1
(le non-être). La Ténèbre règne à demeure sur ce
pays
. « Ceux qui le cultivent viennent d’ailleurs… » (Thème de l’Exil.) Et
2
sation varie d’une manière considérable selon les
pays
, et à l’intérieur même de presque tous les pays. L’Europe latine, ang
3
s pays, et à l’intérieur même de presque tous les
pays
. L’Europe latine, anglo-saxonne et germano-scandinave, conservatoire
4
ment la densité maxima. Les Amériques et certains
pays
du Commonwealth forment une zone de diffusion occidentale parfois plu
5
omposez maintenant une chanson dans le goût de ce
pays
; mais ils ne purent écrire que de petites mélodies qui ne rappelaien
6
que jouent les valeurs occidentales même dans les
pays
qui ne se sentent pas ou ne se veulent pas des nôtres. L’Occident app
7
omme vote, et sa voix détermine l’économie de son
pays
, que ce soit d’une manière directe comme en Suisse, ou plus souvent p
8
rédaction sur l’Europe aux élèves des écoles de 7
pays
, et donne des prix à 80 d’entre eux, sur plus de 300 000 participants
9
s. Le Centre a donc suscité dans plusieurs de nos
pays
des expériences-pilotes d’éducation européenne prenant appui soit s
10
eurs où se trouvent représentés la plupart de nos
pays
(y compris la Grande-Bretagne et les États scandinaves). Enfin, il le
11
s la détermination de la mission singulière de ce
pays
. En effet, ce fut bien pour assurer la garde du col au nom de l’Empir
12
épendants, abbayes, ligues locales, bailliages et
pays
sujets, toutes unités de langues et d’économies fort diverses. Ce lon
13
er le chaos et la ruine dans la vie économique du
pays
. On prédisait la faillite des industries « protégées », l’envahisseme
14
les partisans d’une union institutionnelle de nos
pays
. Cette contradiction apparente et purement verbale s’explique par la
15
ur l’Europe entière et sa culture. » Aucun de nos
pays
ne peut donc bénéficier du crédit qui s’attache à l’Europe tout entiè
16
nternes de l’union. S’il est vrai qu’aucun de nos
pays
ne peut prétendre à représenter valablement l’ensemble Europe devant
17
otre Europe désunie marche à sa fin. Aucun de nos
pays
ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance.
18
éfense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos
pays
ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’économie moderne
19
la Hongrie l’est aussi… La France est « un grand
pays
qui n’a besoin de personne ». L’Angleterre est liée aux dominions par
20
ue doit être considérée l’union partielle des six
pays
qui ont initié le Marché commun. Ceux qui reprochent aux auteurs du t
21
té de Rome d’avoir voulu « limiter l’Europe à six
pays
» sont-ils sincères, ou simplement vexés que l’Europe ait commencé en
22
n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les
pays
« sous-développés » revendiquent à grands cris et non sans haine une
23
ras de circulation. Nous savons bien que tous les
pays
neufs imitent nos parlements, partis et syndicats, et même parfois no
24
ratiquants des trois grandes confessions dans les
pays
de l’Europe de l’Est et en Russie (on compterait, aux dernières nouve
25
s baptistes, à quoi s’ajoutent les luthériens des
pays
baltes et les Arméniens du Caucase). Le PC russe n’a jamais dépassé 8
26
un instant l’univers pour ne s’occuper que de son
pays
; je veux cette espèce d’égoïsme national sans lequel nous trahirons
27
nationale, c’est-à-dire n’ayant cours que dans le
pays
même, mais dans celui-ci exclusivement… Le gouvernement a mis la main
28
r pureté ni remplacées par des succédanés dans le
pays
, puisqu’il doit s’en déshabituer entièrement, entraîné d’ailleurs act
29
recherche de distractions de transporter en tout
pays
leur ennui. Les voyages des premiers s’effectuent pour le plus grand
30
le. « Vive la Nation » ne signifie pas « Vive mon
pays
», mais « Vive l’idéal pour lequel je me bats ». Or cet idéal, étant
31
nations encore à naître. On conçoit que pour ces
pays
, l’idée nationale se confonde avec l’idée de Liberté, et s’harmonise
32
Gaspar Bluntschli, déclare au sujet de son petit
pays
: La Suisse a clarifié et réalisé dans son domaine des idées et des
33
division de l’Église, il est donc du devoir de ce
pays
, plus que de tout autre, de recréer la communauté des nations et de s
34
serait restée le privilège des Russes et que nos
pays
de l’Ouest auraient perdue ; mais cette notion se trouve empruntée à
35
x des peuples et de leurs hommes d’État, dans les
pays
au moins qui auront subi, à l’Ouest, la loi totalitaire nationale-soc
36
n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les
pays
« sous-développés » revendiquent à grands cris de haine une aide qui
37
s réunions successivement dans plus de vingt-cinq
pays
sur les cinq continents — mais voici le point important : ce Congrès
38
vivent (en Occident au moins autant que dans les
pays
techniquement non développés) des centaines de millions d’êtres humai
39
vivent (en Occident au moins autant que dans les
pays
techniquement non développés) des centaines de millions d’êtres humai
40
n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les
pays
« sous-développés » revendiquent à grands cris de haine une aide qui
41
nent, à rendre aux chercheurs et créateurs de nos
pays
une confiance en soi et en l’avenir qui est l’une des premières condi
42
ssi grand que possible de donateurs dans tous nos
pays
. La politique adoptée par le Conseil des gouverneurs, durant cette p
43
rrive que des touristes l’exigent, je dirais : un
pays
de petits compartiments surmontés de sommets éclatants. Voyons cela d
44
de la culture, écrivait à propos de la Suisse :
Pays
de gens moyens, oui. Mais quand ils réussissent à se dégager de leur
45
voir grand ; c’est au contraire en quittant leur
pays
. Paracelse quitta très tôt son canton natal de Schwyz, Léonard Euler
46
in ; c’est au contraire de l’étranger, des grands
pays
voisins et parfois de l’Amérique, que ce nom nous est revenu, comme i
47
cation parfois bruyante et turbulente de tous les
pays
du tiers-monde, même les plus farouchement hostiles à l’Occident, en
48
Car c’est ce contexte culturel qui agit dans les
pays
sous-développés, à l’insu des bénéficiaires de nos techniques, mais a
49
inventées par l’Occident et transportées dans les
pays
sous-développés sont les équivalents modernes du cheval de Troie. Et
50
i nous persistons à l’ignorer, nous donnerons aux
pays
sous-développés des objets explosifs et destructeurs de leurs traditi
51
lque 300 fondations culturelles existant dans nos
pays
, qui ne se chiffre qu’en millions de francs, marks ou florins. Mais q
52
tuelle. Il faudrait déclencher une action dans le
pays
, pour la résistance à tout prix, avec le Gothard comme symbole et com
53
ent vaudois ! (« Qui ne sait se taire, nuit à son
pays
! ») Je le relis rapidement dans l’escalier : il me paraît un peu sen
54
ceux qui auraient pu être tentés d’intégrer notre
pays
au système du Troisième Reich alors triomphant. Le général Guisan a d
55
vez pour mission de sauvegarder l’indépendance du
pays
et de maintenir l’intégrité du territoire. Il est clair que pour défe
56
lences opportuns) pour défendre l’indépendance du
pays
. Cela se discute, mais j’ai pris mon parti, tout comme le général de
57
uisses. Ce texte va paraître dans 74 journaux du
pays
. Dans chacun, nous avons acheté une page entière. (Formule de la publ
58
mis aux arrêts (“Qui ne sait se taire nuit à son
pays
”). Le moral des Suisses va-t-il flancher devant le raz de marée nazi
59
e ce mot devait prendre un peu plus tard dans les
pays
occupés par Hitler. Je suis conscient du léger ridicule qu’aux yeux d
60
t certainement passé à la pratique si le moral du
pays
ne s’était pas ressaisi. Le seul fait qu’à ce redressement la Ligue a
61
Mur de Berlin, et de la Libération à la perte des
pays
de l’Est ; de l’omniprésence communiste en France et en Italie au rep
62
ionalisme bourgeois (xixe siècle) que les petits
pays
neufs s’efforçaient encore de copier dans les années 1950 à 1970. Le
63
ssible par l’union économique et politique de nos
pays
, et d’autre part l’accroissement de la population et l’urbanisation d
64
entralisation systématique dans l’ensemble de nos
pays
. On pouvait croire que l’ère technique, qui est celle des plans à gra