1
rinages, sanctuaires, lieux et quartiers de ville
sacrés
; arbres, fleuves, animaux sacrés ; hommes et femmes en prière accrou
2
rtiers de ville sacrés ; arbres, fleuves, animaux
sacrés
; hommes et femmes en prière accroupis sur leur seuil ; au bord des r
3
ages et des villes, quelques pèlerinages ou lieux
sacrés
, quelques centaines de vieux châteaux (symboles de l’âme pour la myst
4
mboles de l’âme pour la mystique) témoignent d’un
sacré
dont l’âge fait le prix, mais que l’on isole de la vie, et que cernen
5
s de la technique. En Amérique : pas un seul lieu
sacré
en dehors des églises en faux gothique luxueux, dominées de très haut
6
anciens : celui qui entoure la grande pièce d’eau
sacrée
, rectangulaire. Petites rues sinueuses, bordées de maisons étroites,
7
oute le lecteur de poèmes : il s’agit de légendes
sacrées
. Jamais la vie ne m’a paru plus solennelle ni plus simplement adorabl
8
raison profane, égalitaire, balayant les coutumes
sacrées
et les entraves ancestrales. Mais d’où venaient cette science et cett
9
l’on viole les tabous, mais qu’entoure le respect
sacré
des foules. Résumons cela ; je vois l’Asie sous-développée courir apr
10
é originelle sur un principe formateur unique, le
Sacré
. Les civilisations totalitaires d’aujourd’hui, URSS ou Chine de Mao,
11
deux groupes de cultures homogènes, uniformes et
sacrées
, la culture de l’Europe nous apparaît immédiatement comme à la fois p
12
clues, par les cultures unitaires, fondées sur le
sacré
magico-religieux, ou par les cultures totalitaires, fondées sur le sa
13
ou par les cultures totalitaires, fondées sur le
sacré
politico-social. Je voudrais maintenant définir brièvement ces trois
14
t guère de l’individu que l’observation des rites
sacrés
. Pour le reste, l’homme n’est pas responsable. Le Karma, la magie, le
15
lui le plus proche équivalent de l’invocation au
sacré
, dans notre civilisation profane. Or, ce même mot de liberté n’éveill
16
es de sagesse et de mystiques voient leurs livres
sacrés
publiés de nos jours et retrouvent partout des fidèles, c’est par le
17
fusant toute instance supérieure à leur « égoïsme
sacré
», donnera nécessairement la guerre, au point précis où la grande Dia
18
les noms de quelques civilisations fondées sur le
Sacré
, comme celles de Sumer, de l’Égypte des Pharaons, de l’Inde védantiqu
19
ingue très évidemment soit des anciennes cultures
sacrées
, soit des actuelles cultures totalitaires, — lesquelles ont d’ailleur
20
par toutes les cultures unitaires, fondées sur le
sacré
magico-religieux ou le sacré politico-social. Le sens de la vérité ob
21
ires, fondées sur le sacré magico-religieux ou le
sacré
politico-social. Le sens de la vérité objective nous vient sans doute
22
t guère de l’individu que l’observation des rites
sacrés
. Pour le reste, l’homme n’est pas responsable. Le karma, la magie, le
23
lui le plus proche équivalent de l’invocation au
sacré
, dans notre civilisation profane. Or, ce même mot de liberté n’éveill
24
les noms de quelques civilisations fondées sur le
Sacré
(das Heilige, the Holy), comme celles de Sumer, de l’Égypte des Phara
25
mule de l’unité, originelle, à base de traditions
sacrées
, et la formule de l’unification contrainte, à base de décrets étatiqu
26
ingue très évidemment soit des anciennes cultures
sacrées
, soit des actuelles cultures totalitaires — lesquelles ont d’ailleurs
27
par toutes les cultures unitaires, fondées sur le
sacré
religieux ou le sacré politico-social. Le sens de la vérité objective
28
s unitaires, fondées sur le sacré religieux ou le
sacré
politico-social. Le sens de la vérité objective nous vient sans doute
29
t guère de l’individu que l’observation des rites
sacrés
. Pour le reste, l’homme n’est pas responsable. Le karma, la magie, le
30
lui le plus proche équivalent de l’invocation au
sacré
, dans notre civilisation profane. Je pense donc que le dynamisme de n
31
premières apparitions, comme les épiphanies quasi
sacrées
, d’un des grands mythes de l’âme occidentale. Mais qu’est-ce qu’un my
32
antes. Ce serait aller de l’apparition d’un mythe
sacré
, voilant de poésie ses secrets religieux, jusqu’à son utilisation tou
33
sait que la passion vit d’obstacles, naturels ou
sacrés
, coutumiers ou légaux ; qu’elle s’en nourrit et même les invente au b
34
d’hui, dès lors que le mariage n’est plus un lien
sacré
, adversaire à la taille de la passion ; et que, loin de provoquer cel
35
t de mort ». Les obstacles sociaux, coutumiers ou
sacrés
, ont cédé à nos sciences, ou c’est tout comme. Qu’en est-il du dernie
36
-Gothard comme au cœur de l’Europe, à son bastion
sacré
, et je l’ai dit hier soir encore. Or il se trouve que le Gothard est
37
agricoles, commerciales, après avoir été souvent
sacrée
. Une vallée ou un socle rocheux, une embouchure, un confluent ou un c