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x, de préférence. N’est-ce pas là que l’irritante
question
de la « supériorité » de ceci sur cela offre le moins de sens, et de
2
. Le droit d’opposition redevient créateur. Et la
question
n’est plus de supputer le « sens inévitable » de l’Histoire, mais de
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échelle brusquement agrandie. C’est, au-delà des
questions
immenses que je laisse aux économistes, et aux sociologues, tous aler
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on dans la vie sociale. C’est, dit Rougemont, une
question
de feux rouges et de feux verts, de contrat pour la commodité général
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ulaire et d’une simplicité presque choquante, une
question
qu’il jugeait présente et vraiment agissante dans l’opinion : Que se
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quel ils ont essayé néanmoins de répondre à notre
question
. Nous nous étions efforcés de les persuader dès l’abord qu’il importa
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tacle ? Je pense qu’il faut répondre oui aux deux
questions
. Et ce paradoxe apparent définit assez bien le rôle que doit aujourd’
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Qu’a-t-on fait dans ce sens depuis que la grande
question
de l’union européenne s’est trouvée posée, au lendemain de la dernièr
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on » créatrice de communauté. Passant aux grandes
questions
naïves anxieusement posées par Einstein, Freud les décontenance avec
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le générale de tous les débats qu’y soulèvent les
questions
politiques, économiques ou culturelles les plus concrètes. Bibliog
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e selon le modèle archaïque d’un État-nation. Les
questions
de bornes et de passeports n’ont plus de quoi l’intéresser. Le problè
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à la Vérité. Je me promets un jour de poser cette
question
à des sages des cinq continents ; si l’Europe devait disparaître, emp
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e de notre civilisation ? Avant de répondre à ces
questions
, formulons tout de suite deux remarques dictées par une élémentaire p
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nt son unité après avoir exploré ses variétés. La
question
reste de savoir si cette unité fomentée par la culture européenne ne
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ividuelle, n’est-il pas beaucoup plus important ?
Question
européenne par excellence. Mais qui d’entre nous peut concevoir sa vi
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us donner de nos buts répond suffisamment à cette
question
. Mais on insiste, la presse insiste, et les interviewers insistent :
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ividuelle, n’est-il pas beaucoup plus important ?
Question
européenne par excellence. Mais qui d’entre nous peut concevoir sa vi
18
ète abordons-nous notre sujet ? C’est la première
question
que je me pose. J’y répondrai en citant trois faits qui ont l’avantag
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urs, de plus vert que sa prose. Mais laissons ces
questions
de goût. Ce qui m’importe ici, c’est l’efficacité d’une œuvre écrite
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et l’union de l’Europe (avril 1962)ai S’il est
question
d’intégration européenne et qu’on lui parle de culture, l’homme d’auj
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ste, des particularismes périmés ? Répondre à ces
questions
me paraît vital, et non seulement pour notre Fondation, mais pour tou
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c pense aujourd’hui que faire l’Europe, c’est une
question
de tarifs douaniers, de prix de revient, de niveaux de vie, d’ajustem
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urope existe depuis des millénaires. Il n’est pas
question
de la créer ; mais simplement, les circonstances du xxe siècle, — tr
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’il s’agit de le combattre. Et ceci n’est pas une
question
de technique ou de calculs tarifaires, mais une question de mentalité
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n de technique ou de calculs tarifaires, mais une
question
de mentalité, d’habitudes de pensée, de réflexes acquis — de sentimen
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uis — de sentiment autant que de raison. Donc une
question
de culture, d’éducation nouvelle. Mais « faire l’Europe » ne veut pas
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s êtes d’accord avec mon article. Là n’est pas la
question
… La question est de me déférer au tribunal militaire. On me reconduit
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rd avec mon article. Là n’est pas la question… La
question
est de me déférer au tribunal militaire. On me reconduit enfin chez m
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entre du Réduit ? Je tenterai de répondre à cette
question
dans un prochain article. 42. On se rappelle, en Suisse, que le 25