1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 (le non-être). La Ténèbre règne à demeure sur ce pays . « Ceux qui le cultivent viennent d’ailleurs… » (Thème de l’Exil.) Et
2 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
2 sation varie d’une manière considérable selon les pays , et à l’intérieur même de presque tous les pays. L’Europe latine, ang
3 s pays, et à l’intérieur même de presque tous les pays . L’Europe latine, anglo-saxonne et germano-scandinave, conservatoire
4 ment la densité maxima. Les Amériques et certains pays du Commonwealth forment une zone de diffusion occidentale parfois plu
5 omposez maintenant une chanson dans le goût de ce pays  ; mais ils ne purent écrire que de petites mélodies qui ne rappelaien
6 que jouent les valeurs occidentales même dans les pays qui ne se sentent pas ou ne se veulent pas des nôtres. L’Occident app
3 1958, Articles divers (1957-1962). Demain l’Europe sans frontières ?[préface] (1958)
7 omme vote, et sa voix détermine l’économie de son pays , que ce soit d’une manière directe comme en Suisse, ou plus souvent p
4 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
8 rédaction sur l’Europe aux élèves des écoles de 7 pays , et donne des prix à 80 d’entre eux, sur plus de 300 000 participants
9 s. Le Centre a donc suscité dans plusieurs de nos pays des expériences-pilotes d’éducation européenne prenant appui soit s
10 eurs où se trouvent représentés la plupart de nos pays (y compris la Grande-Bretagne et les États scandinaves). Enfin, il le
5 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
11 s la détermination de la mission singulière de ce pays . En effet, ce fut bien pour assurer la garde du col au nom de l’Empir
12 épendants, abbayes, ligues locales, bailliages et pays sujets, toutes unités de langues et d’économies fort diverses. Ce lon
13 er le chaos et la ruine dans la vie économique du pays . On prédisait la faillite des industries « protégées », l’envahisseme
14 les partisans d’une union institutionnelle de nos pays . Cette contradiction apparente et purement verbale s’explique par la
6 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
15 ur l’Europe entière et sa culture. » Aucun de nos pays ne peut donc bénéficier du crédit qui s’attache à l’Europe tout entiè
16 nternes de l’union. S’il est vrai qu’aucun de nos pays ne peut prétendre à représenter valablement l’ensemble Europe devant
17 otre Europe désunie marche à sa fin. Aucun de nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance.
18 éfense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’économie moderne
19 la Hongrie l’est aussi… La France est « un grand pays qui n’a besoin de personne ». L’Angleterre est liée aux dominions par
20 ue doit être considérée l’union partielle des six pays qui ont initié le Marché commun. Ceux qui reprochent aux auteurs du t
21 té de Rome d’avoir voulu « limiter l’Europe à six pays  » sont-ils sincères, ou simplement vexés que l’Europe ait commencé en
7 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
22 n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous-développés » revendiquent à grands cris et non sans haine une
23 ras de circulation. Nous savons bien que tous les pays neufs imitent nos parlements, partis et syndicats, et même parfois no
8 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
24 ratiquants des trois grandes confessions dans les pays de l’Europe de l’Est et en Russie (on compterait, aux dernières nouve
25 s baptistes, à quoi s’ajoutent les luthériens des pays baltes et les Arméniens du Caucase). Le PC russe n’a jamais dépassé 8
9 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
26 un instant l’univers pour ne s’occuper que de son pays  ; je veux cette espèce d’égoïsme national sans lequel nous trahirons
27 nationale, c’est-à-dire n’ayant cours que dans le pays même, mais dans celui-ci exclusivement… Le gouvernement a mis la main
28 r pureté ni remplacées par des succédanés dans le pays , puisqu’il doit s’en déshabituer entièrement, entraîné d’ailleurs act
29 recherche de distractions de transporter en tout pays leur ennui. Les voyages des premiers s’effectuent pour le plus grand
30 le. « Vive la Nation » ne signifie pas « Vive mon pays  », mais « Vive l’idéal pour lequel je me bats ». Or cet idéal, étant
31 nations encore à naître. On conçoit que pour ces pays , l’idée nationale se confonde avec l’idée de Liberté, et s’harmonise
32 Gaspar Bluntschli, déclare au sujet de son petit pays  : La Suisse a clarifié et réalisé dans son domaine des idées et des
33 division de l’Église, il est donc du devoir de ce pays , plus que de tout autre, de recréer la communauté des nations et de s
34 serait restée le privilège des Russes et que nos pays de l’Ouest auraient perdue ; mais cette notion se trouve empruntée à
35 x des peuples et de leurs hommes d’État, dans les pays au moins qui auront subi, à l’Ouest, la loi totalitaire nationale-soc
10 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
36 n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous-développés » revendiquent à grands cris de haine une aide qui
11 1960, Articles divers (1957-1962). Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de la rencontre de Berlin (extraits) (juin-juillet 1960)
37 s réunions successivement dans plus de vingt-cinq pays sur les cinq continents — mais voici le point important : ce Congrès
38 vivent (en Occident au moins autant que dans les pays techniquement non développés) des centaines de millions d’êtres humai
12 1960, Articles divers (1957-1962). La liberté et le sens de la vie (8 juillet 1960)
39 vivent (en Occident au moins autant que dans les pays techniquement non développés) des centaines de millions d’êtres humai
13 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
40 n’explique pas tout, loin de là ! Et lorsque les pays « sous-développés » revendiquent à grands cris de haine une aide qui
14 1960, Articles divers (1957-1962). Une fusée à trois étages : bref historique de la Fondation (octobre 1960)
41 nent, à rendre aux chercheurs et créateurs de nos pays une confiance en soi et en l’avenir qui est l’une des premières condi
42 ssi grand que possible de donateurs dans tous nos pays . La politique adoptée par le Conseil des gouverneurs, durant cette p
15 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
43 rrive que des touristes l’exigent, je dirais : un pays de petits compartiments surmontés de sommets éclatants. Voyons cela d
44 de la culture, écrivait à propos de la Suisse : Pays de gens moyens, oui. Mais quand ils réussissent à se dégager de leur
45 voir grand ; c’est au contraire en quittant leur pays . Paracelse quitta très tôt son canton natal de Schwyz, Léonard Euler
46 in ; c’est au contraire de l’étranger, des grands pays voisins et parfois de l’Amérique, que ce nom nous est revenu, comme i
16 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
47 cation parfois bruyante et turbulente de tous les pays du tiers-monde, même les plus farouchement hostiles à l’Occident, en
48 Car c’est ce contexte culturel qui agit dans les pays sous-développés, à l’insu des bénéficiaires de nos techniques, mais a
49 inventées par l’Occident et transportées dans les pays sous-développés sont les équivalents modernes du cheval de Troie. Et
50 i nous persistons à l’ignorer, nous donnerons aux pays sous-développés des objets explosifs et destructeurs de leurs traditi
17 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
51 lque 300 fondations culturelles existant dans nos pays , qui ne se chiffre qu’en millions de francs, marks ou florins. Mais q
18 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
52 tuelle. Il faudrait déclencher une action dans le pays , pour la résistance à tout prix, avec le Gothard comme symbole et com
53 ent vaudois ! (« Qui ne sait se taire, nuit à son pays  ! ») Je le relis rapidement dans l’escalier : il me paraît un peu sen
54 ceux qui auraient pu être tentés d’intégrer notre pays au système du Troisième Reich alors triomphant. Le général Guisan a d
19 1962, Articles divers (1957-1962). La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)
55 vez pour mission de sauvegarder l’indépendance du pays et de maintenir l’intégrité du territoire. Il est clair que pour défe
56 lences opportuns) pour défendre l’indépendance du pays . Cela se discute, mais j’ai pris mon parti, tout comme le général de
57 uisses. Ce texte va paraître dans 74 journaux du pays . Dans chacun, nous avons acheté une page entière. (Formule de la publ
58 mis aux arrêts (“Qui ne sait se taire nuit à son pays ”). Le moral des Suisses va-t-il flancher devant le raz de marée nazi 
20 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
59 e ce mot devait prendre un peu plus tard dans les pays occupés par Hitler. Je suis conscient du léger ridicule qu’aux yeux d
60 t certainement passé à la pratique si le moral du pays ne s’était pas ressaisi. Le seul fait qu’à ce redressement la Ligue a
21 1962, Articles divers (1957-1962). Dans vingt ans une Europe neuve (novembre 1962)
61 Mur de Berlin, et de la Libération à la perte des pays de l’Est ; de l’omniprésence communiste en France et en Italie au rep
62 ionalisme bourgeois (xixe siècle) que les petits pays neufs s’efforçaient encore de copier dans les années 1950 à 1970. Le
63 ssible par l’union économique et politique de nos pays , et d’autre part l’accroissement de la population et l’urbanisation d
22 1962, Articles divers (1957-1962). La commune, base essentielle de notre civilisation (novembre-décembre 1962)
64 entralisation systématique dans l’ensemble de nos pays . On pouvait croire que l’ère technique, qui est celle des plans à gra