1 l’Europe qui a conçu l’idée d’humanité, la vision planétaire d’un genre humain issu du Dieu unique de la Genèse et destiné au gran

2 si elle n’est pas l’animatrice d’une circulation planétaire . Qui peut en dire autant dans notre siècle ? Les uns m’en paraissent

3 siècle, fonction mondiale et foyer de rayonnement planétaire , ne saurait donc être conçue selon le modèle archaïque d’un État-nati

4 ait patent, sans précédent, d’une culture devenue planétaire (et sans rivaux sérieux, j’y reviendrai) nous oblige à revoir certain

5 t nous parler de notre éclipse. C’est ce paradoxe planétaire que je voudrais d’abord examiner. Au lendemain de la Première Guerre

6 des gouvernements et cette sociologie totale, ou planétaire , prépare elle aussi les voies de l’unité future du genre humain. Voil

7 is de l’Europe des nations et de son impérialisme planétaire . Il faudra cependant en venir aux excès de l’autarcie affirmée sans s

8 es gouvernements ; et cette sociologie totale, ou planétaire , prépare, elle aussi, les voies de l’unité future du genre humain. Vo

9 des gouvernements, et cette sociologie totale ou planétaire , prépare elle aussi les voies de l’unité future du genre humain. Scie

10 on de la bombe H risque de transformer en panique planétaire  ? Si je ne partage nullement ce pessimisme, c’est que les motifs de c

11 remettre l’Europe en mesure d’exercer sa fonction planétaire , qui est une fonction d’animation, d’échanges, et d’équilibre dynamiq