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leur sens symbolique et spirituel, recourons aux
récits
visionnaires que deux grands philosophes religieux de l’Iran et de l’
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, nous ont laissés sur ce sujet fondamental6. Le
récit
d’Avicenne est une initiation à l’Orient, monde des Formes de lumière
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x… » (Il s’agit de notre vie terrestre.) Dans son
Récit
de l’exil occidental de l’âme, Sohrawardi décrit le pèlerinage de l’â
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boliques de l’Orient et de l’Occident que dans le
récit
d’Avicenne, auquel l’auteur rattache d’ailleurs son conte, qui est un
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États-Unis. 6. Cf. Henry Corbin, Avicenne et le
récit
visionnaire, 2 vol. Téhéran, 1954, et du même auteur : Œuvres philoso
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1, Téhéran, 1952. On y trouvera le texte des deux
récits
que je mentionne. Celui d’Avicenne s’intitule : Récit d’Havy ibn Yaqz
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s que je mentionne. Celui d’Avicenne s’intitule :
Récit
d’Havy ibn Yaqzân. Celui de Sohrawardi : Récit de l’exil occidental d
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: Récit d’Havy ibn Yaqzân. Celui de Sohrawardi :
Récit
de l’exil occidental de l’âme. Le premier date du xe siècle, le seco