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ndividuel. Dans cette situation « orientale », la
tendance
individualiste ne pouvait trouver d’exutoire que dans l’aventure myst
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usions tenaces qu’ils prolongeaient et révèle une
tendance
générale au réveil des valeurs de liberté. Première illusion fatalis
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ns, ces dernières permettant de rendre compte des
tendances
plus ou moins égalitaires ou aristocratiques, plus ou moins anarchisa
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eu de « ce qui se passerait si… » Seulement, il a
tendance
à jouer perdant, à préjuger de catastrophes dont rien ne prouve qu’el
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révisions partielles, et la révision générale (de
tendance
un peu plus centralisatrice) opérée en 1874, n’en ont changé depuis p
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, tout ce qui crée, vit et crée en dépit de cette
tendance
vers l’uniformité dont les victoires s’appellent en politique l’État
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t englober dans une seule et même Église les deux
tendances
— anglicans, luthériens de Suède et d’Amérique — ils ouvrent la voie
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rir une prépondérance commerciale, ce qui est une
tendance
dangereuse, mais à rendre la nation entièrement indépendante et auton
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oses et sont attirés par les mêmes buts… ». Cette
tendance
unitive fournit à Fichte le point de départ d’un plan mondial de diff
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us grave : Ceux qui tiennent simplement pour une
tendance
de l’Histoire le fait que les souverainetés nationales vont nous domi
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s. Car ces efforts se sont conjugués avec tant de
tendances
destructives, que si ces dernières prenaient le dessus, c’est la Cult
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mphlets, d’articles, nous accusent tour à tour de
tendances
fascistes, ou marxistes, ou corporatistes. Nos vrais « meneurs de jeu
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onomiques et culturels). En Europe, deux grandes
tendances
s’affrontent, en lieu et place de la droite et de la gauche anciennes
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place de la droite et de la gauche anciennes : la
tendance
fédéraliste, qui défend les autonomies locales et nationales, et la t
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éfend les autonomies locales et nationales, et la
tendance
unitaire ou intégriste, qui pousse à la centralisation et à l’uniform