1 on intellectuelle.) 3. L’argument des contrastes séculaires , invoqué sans fatigue contre l’union de l’Europe, n’est qu’une étourd

2 pessimisme fataliste et résigné. Dans ce décalage séculaire entre la conscience et le réel, naît l’idée d’une pensée impuissante,

3 de vocation personnelle. C’est de la conjonction séculaire de ces valeurs grecques et chrétiennes que procède l’idée de liberté

4 omplir en quelques mois la transformation de leur séculaire Ligue d’États en un État fédératif durable et fort. La commission de

5 esque tous Européens. Au lieu d’entonner le chant séculaire de la victoire sans précédent remportée par les pouvoirs civilisateur

6 en Europe et de l’Europe, au carrefour d’un débat séculaire entre la théologie chrétienne et la philosophie des Lumières, au mome

7 ue je décrivais plus haut, en vertu même de cette séculaire discussion et dissension entre nos origines multiples, entre nos reli

8 ière partie de mon exposé, en vertu même de cette séculaire discussion et dissension entre nos origines multiples, entre nos reli

9 souveraineté, cet orgueil national, ces méfiances séculaires , pour périmés qu’ils soient, sont profondément enracinés dans un mill