1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 par la théologie orthodoxe des catholiques et des protestants européens, qui conçoit Dieu comme le Toi de l’homme ; et l’Asie par c
2 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
2 s, pâtres catholiques de l’Appenzell et banquiers protestants de Genève, n’ont pas empêché l’unification nationale de la France, de
3 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
3 Sonderbund pouvait compter sur l’appui de Guizot ( protestant pourtant, mais d’abord antilibéral), de Metternich, du tsar, du roi d
4 reux : par souscription publique dans les cantons protestants , ils contribuèrent à couvrir la dette de guerre des catholiques. Et d
5 e Constitution fédérale. Plus qu’une victoire des protestants sur les catholiques, la guerre du Sonderbund venait de marquer le tri
4 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
6 Marx, un juif allemand dont le père était devenu protestant , et qui écrivait en Angleterre pour le New York Herald Tribune ! Le m
5 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
7 illions d’orthodoxes pratiquants et 3 millions de protestants baptistes, à quoi s’ajoutent les luthériens des pays baltes et les Ar
8 face. Beaucoup de catholiques se figurent que les protestants ne croient pas à la divinité du Christ, ont supprimé les sacrements e
9 ul dogme, qui est le libre examen. Et beaucoup de protestants sont convaincus que l’Église catholique ignore la Bible, que sa piété
10 itudes que l’on peut qualifier selon les temps de protestante ou catholique, et sur lesquelles la dogmatique confessionnelle a peu
11 n qualifie de nos jours de « catholicisants » les protestants qui veulent la fréquente communion. On ignore simplement que Calvin d