1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 Boehme, aux romantiques allemands philosophes, et poètes , et bien sûr, à tous les occultistes européens du Moyen Âge jusqu’à n
2 1957, Articles divers (1957-1962). La fin justifie les moyens (9 juin 1957)
2 té tirée de cet opéra où Rougemont sut se montrer poète et où Honegger trouva une de ses plus grandes réussites. Je songe tou
3 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
3 ? Au seuil de l’œuvre en prose d’un de nos grands poètes , cette phrase résume et condense en quelques mots une assez longue tr
4 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
4 ntôt nationaliser. De ce tragique malentendu, les poètes de la génération de 48 furent les premières victimes, enthousiastes e
5 oncée par les grands historiens contre les grands poètes du xixe . Plus européen, sans doute, qu’aucun de ses compatriotes au
5 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
6 vague que lui donnent un peu trop facilement les poètes , ni dans le sens goethéen de « belle âme », encore moins dans le sens
6 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
7 ients. Car pour faire un grand musicien, un grand poète ou un grand peintre, il faut un milieu, une école, un public excité,
8 ce helvétique… Nous n’avons pas en Suisse de purs poètes , ni de peintres qui aient fait époque, ni de compositeurs du plus hau
7 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
9 pas été des techniciens au sens étroit, mais des poètes , des philosophes et des rêveurs, quelquefois des théologiens, ou des
10 maticien et mystique ; et le gramophone, c’est un poète français un peu loufoque, Charles Cros. Ces successeurs modernes d’un
8 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
11 e dans cette vie reporter et bohème, romancier ou poète , — il voulut même, un temps, devenir banquier, et riche. L’insignifia
12 ge au premier venu. Il protégeait en lui le grand poète qu’il se sentait devenir dans « le temps saugrenu » de la vie brève,