1 ce visant à assurer leur sécurité collective et à unifier quelque peu leur politique étrangère. La formule du Pacte de 1291, bi

2 ait voir surgir deux nouvelles grandes puissances unifiées , aux portes mêmes de la Suisse : l’Italie et l’Allemagne. Le problème

3 r la matière, mais à l’humanité tout entière de s’ unifier ou de se détruire, ou de se transformer demain radicalement, et d’une

4 Une fédération des Églises, plutôt qu’une Église unifiée  : voilà qui m’apparaît l’objectif raisonnable du grand élan œcuméniqu

5 crée par la révolution industrielle les moyens d’ unifier l’humanité, et qui, en attendant, achève de la subjuguer par les arme

6 r la matière, mais à l’humanité tout entière de s’ unifier ou de se détruire, ou de se transformer demain radicalement, et d’une

7 r la matière, mais à l’humanité tout entière de s’ unifier ou de se détruire, ou de se transformer demain radicalement, et d’une

8 te, elle « rendrait » matériellement. Elle serait unifiée mais ne serait plus l’Europe. Aux seconds, vous direz : votre Europe

9 tés détruit l’Europe matériellement. Vouloir nous unifier dans un cadre rigide détruit l’Europe spirituellement. Le combat sur

10 ulture ne l’animent pas, une Europe techniquement unifiée ne sera jamais qu’une coque vide. L’apport vital des forces culturel