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facilite guère l’œuvre d’union… Ainsi jouent les
sophistes
, et le lecteur s’inquiète : il sent vaguement qu’il est en train de s
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re de l’Europe. Je suis très loin de qualifier de
sophistes
ceux qui pensent néanmoins que l’Europe reste à « faire » ; je dis se
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plus grande que je ne pensais. Il regarde comme “
sophistes
” ceux qui disent que l’Europe ne sera pas, si on ne la fait pas être
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être : la plupart des “européens” furent donc des
sophistes
. Guéhenno dirigeait la revue : Europe, il ne pensait pas que l’Europe