1 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
1 a révolution hongroise.) Cinquante ans d’analyses pessimistes de notre société et de son destin ont culminé dans l’utopie de George
2 la philosophie, sait qu’il faut être subversif ou pessimiste , ou les deux à la fois, sous peine de ne plus compter. Inutile de cit
3 Orwell a dit vrai malgré lui. Curieux pouvoir des pessimistes de l’autre siècle sur les héritiers de leurs ennemis ! La bourgeoisie
4 propose la clôture d’un demi-siècle de rumination pessimiste , longtemps justifiée, nous le savons, mais qui court désormais le dan
2 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
5 vaient pas attendu Valéry, une habitude de pensée pessimiste s’est installée dans nos esprits. Non seulement nous avons appris que
3 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
6 aboutiront à une série de prophéties uniformément pessimistes , quant à l’avenir de notre civilisation. Voici des textes jalonnant c
7 eur indépendance, prennent une vue beaucoup moins pessimiste de l’Europe. Ainsi, Vincenzo Gioberti. Philosophe, théologien, homme
8 xxe siècle, fut sans doute l’observateur le plus pessimiste de l’Europe des nationalismes. Et c’est à lui que 1914 donnera raison