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à dans leur état naissant. Qu’elles soient causes
premières
ou effets ; qu’elles résument une série de facteurs antécédents, ou q
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i son climat ? Ou de cette heure où fut écrite sa
première
page, posée sa première touche, noté son premier accord ? Ou plutôt d
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te heure où fut écrite sa première page, posée sa
première
touche, noté son premier accord ? Ou plutôt de l’instant d’une intuit
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première page, posée sa première touche, noté son
premier
accord ? Ou plutôt de l’instant d’une intuition précise, plusieurs an
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États. Mais sur les autres plans, qui ne voit du
premier
coup que les réalités décisives ont cessé d’être nationales au xxe s
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l, optimiste de style baroque et fonctionnaire du
premier
rang ; mais sa phrase est plus subversive que tout ce qui passe pour
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dance générale au réveil des valeurs de liberté.
Première
illusion fataliste : « L’URSS est l’avenir… » — L’URSS était le parad
8
qui accrédite l’illusion générale de l’existence
première
de « cultures nationales » et de « l’éternité » de nos États-nations
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des terres du globe (et très pauvres en matières
premières
) ; 2° que la culture, en Europe, perdra sa vitalité si les États et l
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Que pensaient et pressentaient ces deux génies de
premier
ordre, à la veille même du déchaînement dont ils avaient choisi d’exa
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nouveau, lequel serait un jour, la Suisse. Cette
première
alliance locale d’hommes libres des campagnes, directement inspirée d
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nde forteresse des Alpes était un désert livré au
premier
occupant ». Il décrivait la paralysie qui frappe une Diète formée de
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Le 16 novembre, elles procédèrent à l’élection du
premier
Conseil fédéral, inaugurant un régime qui ne devait plus être remis e
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urd’hui non seulement le Musée du Monde, mais son
premier
laboratoire. « Tout est venu à l’Europe et tout en est venu. Ou presq
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ent sans doute des Grecs, eux-mêmes héritiers des
premiers
principes de la mathématique et de l’astronomie élaborés par les civi
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, et je vais en donner trois raisons principales.
Première
raison : la civilisation européenne est la seule qui soit effectiveme
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une nécessité concrète, à la négation même de ses
premiers
principes : à l’« égoïsme national », au nationalisme agressif. Danto
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nsporter en tout pays leur ennui. Les voyages des
premiers
s’effectuent pour le plus grand bien de l’humanité et de l’État ; loi
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ent sans doute des Grecs, eux-mêmes héritiers des
premiers
principes de la mathématique et de l’astronomie élaborées par les civ
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er les Français et les Allemands de se battre. Ce
premier
but est parfaitement atteint. L’union de l’Europe a maintenant d’autr
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êmes et devant la société. Peu de mois après leur
première
conférence à Berlin, il y a dix ans, ils décidèrent de se grouper afi
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très vite à la constatation suivante, qui sera ma
première
thèse : Vue du dehors, l’Europe est évidente. Vue de l’Asie, de l’Af
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ent sans doute des Grecs, eux-mêmes héritiers des
premiers
principes de la mathématique et de l’astronomie élaborées par les civ
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er les Français et les Allemands de se battre. Ce
premier
but est parfaitement atteint. L’union de l’Europe a maintenant d’autr
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confiance en soi et en l’avenir qui est l’une des
premières
conditions de la vitalité d’une culture. Le Club européen se réunit
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ptée par le Conseil des gouverneurs, durant cette
première
période, se basait sur l’idée saine en soi que les fonds viennent à q
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fusée de l’espace, se séparant au moment voulu du
premier
moteur. La Fondation décida également d’organiser chaque année un gra
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I. Qui d’entre vous ne se souvient de cette
première
phrase du Tristan rendu naguère au grand public européen par les soin
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ule expression, moins pédante qu’elle ne paraît à
première
vue : avec la légende de Tristan, c’est l’étymologie de nos passions
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ents qui s’accordèrent un jour, dans l’instant du
premier
regard, mais que le temps modifie fatalement, créant un risque perman
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ns amour. Aux yeux du mythe, il est perdant. À ce
premier
aspect de notre légende : l’amour-passion triomphant du mariage, c’es
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dégradation du mythe, grandiose en sa simplicité
première
, jusqu’au niveau des confusions morales les plus banales et complaisa
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ps ce modèle de l’amour-passion, dans sa grandeur
première
et drue, les philologues nous ont mis au défi d’apporter un peu plus
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ite que notre aurea mediocritas saute aux yeux du
premier
venu, tandis que la grandeur de la Suisse reste un mystère, même aux
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e deviendra le sérieux de la vie. Je résume cette
première
partie de mon propos : la culture de l’Europe a produit la technique
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roduit les Spoutniks. Je crains pour elle que ses
premiers
succès ne l’aveuglent et que sa politique éducative ne soit à courte
37
nt a parlé le Times au lendemain de sa mort. Reçu
premier
sur cent à l’agrégation d’allemand, traducteur incomparable de Keyser
38
luations) lui permettaient de donner le change au
premier
venu. Il protégeait en lui le grand poète qu’il se sentait devenir da
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nt a parlé le Times au lendemain de sa mort. Reçu
premier
sur cent à l’agrégation d’allemand, traducteur incomparable de Keyser
40
» ou sociale de l’esprit, que j’ai tenté dans mes
premiers
ouvrages de décrire par le terme d’engagement, — dont il semble qu’on
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, de mars à août, les cinq-cent-vingt pages de sa
première
Institution, puis en français l’épître liminaire au roi de France. Il
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ion la nécessité me fut imposée de retourner à ma
première
charge… ce que je fis avec tristesse, larmes, grande sollicitude et d
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gênant, peut-être même plus utile outre-mer. Mes
premières
rencontres avec Victoria dataient tout juste de deux ans auparavant.
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arité, cette courte vue matérialiste se révèle au
premier
examen non seulement fausse en soi mais particulièrement dangereuse p
45
ée que l’Inde et beaucoup plus pauvre en matières
premières
, l’Europe avait moins de chances matérielles que l’Inde de sortir de
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de nos peuples, respectant leurs diversités. Aux
premiers
vous direz : votre Europe technicienne marcherait sans nul doute, ell
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iste et colonialiste — seconde moitié du xixe et
première
moitié du xxe siècle — en s’appuyant sur la diversité de nos langues
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troupe. C’était au mois de mars 1940. L’un de mes
premiers
projets de plan révèle l’idée qui me hantait à cette époque : il décr
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Gazette . Mon article — je n’y pensais plus — en
première
page, à côté d’un appel à se taire lancé par le gouvernement vaudois
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La Ligue du Gothard :
premier
mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)am an
51
, « Journal d’un témoin II : La Ligue du Gothard,
premier
mouvement de résistance », Tribune de Genève, Genève, 25 juin 1962, p
52
iser les volontés de résistance, voyait ainsi son
premier
objectif atteint. Elle s’orientait vers un programme plus vaste d’ent
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politique. Elle avait au départ formé le noyau du
premier
mouvement de résistance, au sens que ce mot devait prendre un peu plu
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, si mes souvenirs le sont aussi. Ses buts et ses
premières
activités sont correctement définis, sauf sur un point, qui est d’imp
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es idées et des morales. L’Europe, initiatrice et
première
bénéficiaire ou victime de la civilisation technique, désormais unive
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et collabora à la Nouvelle Revue française . Son
premier
livre, Politique de la personne (1934) lança le mot d’ordre d’engag
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lication, ou par leur manière d’être différents :
première
formule de l’unité paradoxale qui permettra de définir l’Europe, Unit