1
, de calculer la quadrature du cercle ? » Le yogi
répondit
: « Nous cherchons au contraire à ramener le carré au cercle. » L’Eur
2
de qui garde une signification centrale, pourrait
répondre
la confrontation de l’Extrême-Occident et de l’Extrême-Orient, représ
3
ra qu’il est bien « dangereux » d’écrire cela. Je
réponds
qu’il est plus dangereux de vouloir ignorer Bandung. 2. J’ai cru rema
4
rope aux nations. Elles seraient bien en peine de
répondre
. Spécifiquement européenne ou non, la culture des Européens est tout
5
une de Pierre Dominique, qui espère en elle pour
répondre
du tac au tac à Khrouchtchev et même à Dulles, et veut qu’elle fasse
6
re à M. de Rougemont de hausser les épaules et de
répondre
: “Tout cela n’a de sens que pour les professeurs.” Le mensonge n’est
7
atre-vingt-quatre. Et soudain, celle de l’Est lui
répond
Quarante-huit. C’est quatre-vingt-quatre inversé. Jamais chiffres ne
8
, et que le bruit vous agace, vous vous décidez à
répondre
. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone, mais de votre seule cur
9
ivre. Les trois aspects de notre message Que
répondre
à ces Orientaux, et bientôt à ces Africains, qui nous demandent avec
10
u sérieux avec lequel ils ont essayé néanmoins de
répondre
à notre question. Nous nous étions efforcés de les persuader dès l’ab
11
bien lui fait-elle obstacle ? Je pense qu’il faut
répondre
oui aux deux questions. Et ce paradoxe apparent définit assez bien le
12
par les pouvoirs publics et le mécénat privé pour
répondre
aux défis du temps ? Est-il coordonné à la mesure des besoins ? Aurai
13
plus que le citoyen raisonnable et moyen. L’autre
répond
dans la rigueur de sa pensée : il est chez lui. Que dit Einstein ? Il
14
crit de Potsdam et sous l’œil des barbares. Freud
répond
de sa Vienne natale en sursis — elle n’en aura plus pour longtemps —
15
le-même. À cet appel, toutefois, l’Europe ne peut
répondre
que dans la mesure où elle est forte et saine : c’est la mesure de so
16
lites d’outre-mer et par la conjoncture mondiale,
répondent
les nécessités internes de l’union. S’il est vrai qu’aucun de nos pay
17
mort prévisible de notre civilisation ? Avant de
répondre
à ces questions, formulons tout de suite deux remarques dictées par u
18
onne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui doit
répondre
de ses actes à la fois devant Dieu et devant la société, donc devant
19
e, provoque des résistances intérieures. L’État y
répondra
par la Terreur et par la guerre. Car, dit Hegel : Les nations divisé
20
as donné un article de gazette. Mais cette nation
répondra
: Quand m’avez-vous appelée ? Et la Liberté répondra : J’ai appelé pa
21
ondra : Quand m’avez-vous appelée ? Et la Liberté
répondra
: J’ai appelé par la bouche de ces pèlerins, et tu ne m’as pas écouté
22
p Nord au Péloponnèse et de Madrid à Varsovie, je
répondrai
d’un seul mot : Voyagez ! Quittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et
23
onne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui doit
répondre
de ses actes à la fois devant Dieu et devant la société, donc devant
24
oit soumise ? S’il s’agit de défis extérieurs, je
réponds
non. Car les invasions asiatiques, seul défi extérieur que nous ayons
25
tir, et une réponse à leurs angoisses privées, je
répondrai
simplement ceci : l’angoisse du monde qui nous appelle est sans doute
26
ellectuels d’une exceptionnelle densité, je pense
répondre
à l’attente de tous en essayant de reconsidérer la nature, la fonctio
27
mmentaire que je viens de vous donner de nos buts
répond
suffisamment à cette question. Mais on insiste, la presse insiste, et
28
p Nord au Péloponnèse et de Madrid à Varsovie, je
répondrai
d’un seul mot : Voyagez ! Quittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et
29
onne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui doit
répondre
de ses actes à la fois devant Dieu et devant la société, donc devant
30
tir, et une réponse à leurs angoisses privées, je
répondrai
simplement ceci : l’angoisse du monde qui nous appelle est sans doute
31
de mort ? Seigneurs et dames ici présents, vous
répondez
tous dans vos cœurs : Rien au monde ne saurait nous plaire davantage.
32
? C’est la première question que je me pose. J’y
répondrai
en citant trois faits qui ont l’avantage d’être connus de tous. Fait
33
s profonds de la technique ? Tout le xixe siècle
répond
en chœur : que l’homme invente pour des motifs utilitaires. Et presqu
34
usqu’à nos jours que les grandes inventions ont «
répondu
à des besoins », économiques, alimentaires et matériels. Quelques-uns
35
e la technique, et si les produits de l’industrie
répondaient
aux besoins matériels, pourquoi ferait-on de la publicité ? Il n’en r
36
. Mais ce sont, après tout, de petites inventions
répondant
à de petites nécessités d’abaissement d’un prix de revient ou d’augme
37
sprit nationaliste, des particularismes périmés ?
Répondre
à ces questions me paraît vital, et non seulement pour notre Fondatio
38
sert de prêcher l’union européenne à des gens qui
répondent
que l’Europe n’est plus rien, qu’elle n’a pas d’idéal à opposer aux a
39
lait devenir le centre du Réduit ? Je tenterai de
répondre
à cette question dans un prochain article. 42. On se rappelle, en S