendant toute cette
période
, le seul gage d’unité (relative) de ceux qui se désignaient comme les
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-éclair (9 mois en tout !) succédait à une longue
période
de crise et à des siècles de refus obstiné de tout pouvoir central. L
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es devait fatalement décliner et mourir après une
période
d’apogée, — la nôtre aussi. Aux débuts du xxe siècle, Spengler va pl
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ses arts. On a beau citer le Moyen Âge comme une
période
bénie d’unité des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis
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fois une catastrophe naturelle, comme la dernière
période
glaciaire, ou le dessèchement du Sahara, affectant la région entière
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uvons le raisonnement suivant, toujours lié à une
période
de crise guerrière ou révolutionnaire : — Notre peuple se distingue e
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ent fermés. Or, l’Europe n’en est encore qu’à la
période
des essais pour former de véritables Nations. Il s’agit donc de pouss
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ustré par toutes les grandes voix de 48, et de la
période
qui suit, à l’Est comme à l’Ouest, et en Suisse comme en France. Il m
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ses arts. On a beau citer le Moyen Âge comme une
période
bénie d’unité des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis
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ses arts. On a beau citer le Moyen Âge comme une
période
bénie d’unité des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis
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le Conseil des gouverneurs, durant cette première
période
, se basait sur l’idée saine en soi que les fonds viennent à qui sait
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itaire ou économique, entièrement fausse pour les
périodes
qui nous précèdent, peut nous sembler en train de devenir vraie. La p
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le lecteur d’aujourd’hui dans le climat de cette
période
angoissée, telle que j’ai pu la voir de près, à Berne. Il s’agit de n
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s yeux que celui de n’avoir pas existé pendant la
période
que décrit Kimche, n’est pas seulement une erreur de fait que l’auteu