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rvissent déjà nos corps, dictent nos gestes et le
rythme
de nos journées. Encore un peu, et les cerveaux électroniques dictero
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peut-être encore plus moralement, la tyrannie des
rythmes
mécaniques. Eux seuls se sont vus transformés en « compléments vivant
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ereuse à manier, mais aussi de la monotonie et du
rythme
inhumain de travail qu’imposaient la machine et la chaîne. Le remède
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tiques. Le décalage sans cesse croissant entre le
rythme
d’expansion de nos produits et celui de nos valeurs régulatrices est
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mieux préservées (par le chant, par la danse, le
rythme
, l’émotion) ; — celles de l’esprit enfin, apanage millénaire de l’Ind
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e mieux préservée (par le chant, par la danse, le
rythme
, l’émotion) ; — celles de l’esprit enfin, apanage millénaire de l’Ind
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our qui se libère des contraintes naturelles, des
rythmes
trop prévus de la sexualité, mais aussi des décrets de la morale et d
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inhumain tant que l’ouvrier devait y adapter son
rythme
, devient au contraire libérateur dès qu’il est poussé jusqu’au bout,
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arole improvisée, rien n’est plus varié quant aux
rythmes
; et pourtant rien n’est plus altièrement monotone quant à la pensée
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ution et à prévoir une accélération continuée des
rythmes
? Deux hypothèses. Ou bien l’union de l’Europe est stoppée par l’éche
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a contribue à ralentir et contraint à ordonner le
rythme
de l’innovation à tout hasard et à tous risques. Bref, les inventions