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nfluence. Théoriquement, deux solutions nettes et
radicales
se conçoivent : ou bien garder pour nous ce qui ne peut que troubler
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isses. Les idées libérales, qu’on nommait alors «
radicales
», se répandaient dans la bourgeoisie, et provoquèrent de nombreuses
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l’esprit de clocher et de l’égoïsme cantonal. Les
radicaux
jugèrent le projet timide et trop respectueux des souverainetés, les
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1847, la guerre civile éclata. Les libéraux (ou «
radicaux
») détenaient la majorité et disposaient de contingents militaires su
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ns de 1848 fut un facteur important du succès des
radicaux
suisses : elle retarda ou même paralysa l’action des Puissances. La c
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ompromis, non point comme le gage du triomphe des
radicaux
. À vrai dire, elle portait toutes les marques de cette modération, né
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sme, qui est le mot-clé de l’histoire suisse. Les
radicaux
de 1848 voulaient une vraie fédération, mais ils passaient pour des c