1 age, dans les termes de leur existence, et de les sauver là où ils sont, par la seule foi dans l’action du pardon, de l’amour

2 en tranches ou qu’on l’épargne, elle ne sera pas sauvée de la nécessité de renaître un millier ou cent-milliers de fois. La m

3 ntales, mais à exagérer les contrastes locaux. On sauve ainsi l’utopie mondialiste et les réalités nationalistes, mais on sac

4 correspondre au réel, car il s’agit maintenant de sauver ce réel, et non pas d’ergoter sur sa définition. En privant le concep

5 erait absurde de le contester : elle ne peut rien sauver , mais elle pourrait tout perdre. Gardons-nous de la sous-estimer ! Ma

6 s qu’une Europe fédérée serait seule en mesure de sauver le concret de nos vies nationales, et n’en sacrifierait que l’illusoi

7 doute l’existence même de cette Europe qu’il faut sauver . d. Rougemont Denis de, « [Lettre en réponse à Emmanuel Berl] », L

8 l attend de l’homme d’être compris, révélé, voire sauvé , selon saint Paul. Quant à nos principes de vie publique, ils s’inspi

9 de Lascaux, celle des Mayas, celle des Aztèques, sauvées seulement par quelques œuvres d’art ; celle des Mongols qui ne laisse

10 le christianisme, non de gagner le monde mais de sauver son âme. Si tout homme qui se veut chrétien doit vouloir l’union des