1 , au contraire, dans ma campagne, pour obtenir le téléphone  ! Vous me parlez de l’esclavage du téléphone ? Mais a-t-on jamais vu

2 r le téléphone ! Vous me parlez de l’esclavage du téléphone  ? Mais a-t-on jamais vu qu’un appareil, prenant l’initiative, appelle

3 dez à répondre. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone , mais de votre seule curiosité. Le règne des machines, à vous entendr

4 forcez la porte, vous coupez d’abord les fils de téléphone , puis vous arrêtez les agents et ramassez leurs papiers. Compris. Tel

5 il se passait quelque chose, je serais alerté par téléphone . Peu dormi, et levé à six heures. Avant d’entrer à mon bureau, près d

6 a donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de mon beau-frère, M. P., qui est à la Censure. Oui, il y aura des hi

7 à six heures. Je me prépare à sortir. Sonnerie du téléphone . On va me parler de l’E.-M. du Général. — Ici colonel Masson. C’est b

8 ents d’un énorme désastre, incroyable et vrai. Le téléphone m’apporte, heure par heure, les nouvelles de l’action entreprise pour

9 ns sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes téléphones .)40 Le risque individuel prend sa place normale dans le risque collec

10 elques jours plus tard : « Vous êtes imprudent au téléphone . Par bonheur, c’est moi qui suis chargé des rapports d’écoute. J’effa