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inuant la chronique d’Isidore de Beja. L’auteur y
qualifie
d’Europenses les vainqueurs de ces grandes journées, et « répète avec
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re une Histoire de l’Europe. Je suis très loin de
qualifier
de sophistes ceux qui pensent néanmoins que l’Europe reste à « faire
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té prépondérante » du sentiment cantonal, souvent
qualifié
de « national » à l’époque. C’est ainsi qu’un député (le grand savant
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sacrifice de notre nationalité. » Un autre député
qualifiait
de « chimère » l’idée d’une Union suisse s’opposant aux seules réalit
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e, toute force physique ou spirituelle, peut être
qualifiée
d’impérialiste par les objets qui la subissent, mais c’est la conditi
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me Église coexistent deux attitudes que l’on peut
qualifier
selon les temps de protestante ou catholique, et sur lesquelles la do
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nfessionnelle a peu de prise. Un seul exemple. On
qualifie
de nos jours de « catholicisants » les protestants qui veulent la fré
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e, toute force physique ou spirituelle, peut être
qualifiée
d’impérialiste par les objets qui la subissent, mais c’est la conditi
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e, toute force physique ou spirituelle, peut être
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d’impérialiste par les objets qui la subissent, mais c’est la conditi