1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 n, la connaissance libérée par l’illumination, la patrie originelle. Occident : le couchant, le soir, le bas, la gauche, l’ép
2 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
2 vrai patriotisme, avec le réalisme politique. La patrie n’est pas la nation, elle est en général beaucoup plus petite. La nat
3 al beaucoup plus grande. Et si l’on confond tout, patrie , État, nation, spirituel, culturel et politique, dans les limites d’u
3 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
4 fusil !)23 qui seules entretenaient l’idéal d’une patrie commune et d’une véritable fédération, la Régénération conquit le pou
5 élite et les masses : « Oui, l’idée d’une commune patrie ne nous est point étrangère… Et quoi qu’en disent les détracteurs des
6 it se trouver le remède aux maux qui affligent la patrie . » Ce « nouveau Pacte » se résumait essentiellement dans l’idée de cr
7 où ses idées triomphèrent enfin dans l’une de ses patries d’adoption.) 25. Sur le total des citoyens ayant le droit de vote, 5
4 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
8  ordonné que tous considèrent la Terre comme leur patrie  ». De l’esprit de solidarité évangélique — que tous soient un comme l
9 rique, qui est une invention de l’Europe. Europe, patrie de la Mémoire et de l’invention, fomentées l’une par l’autre et compl
5 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
10 ur d’être élevés, qu’ils aiment comme on aime une patrie , mais l’amour est lucide, la patrie n’est pas le monde… Voici qu’ils
11 e on aime une patrie, mais l’amour est lucide, la patrie n’est pas le monde… Voici qu’ils peuvent sans la trahir aller plus lo
6 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
12 mœurs particulières, qui aime avec dévouement la patrie et tout ce qui est de la patrie, l’honneur national se développera tr
13 vec dévouement la patrie et tout ce qui est de la patrie , l’honneur national se développera très vite, à un degré élevé, ainsi
14 t un seul peuple reconnaissant l’Europe pour leur patrie commune, et d’un bout à l’autre du continent cherchent les mêmes chos
15 on esprit national. » (On voit donc que nation et Patrie diffèrent pour lui comme esprit et nature.) Cet esprit national est «
16 es ! » s’écriait le Polonais, désespérant pour sa patrie . Les Italiens, qui se sentent au seuil de leur indépendance, prennent
17 monde, c’est l’Europe, de plus européen, c’est ma patrie , c’est la France. Mais c’est finalement à Victor Hugo qu’il appartie
18 éclarations réitérées sur l’avenir européen de sa patrie illustrent mieux que toute autre la grandiose ambiguïté de l’idée nat
19 mes l’Européen à venir ; s’ils appartinrent à une patrie , ce ne fut jamais que par les régions superficielles de leur intellig