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par la théologie orthodoxe des catholiques et des
protestants
européens, qui conçoit Dieu comme le Toi de l’homme ; et l’Asie par c
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s, pâtres catholiques de l’Appenzell et banquiers
protestants
de Genève, n’ont pas empêché l’unification nationale de la France, de
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Sonderbund pouvait compter sur l’appui de Guizot (
protestant
pourtant, mais d’abord antilibéral), de Metternich, du tsar, du roi d
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reux : par souscription publique dans les cantons
protestants
, ils contribuèrent à couvrir la dette de guerre des catholiques. Et d
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e Constitution fédérale. Plus qu’une victoire des
protestants
sur les catholiques, la guerre du Sonderbund venait de marquer le tri
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Marx, un juif allemand dont le père était devenu
protestant
, et qui écrivait en Angleterre pour le New York Herald Tribune ! Le m
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illions d’orthodoxes pratiquants et 3 millions de
protestants
baptistes, à quoi s’ajoutent les luthériens des pays baltes et les Ar
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face. Beaucoup de catholiques se figurent que les
protestants
ne croient pas à la divinité du Christ, ont supprimé les sacrements e
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ul dogme, qui est le libre examen. Et beaucoup de
protestants
sont convaincus que l’Église catholique ignore la Bible, que sa piété
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itudes que l’on peut qualifier selon les temps de
protestante
ou catholique, et sur lesquelles la dogmatique confessionnelle a peu
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n qualifie de nos jours de « catholicisants » les
protestants
qui veulent la fréquente communion. On ignore simplement que Calvin d