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les minimiser, ce serait perdre d’avance les deux
vertus
majeures qui dénotent une union véritable : à savoir sa fécondité et
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qu’elles définissent et qu’elles propagent, leurs
vertus
créatrices, leurs mesures et leur sens. La machine passe généralement
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ecret de notre ordre et aussi de notre désordre ;
vertu
de notre foi, et aussi de notre inquiétude, inséparable de la conditi
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mais aussi de notre désordre ; pas seulement les
vertus
de notre foi, mais aussi de notre inquiétude, inséparable de la condi
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à développer ce que je voudrais appeler les trois
vertus
cardinales de l’Europe : le sens de la vérité objective, le sens de l
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personnelle, et le sens de la liberté. Ces trois
vertus
se conditionnent et s’impliquent mutuellement en Europe. En revanche,
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voudrais maintenant définir brièvement ces trois
vertus
et ce ne sera pas dans un esprit d’orgueil occidental, mais avec le s
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mieux d’autres cultures, qui ont, elles, d’autres
vertus
. Le sens de la vérité objective nous vient sans doute des Grecs, eux-
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mé. Si j’ai cru bon de mettre en valeur ces trois
vertus
cardinales de l’Europe, ce n’est pas seulement parce qu’elles permett
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titutions : et enfin, de la combinaison des trois
vertus
résulte notre dynamisme irrépressible. Si nous avons tout d’abord déc
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à développer ce que je voudrais appeler les trois
vertus
cardinales de l’Europe : le sens de la vérité objective, le sens de l
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personnelle, et le sens de la liberté. Ces trois
vertus
se conditionnent et s’impliquent mutuellement en Europe. En revanche,
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mé. Si j’ai cru bon de mettre en valeur ces trois
vertus
cardinales de l’Europe, ce n’est pas seulement parce qu’elles permett
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tions. Non, ce n’est pas par hasard mais c’est en
vertu
même de cette dialectique infinie et toujours ouverte que je décrivai
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t toujours ouverte que je décrivais plus haut, en
vertu
même de cette séculaire discussion et dissension entre nos origines m
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contexte de sa culture, grâce aux valeurs et aux
vertus
de cette culture. C’est un fait que l’Europe a répandu sur toute la t
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à développer ce que je voudrais appeler les trois
vertus
cardinales de l’Europe : le sens de la vérité objective, le sens de l
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personnelle, et le sens de la liberté. Ces trois
vertus
se conditionnent et s’impliquent mutuellement en Europe. En revanche,
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relatives à l’origine de nos diversités et de nos
vertus
cardinales, paraîtront peut-être un peu abstraites. Il est temps que
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tions. Non, ce n’est pas par hasard mais c’est en
vertu
même de cette dialectique infinie et toujours ouverte que je décrivai
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crivais dans la première partie de mon exposé, en
vertu
même de cette séculaire discussion et dissension entre nos origines m
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contexte de sa culture, grâce aux valeurs et aux
vertus
de cette culture. C’est un fait que l’Europe a répandu sur toute la t
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tre magique de la Reine, du « vin herbé » dont la
vertu
jadis fut mortelle aux amants séparés, mais fut aussi transfigurante.
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able sur la littérature française, encore que les
vertus
de clarté, de mesure, de propriété dans les termes et de rigueur dans
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ent l’appeler et le réalise à jamais. Toutes les
vertus
de son style découlent de cette tension instaurée par sa vocation ; c
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erté ? Oui certes, dans la mesure où par la seule
vertu
de la vocation qu’il portait, il fut l’incarnation de l’autorité ; et