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lle, remontant à la nuit des temps, et noyant les
problèmes
concrets de notre siècle dans une condamnation globale de l’Occident2
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e plus d’emphase sur la nature universelle de nos
problèmes
, et partant de là, dénient toute personnalité économique, sociale ou
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ées par cette libération technologique ? C’est le
problème
des loisirs qui s’ouvre largement, et tous les problèmes qui en dépen
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me des loisirs qui s’ouvre largement, et tous les
problèmes
qui en dépendent pour l’éducation des enfants, des adultes, et des te
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nfants, des adultes, et des techniciens. C’est le
problème
des moyens de culture, qui seront mis à contribution, sur une échelle
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es, et aux sociologues, tous alertés, au-delà des
problèmes
classiques de plein-emploi et de temps de travail, le problème de l’e
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siques de plein-emploi et de temps de travail, le
problème
de l’emploi du temps, qui se pose à l’homme. Le problème de la libert
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e de l’emploi du temps, qui se pose à l’homme. Le
problème
de la liberté. Le problème du sens de nos vies… Je propose à nos phi
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se pose à l’homme. Le problème de la liberté. Le
problème
du sens de nos vies… Je propose à nos philosophes du déclin de la bo
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le en cause dans cette affaire, car en réalité le
problème
est mondial, il concerne tout l’Occident, dans ses relations avec le
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la première fois dans toute l’histoire qu’un même
problème
crucial se pose au même moment à l’humanité tout entière. 17. Chac
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ouvrir, grâce à ses voyages et à ses travaux, les
problèmes
de base qui se posent à l’Occident. Son dernier livre, L’Aventure oc
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grand public. L’étude des réalités de base et des
problèmes
présents de l’économie, incroyablement négligée par l’École, doit dev
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fficaces. Il faudrait réfléchir librement sur les
problèmes
économiques, et il faudrait y réfléchir en groupe, car ces problèmes
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es, et il faudrait y réfléchir en groupe, car ces
problèmes
sont trop complexes pour le plus génial des chercheurs, s’il reste se
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our obtenir l’union économique, mais supposant le
problème
résolu, nous désirions savoir, comme l’électeur moyen, ce qui se pass
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s donneront une idée précise de la complexité des
problèmes
qui se posent, mais aussi des espoirs autorisés, et dans bien des cas
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science digne du nom ne cautionne plus19. Le seul
problème
sérieux qui doit nous occuper est le suivant : étant donné qu’il faut
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tenir compte des frontières nationales quand les
problèmes
posés débordent les nations. 4° Favoriser le dialogue entre la cultur
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et numéros spéciaux de revues sur l’Europe et ses
problèmes
compte déjà, depuis dix ans, plusieurs centaines de titres, parus dan
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re européen de la culture Sans attendre que ce
problème
ait reçu la moindre promesse d’un début de solution raisonnable, le C
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est déterminé par deux critères : l’urgence d’un
problème
culturel qui se pose à l’échelle européenne, et ses possibilités de s
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es orateurs aux organisations intéressées par les
problèmes
européens. Une série, de films documentaires sur l’Europe est en co
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mêmes de la Suisse : l’Italie et l’Allemagne. Le
problème
brûlant qui se posait aux Suisses, dans cette Europe où les campagnes
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able qu’ils n’aient pas cherché la solution de ce
problème
dans l’unification systématique, à la manière jacobine, mais au contr
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estaat). S’ils ne furent pas les seuls à poser ce
problème
, dans l’Europe du xixe siècle, ils furent les seuls à le résoudre d’
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orporations ou particuliers. Enfin et surtout, le
problème
théoriquement tenu pour « insoluble » de l’abolition des souveraineté
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as de dire que dans la grande Europe moderne, les
problèmes
ne sont pas homologues de ceux de la petite Suisse du siècle dernier.
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ce. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les
problèmes
que lui pose l’économie moderne. La situation n’a guère changé depui
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de passeports n’ont plus de quoi l’intéresser. Le
problème
, sans cesse reposé par des historiens amateurs, des limites exactes d
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de commencer par la Petite ! — ont-ils bien vu le
problème
dans son cadre mondial, ou défendent-ils plutôt quelque nationalisme
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par l’annonce d’un nouveau concile œcuménique, le
problème
de l’union des Églises chrétiennes concerne-t-il aussi les non-chréti
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ues dans le catholicisme romain, la découverte du
problème
social (un peu forcée) dans l’orthodoxie gréco-russe, et l’union des
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ait. Je ne suis pas étranger plus qu’un autre aux
problèmes
concrets de mon temps, économiques, sociaux et politiques (je crains
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le terme d’engagement). Mais je ne connais pas de
problème
qui prime aujourd’hui celui-là. Qui est celui du sens de nos vies.
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ie culture est universelle par définition, et nos
problèmes
, en Europe, sont à peu près les mêmes que ceux qui se posent dans le
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tude, celle qui fait dire que nous n’avons pas de
problèmes
spécifiques, différents de ceux du reste du monde, s’explique par une
38
is pris conscience de son unité virtuelle, ni des
problèmes
effrayants que pose son rassemblement. Nous sommes au point de l’évol
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dialoguer et réfléchir ensemble sur les immenses
problèmes
que pose, à cette génération, le progrès dans la liberté. Sur ce mot
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xions entre intellectuels du monde entier sur les
problèmes
que pose le même progrès technique, éducatif et culturel, dans les co
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ie culture est universelle par définition, et nos
problèmes
, en Europe, sont à peu près les mêmes que ceux qui se posent dans le
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tude, celle qui fait dire que nous n’avons pas de
problèmes
spécifiques, différents de ceux du reste du monde, s’explique par une
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ris conscience de son existence virtuelle, ni des
problèmes
effrayants que pose son rassemblement. Nous sommes au point de l’évol
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le foyer créateur. Quel est l’état présent de ce
problème
? Et dans quelle situation concrète abordons-nous notre sujet ? C’est
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ne éducation spécialisée est le type même du faux
problème
. Car sans culture occidentale, point de technique, au sens actuel, au
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ec la clarté de l’écrivain et sa connaissance des
problèmes
européens, M. de Rougemont souligne l’interdépendance de la culture e
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, — qui effraye encore beaucoup de nos États. Les
problèmes
culturels ne seraient par conséquent que des problèmes marginaux. La
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èmes culturels ne seraient par conséquent que des
problèmes
marginaux. La culture serait au mieux l’ornement des loisirs, un luxe
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op petits désormais pour se suffire. Tel étant le
problème
véritable, on voit qu’il est bien moins économique que politique, et
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comparaison, pourtant valable dans le détail des
problèmes
qui se posaient à la Ligue, assassinats et tortures en moins. Les mêm
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cialistes et néo-libéraux s’opposent au sujet des
problèmes
d’aménagement du territoire européen, d’urbanisme, d’éducation, de fo
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t Denis de, « Dans vingt ans, une Europe neuve »,
Problèmes
, Paris, novembre 1962, p. 9-14. ar. Présenté par cette note : « Né à