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ne communication au 10e Congrès international des
sciences
historiques, Rome, septembre 1955). c. Rougemont Denis de, « De l’u
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sance qu’elles ont pu prendre du Capital ou de la
Science
des rêves, et les jugements qu’elles avoueraient à leur sujet. Marx e
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ope, une conjonction sans précédent : celle de la
science
, s’établissant enfin sur les bases autonomes du calcul et de l’expéri
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es entraves ancestrales. Mais d’où venaient cette
science
et cette raison hardie rénovant les institutions, et cette ambition s
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tion de la réalité de la matière, objet futur des
sciences
physiques (réalité niée par la plupart des religions de l’Orient mais
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ns ces notions, hélas ! courantes, mais qu’aucune
science
digne du nom ne cautionne plus19. Le seul problème sérieux qui doit n
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entièrement inventoriée adoptent aujourd’hui nos
sciences
et nos techniques, nos arts et notre hygiène, nos formes politiques,
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nos recherches philosophiques, mais aussi de nos
sciences
exactes. Elle développera dans nos élites intellectuelles le sens cri
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ns critique, et qui a permis le développement des
sciences
exactes, notamment. Voilà qui peut paraître banal à des Européens éle
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ffet, du sens de la vérité objective dérivent nos
sciences
, et par suite, nos techniques ; du sens de la responsabilité personne
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bord, ce sont les Européens qui ont développé les
sciences
physiques et naturelles, à un degré littéralement incomparable. Certe
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s l’Europe, ce laboratoire du monde, a poussé les
sciences
et les techniques qui en dérivent jusqu’au point où elles permettent
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ue du monde. Et l’on sait le rôle décisif que ces
sciences
ont joué dans l’évolution de la sociologie et de la psychologie analy
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bliothèques, ils ont élaboré les préalables d’une
science
comparée des cultures et des civilisations, des religions et des arts
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s vont, inquiétude, passion et refus sans quoi la
science
et la technique, et les inventions qui les créent, auraient tôt fait
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sation : — la première est le fédéralisme, art et
science
de l’union dans la diversité, donc art et science œcuméniques, univer
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science de l’union dans la diversité, donc art et
science
œcuméniques, universels par excellence ; — et la seconde, c’est la re
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nde, c’est la recherche spirituelle, sans quoi la
science
elle-même s’endort, et la technique tourne en routine, et toutes nos
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evra subsister entre les peuples sera celui de la
Science
: … Grâce à elle, mais à elle seule, les hommes s’uniront de manière
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le favorisera plutôt, car l’enrichissement de la
Science
par la puissance réunie de l’espèce humaine, avance même ces fins ter
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riomphale de la culture européenne, portée par la
Science
et libérée de tout impérialisme… Nous n’en sommes peut-être pas loin
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vers 1800 : ne fut-ce que par la collusion de la
science
et des nationalismes, ces derniers étant doublement liés à la guerre
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nos recherches philosophiques, mais aussi de nos
sciences
exactes. Elle développera dans nos élites intellectuelles le sens cri
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ns critique, et qui a permis le développement des
sciences
exactes, notamment. Voilà qui peut vous paraître banal, à vous Europé
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ffet, du sens de la vérité objective dérivent nos
sciences
et par suite, nos techniques. Et du sens de la responsabilité personn
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bord, ce sont les Européens qui ont développé les
sciences
physiques et naturelles, à un degré littéralement incomparable. Certe
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s l’Europe, ce Laboratoire du Monde, a poussé les
sciences
et les techniques qui en dérivent jusqu’au point où elles permettent
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ue du monde. Et l’on sait le rôle décisif que ces
sciences
ont joué dans l’évolution récente de la sociologie et de la psycholog
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eurs musées, ils ont élaboré les préalables d’une
science
comparée des cultures et des civilisations, des religions et des arts
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notions de personne et de liberté, mais aussi les
sciences
et enfin les machines, si hétérogènes que puissent nous apparaître ce
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ffusion mondiale. On nous répète à satiété que la
science
et la technique sont aujourd’hui des réalités mondiales, et n’apparti
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, mais c’est tout de même l’Europe qui a créé les
sciences
et la technique, dans le contexte de sa culture, grâce aux valeurs et
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acts d’une part entre représentants des arts, des
sciences
et de la sociologie, contacts d’autre part entre les représentants de
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acts d’une part entre représentants des arts, des
sciences
et de la sociologie, contacts d’autre part entre les représentants de
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nos recherches philosophiques, mais aussi de nos
sciences
exactes. Elle développera dans nos élites intellectuelles le sens cri
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ns critique, et qui a permis le développement des
sciences
, notamment. Voilà qui peut paraître banal à un Européen élevé dans le
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bord, ce sont les Européens qui ont développé les
sciences
physiques et naturelles à un degré littéralement incomparable. Certes
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s l’Europe, ce Laboratoire du Monde, a poussé les
sciences
et les techniques qui en dérivent jusqu’au point où elles permettent
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ue du monde. Et l’on sait le rôle décisif que ces
sciences
ont joué dans l’évolution récente de la sociologie et de la psycholog
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continents, ils ont élaboré les préalables d’une
science
comparée des cultures et des civilisations, des religions et des arts
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ussi les voies de l’unité future du genre humain.
Sciences
, physiques, techniques et machines, découverte du globe, histoire, ar
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notions de personne et de liberté, mais aussi les
sciences
et enfin les machines, si hétérogènes que puissent nous apparaître ce
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ffusion mondiale. On nous répète à satiété que la
science
et la technique sont aujourd’hui des réalités mondiales, et n’apparti
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, mais c’est tout de même l’Europe qui a créé les
sciences
et la technique, dans le contexte de sa culture, grâce aux valeurs et
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otre civilisation ? L’hygiène, la technique et la
science
, et une dose de psychanalyse, vont-elles exorciser la société future,
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les sociaux, coutumiers ou sacrés, ont cédé à nos
sciences
, ou c’est tout comme. Qu’en est-il du dernier barrage que notre condi
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plus irrémédiable est dans la mort, et toutes nos
sciences
, ici, se récusent et se taisent. Or c’est ici que la passion mythique
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au fait de la personne. Nulle technique et nulle
science
de l’homme ne peut nous être ici d’aucun secours. Il faut aimer, pour
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ement industriel, c’est la technique, fille de la
science
, et d’une science étroitement liée à toute l’évolution culturelle de
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c’est la technique, fille de la science, et d’une
science
étroitement liée à toute l’évolution culturelle de l’Occident. C’est
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re, dans son ensemble — théologie, philosophie et
science
, poésie et littérature —, a produit la technique occidentale ; et que
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demment piétiste, Euler pensait que ses livres de
science
pure, écrits en latin, ne servaient pas assez directement l’humanité.
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ce sont eux qui créent la culture, les arts, les
sciences
et la littérature. C’est évident. Mais il ne faut pas oublier qu’ils
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raqué par sa vocation. Son père le destinait à la
science
des lois, pour la raison qu’elle enrichit ceux qui la suivent, nous d
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, épuisé de logique, d’horaires tyranniques et de
science
. L’intuition, l’émotion, le sens de l’Arbre animeront un nouvel ordre
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à la technique en passant par la philosophie, les
sciences
, les arts, l’éducation et la morale. L’Europe est très peu de choses
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là : de la recherche pure, de la philosophie, des
sciences
humaines, et surtout de l’éducation. Si les programmes des instituts