1
e condamnation globale de l’Occident2. « La nuit,
tous
les chats sont gris », dit le proverbe. Mauvaise formule d’union, qui
2
le système pendant trois millénaires, en dépit de
tous
les efforts des réformateurs religieux, du Bouddha, de l’islam, mais
3
le » de l’Occident. Le symbolisme y dominait dans
tous
les ordres ; les trois grandes castes tendaient à se reformer ; les r
4
ualificatifs que, des présocratiques à nos jours,
tous
les esprits occidentaux nourris de la pensée mystique du Proche-Orien
5
matière », acceptant les passions et les corps à
tous
risques pour l’âme et l’esprit, en a tiré le principe d’une possible
6
te, il paraît difficile de le mettre en doute10 :
tous
les auteurs qui traitent de mon sujet s’accordent au moins sur ce poi
7
s minuscules. La chaussée envahie par la foule en
tous
sens qui entrave en permanence le passage des voitures. Les trottoirs
8
bjet présent que les histoires qu’ils rapportent.
Tous
les deux établissent la même liaison entre le peu de cas fait de la v
9
personne, ou simplement de l’individualité. Pour
tous
les deux, la liberté de l’homme a pour condition la personne. On dira
10
le : le moralisme américain et le bouddhisme zen,
tous
deux antimystiques. Historiquement, la première confrontation s’est v
11
evons qu’Avicenne et le mystique soufi écrivaient
tous
les deux dans cette « circonscription intermédiaire entre l’Orient et
12
allemands philosophes, et poètes, et bien sûr, à
tous
les occultistes européens du Moyen Âge jusqu’à nos jours. 9. Cf. Han
13
SA déjà, en URSS sans hésiter, en Asie au-delà de
tous
les doutes possibles, les Français et les Grecs, les Anglais et les S
14
rmanique, mais celui-ci excluait toute l’Espagne,
tous
les Balkans, toute l’Europe de l’Est. La naissance de l’Europe ne nou
15
le réveil d’un sentiment trop faible encore dans
tous
nos peuples : celui d’appartenir à un ensemble humain plus vaste, plu
16
trèrent en dissidence et se mirent à dénoncer sur
tous
les tons le monde moderne. Pieusement ou rageusement, objectivement o
17
Perse, mais justement il a choisi l’exil en soi.
Tous
les autres sont contre le siècle, d’une manière encore plus évidente,
18
n donc n’est indépendant. Mais ils peuvent l’être
tous
ensemble, et ils commencent à le savoir. 330 millions d’habitants à l
19
Un jour elle fera sauter la terre. J’entends cela
tous
les jours. Qui ne l’a pas dit ? Curieusement, tout est faux dans ce l
20
le problème des loisirs qui s’ouvre largement, et
tous
les problèmes qui en dépendent pour l’éducation des enfants, des adul
21
ue je laisse aux économistes, et aux sociologues,
tous
alertés, au-delà des problèmes classiques de plein-emploi et de temps
22
temps. Tel est le drame. Il intéresse l’avenir de
tous
les peuples de la Terre. Si l’on cherche à se figurer l’aire de diffu
23
selon les pays, et à l’intérieur même de presque
tous
les pays. L’Europe latine, anglo-saxonne et germano-scandinave, conse
24
de toute l’histoire, de toutes les valeurs et de
tous
les produits d’ordres divers qui ont caractérisé notre civilisation,
25
ans le sens de la responsabilité de chacun envers
tous
, ou solidarité ; l’unité, non exclusive de la diversité (ainsi les vo
26
nos principes de vie publique, ils s’inspirèrent
tous
, d’une manière plus ou moins directe ou correcte, de deux valeurs fon
27
pour le pire ; et que cette culture est commune à
tous
les peuples de l’Europe, puisque leurs nations mêmes en sont nées, no
28
aine d’autre part : car confrontés avec le Monde,
tous
les Européens se découvriront frères, et verront mieux leur vocation
29
ssance qu’aux inventions, procédés et systèmes de
tous
ordres directement issus de sa culture et que, par suite, sans la vit
30
e en ralliant les forces vives de la culture dans
tous
nos peuples, et en leur offrant : un lieu de rencontre, des instrumen
31
révèle précisément la communauté de traditions de
tous
nos peuples. Le Rhin serait une frontière naturelle, mais le Danube e
32
es Églises et des cadres de l’État, pour une fois
tous
hostiles à la guerre. Ce grand homme, plein de bon sens dans sa conve
33
lui que Freud écrit prophétiquement, à lui parmi
tous
ses contemporains, à cet homme dont les découvertes ont déjà déclench
34
endemain d’une guerre civile qui en fit éclater à
tous
les yeux la gravité littéralement mortelle. Crise économique tout d’a
35
préparer les affaires, et changeait de résidence
tous
les deux ans.) Les pressions étrangères, venant de la France, de Mett
36
et leur union resserrée, les cantons conservant «
tous
les droits qui ne sont pas expressément cédés au pouvoir fédéral ». L
37
commandants de divisions de l’armée victorieuse ;
tous
hommes d’expérience politique, pas un seul publiciste ou pur intellec
38
nstitution fédérale, et, comme tels, ils exercent
tous
les droits qui ne sont pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. L
39
la Confédération, et donne la formule générale de
tous
les débats qu’y soulèvent les questions politiques, économiques ou cu
40
représentèrent alors les sociétés helvétiques de
tous
ordres, il faut ajouter le rôle accidentel mais très efficace que jou
41
’avoir voulu « réunir comme en un seul grand vase
tous
les peuples du monde entier » et d’avoir « ordonné que tous considère
42
euples du monde entier » et d’avoir « ordonné que
tous
considèrent la Terre comme leur patrie ». De l’esprit de solidarité é
43
ie ». De l’esprit de solidarité évangélique — que
tous
soient un comme les membres variés d’un même corps, participant du mê
44
ne illusion semblable lorsque nous constatons que
tous
les peuples d’une planète entièrement inventoriée adoptent aujourd’hu
45
ïncide cette contagion occidentale accélérée dans
tous
les peuples de Bandung. Désormais délivré de notre impérialisme qui a
46
rsonne ». L’Angleterre est liée aux dominions par
tous
les océans, mais elle est isolée de l’Europe par la Manche. La Suisse
47
e les auteurs que je viens de citer se référaient
tous
au seul destin du monde gréco-romain, le mieux connu. Il se trouve qu
48
e la décadence européenne : et ces prophètes sont
tous
, ou presque tous Européens. Au lieu d’entonner le chant séculaire de
49
ropéenne : et ces prophètes sont tous, ou presque
tous
Européens. Au lieu d’entonner le chant séculaire de la victoire sans
50
cob Burckhardt, de Donoso Cortés à Georges Sorel,
tous
ont décrit depuis cent ans les motifs de craindre le pire pour notre
51
me pour toutes les civilisations et surtout, dans
tous
les temps. Les prophètes de la décadence de l’Occident, Spengler, Val
52
ent leur unité d’une doctrine uniforme, imposée à
tous
par l’État. Comparée à ces deux groupes de cultures homogènes, unifor
53
doxale consistant dans la seule volonté commune à
tous
de refuser l’uniformité. Cependant, cet état de polémique permanente
54
de jouir des droits du citoyen à part entière, et
tous
ces éléments spirituels, juridiques, sociaux ou philosophiques, se co
55
f le plus généralement européen, le plus commun à
tous
les hommes de notre continent, et l’on peut voir en lui le plus proch
56
s inventions de l’Europe. Enfin, pour emmagasiner
tous
les trésors ainsi ramenés du fond des temps et de l’espace, les Europ
57
sociales, son parlementarisme, ses syndicats, et
tous
ses arts et sa philosophie en tant qu’activités profanes, et tous leu
58
sa philosophie en tant qu’activités profanes, et
tous
leurs procédés et un peu de leur logique… Mais l’Europe n’a pas expor
59
s plus grands penseurs ? J’oserai dire contre eux
tous
que je ne le crois nullement, et je vais en donner trois raisons prin
60
bien que nous ne dominons plus politiquement sur
tous
les continents, comme avant 1914, mais nous savons aussi que toutes l
61
urs embarras de circulation. Nous savons bien que
tous
les pays neufs imitent nos parlements, partis et syndicats, et même p
62
e pour pouvoir sinon satisfaire, du moins séduire
tous
les peuples du monde. Nous avons aussi vu qu’elle exporte ses produit
63
hinois, d’une part, et les barbares, c’est-à-dire
tous
les autres, qui n’étaient pas vraiment et complètement humains. Ces t
64
hommes libres, ni hommes ni femmes, car vous êtes
tous
fils de Dieu, vous êtes tous un en Jésus-Christ »), cette conception
65
emmes, car vous êtes tous fils de Dieu, vous êtes
tous
un en Jésus-Christ »), cette conception devait (seule) permettre à ce
66
ceux qu’elle formerait intimement, de considérer
tous
les hommes comme dignes et capables, un jour ou l’autre, de participe
67
giner que la civilisation diffusée par l’Europe à
tous
les peuples puisse s’éclipser ou disparaître, sans entraîner le genre
68
oits de l’Homme, qui définissent aujourd’hui pour
tous
les peuples de Bandung, à peine moins que pour les peuples de l’OTAN,
69
ire des Aztèques et des Incas. Il s’agissait dans
tous
ces cas, de civilisations locales, entourées de « Barbares » mal conn
70
e l’homme chrétien, comme à l’ordre divin : « Que
tous
soient un… » C’est au niveau des hiérarchies ecclésiastiques, par-des
71
érienne, et celles qui sont issues du calvinisme,
tous
les dogmes fondamentaux sur Dieu, le Christ, le Saint-Esprit, l’Incar
72
communément professés ; qu’un même Credo y est lu
tous
les dimanches, le même Évangile annoncé, et le même Notre Père prié ;
73
fidèles ignorent. Que faudrait-il pour rapprocher
tous
ces fidèles, qui ramèneraient ensuite leurs guides à la réalité œcumé
74
intercommunion » des chrétiens : qu’un fidèle, en
tous
lieux et tous temps, n’importe où, dans le monde entier, puisse entre
75
» des chrétiens : qu’un fidèle, en tous lieux et
tous
temps, n’importe où, dans le monde entier, puisse entrer au sanctuair
76
raient qu’ils sont enfin chez eux ! Et je songe à
tous
ceux que laisse insatisfaits la confession dans laquelle ils sont nés
77
volutionnaire : — Notre peuple se distingue entre
tous
par une mission historique d’une portée universelle (Liberté, Progrès
78
cale : La guerre ! La guerre ! tel est le cri de
tous
les patriotes, tel est le vœu de tous les amis de la liberté répandus
79
t le cri de tous les patriotes, tel est le vœu de
tous
les amis de la liberté répandus sur la surface de l’Europe, qui n’att
80
laissons-leur le soin d’examiner l’humanité sous
tous
les rapports : nous ne sommes pas les représentants du genre humain.
81
au profit desquels nous pouvons stipuler. J’aime
tous
les hommes ; j’aime particulièrement tous les hommes libres ; mais j’
82
J’aime tous les hommes ; j’aime particulièrement
tous
les hommes libres ; mais j’aime mieux les hommes libres de la France
83
s j’aime mieux les hommes libres de la France que
tous
les autres hommes de l’univers. Le refus de la formule fédéraliste,
84
le hasard. … Les citoyens d’un même État doivent
tous
trafiquer entre eux. L’Europe chrétienne formant un tout, le commerce
85
quelque avantage en faveur de la fin poursuivie.
Tous
les ans l’importation étrangère doit diminuer. D’une année à l’autre
86
illégitime dans sa prétention à régner au nom de
tous
contre une partie du peuple. Mais l’État-nation exige davantage que l
87
s victimes, enthousiastes et bernées. Ils croient
tous
que nation égale liberté. Ils s’inspirent tous du messianisme de la R
88
nt tous que nation égale liberté. Ils s’inspirent
tous
du messianisme de la Révolution française : libérer sa propre nation
89
, quoique dangereuse de l’évolution historique :
Tous
les peuples de l’Europe et du monde devront traverser cette agonie, p
90
la plus manifeste que l’Europe veut devenir une.
Tous
les hommes un peu profonds et d’esprit large qu’a vus ce siècle ont t
91
omique : les petits États de l’Europe — j’entends
tous
nos empires et États actuels — doivent nécessairement devenir non via
92
dans leurs ambitions. L’Europe n’a pas de chance.
Tous
ses habitants ne peuvent faire que mauvais voisinage. Quand on parle
93
ais dans un cimetière, mais c’est le plus cher de
tous
», toutefois se bornant à grommeler : « L’Europe, ce cimetière… » ; S
94
1804-1805. 30. « On dirait qu’il appelle foyers
tous
les endroits où il a porté le feu », remarque Benjamin Constant. 31.
95
érieure au mouvement spontané de la culture. Nous
tous
, que nous le sachions ou non et que nous l’acceptions ou non, et quel
96
Celte romantique et magique, — et nous descendons
tous
de la plupart d’entre eux, par les coutumes conscientes et inconscien
97
ontestable : le dynamisme européen. Si nous avons
tous
d’abord découvert, puis marqué de notre empreinte le monde entier, no
98
ines et leur discussion millénaire suffisent dans
tous
les cas à rendre compte d’un dynamisme unique et sans rival dans les
99
de jouir des droits du citoyen à part entière, et
tous
ces éléments spirituels, juridiques, subversifs ou philosophiques se
100
f le plus généralement européen, le plus commun à
tous
les hommes de notre continent, et l’on peut voir en lui le plus proch
101
es inventions de l’Europe. Enfin pour emmagasiner
tous
les trésors ainsi ramenés du fond des temps et de l’espace, les Europ
102
et sociales, son parlementarisme, ses syndicats,
tous
ses arts et sa philosophie en tant qu’activité profanes, et tous leur
103
t sa philosophie en tant qu’activité profanes, et
tous
leurs procédés et un peu de leur logique… Mais l’Europe n’a pas expor
104
onnelle densité, je pense répondre à l’attente de
tous
en essayant de reconsidérer la nature, la fonction de notre Congrès e
105
es libertés humaines. On nous demande souvent, de
tous
côtés : Êtes-vous un mouvement politique ? Il me semble que le commen
106
a presse insiste, et les interviewers insistent :
tous
veulent absolument que nous soyons politiques, que nous soyons d’abor
107
érieure au mouvement spontané de la culture. Nous
tous
, que nous le sachions ou non et que nous l’acceptions ou non, et quel
108
Celte romantique et magique — et nous descendons
tous
de la plupart d’entre eux, par les coutumes conscientes et inconscien
109
ines et leur discussion millénaire suffisent dans
tous
les cas à rendre compte d’un dynamisme unique et sans rival dans les
110
e jouir des droits du citoyen à part entière — et
tous
ces éléments spirituels, juridiques, subversifs ou philosophiques se
111
f le plus généralement européen, le plus commun à
tous
les hommes de notre continent, et l’on peut voir en lui le plus proch
112
s inventions de l’Europe. Enfin, pour emmagasiner
tous
les trésors ainsi ramenés du fond des temps et de l’espace, les Europ
113
et sociales, son parlementarisme, ses syndicats,
tous
ses arts et sa philosophie en tant qu’activités profanes, et tous leu
114
sa philosophie en tant qu’activités profanes, et
tous
leurs procédés et un peu de leur logique… Mais l’Europe n’a pas expor
115
structures de la société, et des techniques, que
tous
les autres peuples de la Terre ont adoptées ou s’efforcent d’imiter.
116
nombre aussi grand que possible de donateurs dans
tous
nos pays. La politique adoptée par le Conseil des gouverneurs, duran
117
? Seigneurs et dames ici présents, vous répondez
tous
dans vos cœurs : Rien au monde ne saurait nous plaire davantage. Or,
118
y, mais aussi à jamais adolescent, nous le devons
tous
aux travaux inspirés, et pourtant précis à l’extrême, de quelques-uns
119
— fût-il même le thème exemplaire, l’archétype de
tous
les romans vraiment dignes du nom. Ils sont comme les premières appar
120
la Lumière-de-Gloire restituant toutes choses et
tous
les êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un décor de montagnes
121
deux exceptés (et cela se discuterait) ils furent
tous
, à des titres divers, des hommes utiles, des penseurs engagés, plutôt
122
iques, théologiens et pédagogues, nous les voyons
tous
assumer des devoirs sociaux ou civiques, éducatifs ou spirituels, com
123
t trois faits qui ont l’avantage d’être connus de
tous
. Fait n° 1. Pour la première fois dans l’histoire, une civilisation
124
a revendication parfois bruyante et turbulente de
tous
les pays du tiers-monde, même les plus farouchement hostiles à l’Occi
125
ux et par l’élite de la bourgeoisie, chantent sur
tous
les tons la plainte de l’humanisme opprimé par la technique, et prédi
126
e invente pour des motifs utilitaires. Et presque
tous
les historiens de la technique répètent jusqu’à nos jours que les gra
127
du vol d’Icare est le récit d’un rêve que presque
tous
les hommes ont fait une nuit ou l’autre, y compris Léonard de Vinci.
128
s astronautes quittèrent la Terre. Mais vous êtes
tous
témoins qu’il n’en est rien. C’est la nature de nos rêves constants q
129
t l’envahissement de notre vie par la machine. Et
tous
nos grands penseurs de se lamenter sur le déclin des valeurs spiritue
130
e culture générale. Les plus grands inventeurs de
tous
les temps n’ont pas été des techniciens au sens étroit, mais des poèt
131
e occidentale est mise à la portée instantanée de
tous
les amateurs de musique, et le nombre de ces amateurs est en même tem
132
ssistance éducatrice et culturelle, sans laquelle
tous
nos dons, même désintéressés, ne créeront outre-mer que le chaos, et
133
sez riche et assez souple pour servir de modèle à
tous
les hommes. Il appartient donc conjointement à la culture et à l’écon
134
les, la bêtise vaniteuse, les calculs dérisoires.
Tous
les projets humains, désirs et décisions évoluaient à ses yeux, comme
135
Or, je fus tout ébahi que devant que l’an passât,
tous
ceux qui avaient quelque désir de la pure doctrine se rangeaient à mo
136
et non seulement pour notre Fondation, mais pour
tous
ceux qui ont travaillé depuis longtemps à faire l’Europe, chacun dans
137
op longtemps divisées entre une vingtaine d’États
tous
trop petits désormais pour se suffire. Tel étant le problème véritabl
138
pose à l’union nécessaire, admise et réclamée par
tous
les bons économistes. Or cette attitude politique, ce tabou de la sou
139
ers, mais voilà six-cents ans qu’elle échoue dans
tous
ses efforts vers l’union. Les uns et les autres ont raison, en ce sen
140
quiesce. Je poursuis : « Une action qui réunirait
tous
les groupements organisés en Suisse, mais en dehors des partis politi
141
eurs. Quelques camions ont passé sous la fenêtre,
tous
feux éteints, montant lentement vers le Gurten. Pas d’autre bruit. Me
142
on du mouvement de résistance à tout prix, contre
tous
les défaitismes et opportunismes économiques et politiques. (En Suiss
143
blient donc leurs divisions partisanes. Venus de
tous
les points de l’horizon politique, décidés à faire converger nos effo
144
es, le Gothard est le grand symbole autour duquel
tous
les Confédérés peuvent s’unir dans leurs diversités… Nous n’avons qu’
145
utobus, trois journaux du matin et de la veille :
tous
les trois consacraient leur éditorial au programme de la Ligue. Les n
146
se, que le 25 juillet, le général Guisan convoqua
tous
les officiers supérieurs de l’armée sur la prairie du Grütli pour leu
147
la presse de l’époque, on s’aperçoit que presque
tous
ces phénomènes avaient été prévus par des esprits lucides, quoique ju
148
conde hypothèse, l’Europe de 1980 est redevenue à
tous
égards le centre du monde humain. Les géographes ont démontré depuis
149
nent européen est devenu Mégalopolis : une maison
tous
les cent mètres en moyenne, à quelque distance des autoroutes à six p
150
lui offre une production massive de spectacles de
tous
ordres, de magazines et de livres, de films et de disques, de cours s
151
t de livres, de films et de disques, de cours sur
tous
les sujets, de voyages, de manifestations sportives, etc. Le règne de
152
nsistance simultanée sur la culture générale pour
tous
(studium generale) et sur les recherches spécialisées poursuivies en
153
nner le rythme de l’innovation à tout hasard et à
tous
risques. Bref, les inventions les plus remarquables et « inouïes » so
154
aire — donc une limite, un centre ou un passage :
tous
ces accidents naturels peuvent servir de prétexte à une concentration