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n, la connaissance libérée par l’illumination, la
patrie
originelle. Occident : le couchant, le soir, le bas, la gauche, l’ép
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vrai patriotisme, avec le réalisme politique. La
patrie
n’est pas la nation, elle est en général beaucoup plus petite. La nat
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al beaucoup plus grande. Et si l’on confond tout,
patrie
, État, nation, spirituel, culturel et politique, dans les limites d’u
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fusil !)23 qui seules entretenaient l’idéal d’une
patrie
commune et d’une véritable fédération, la Régénération conquit le pou
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élite et les masses : « Oui, l’idée d’une commune
patrie
ne nous est point étrangère… Et quoi qu’en disent les détracteurs des
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it se trouver le remède aux maux qui affligent la
patrie
. » Ce « nouveau Pacte » se résumait essentiellement dans l’idée de cr
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où ses idées triomphèrent enfin dans l’une de ses
patries
d’adoption.) 25. Sur le total des citoyens ayant le droit de vote, 5
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ordonné que tous considèrent la Terre comme leur
patrie
». De l’esprit de solidarité évangélique — que tous soient un comme l
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rique, qui est une invention de l’Europe. Europe,
patrie
de la Mémoire et de l’invention, fomentées l’une par l’autre et compl
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ur d’être élevés, qu’ils aiment comme on aime une
patrie
, mais l’amour est lucide, la patrie n’est pas le monde… Voici qu’ils
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e on aime une patrie, mais l’amour est lucide, la
patrie
n’est pas le monde… Voici qu’ils peuvent sans la trahir aller plus lo
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mœurs particulières, qui aime avec dévouement la
patrie
et tout ce qui est de la patrie, l’honneur national se développera tr
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vec dévouement la patrie et tout ce qui est de la
patrie
, l’honneur national se développera très vite, à un degré élevé, ainsi
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t un seul peuple reconnaissant l’Europe pour leur
patrie
commune, et d’un bout à l’autre du continent cherchent les mêmes chos
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on esprit national. » (On voit donc que nation et
Patrie
diffèrent pour lui comme esprit et nature.) Cet esprit national est «
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es ! » s’écriait le Polonais, désespérant pour sa
patrie
. Les Italiens, qui se sentent au seuil de leur indépendance, prennent
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monde, c’est l’Europe, de plus européen, c’est ma
patrie
, c’est la France. Mais c’est finalement à Victor Hugo qu’il appartie
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éclarations réitérées sur l’avenir européen de sa
patrie
illustrent mieux que toute autre la grandiose ambiguïté de l’idée nat
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mes l’Européen à venir ; s’ils appartinrent à une
patrie
, ce ne fut jamais que par les régions superficielles de leur intellig