1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 pas de dialogue possible, ni d’appel, ni donc de vocation , ni par suite de personne. De là découle un monde de conséquences pré
2 ividuelle » (Svadharma) semble rappeler l’idée de vocation personnelle, tandis que nous inventons le collectivisme… Et l’on aura
2 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
3 er le sens de l’Histoire, alibi du refus de notre vocation  ; apprenons à le décider. Troisième illusion fataliste : « Nous allo
3 1957, Articles divers (1957-1962). La fin justifie les moyens (9 juin 1957)
4 ges : l’un qui établira une sorte de morale de la vocation , c’est-à-dire prouvera que la fin justifie les moyens. À condition qu
5 ond ouvrage essaiera de situer cette morale de la vocation dans la vie sociale. C’est, dit Rougemont, une question de feux rouge
4 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
6 lia par la suite indissolublement à la notion de vocation personnelle. C’est de la conjonction séculaire de ces valeurs grecque
5 1958, Articles divers (1957-1962). Demain l’Europe sans frontières ?[préface] (1958)
7 doute à la rendre capable d’exercer à nouveau sa vocation mondiale. 18. Voir en particulier : Promesses du Marché commun pa
6 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
8 s les transformations du monde au xxe siècle, sa vocation , et son avenir si elle s’unit. 3° Créer des instruments de coopératio
9 ens se découvriront frères, et verront mieux leur vocation commune. ⁂ Solutions dispersées, besoins communs Qu’a-t-on fait
10 x pour définir ses intérêts vitaux et affirmer sa vocation dans le monde actuel. Les politiques étrangères menées par ses nation
11 présentent au nom de l’Europe entière, sûre de sa vocation , donc ouverte à l’avenir. 19. On parle 6 langues en France, 4 en S
7 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
12 nature et de transcender son destin au nom d’une vocation universelle. Qu’est-ce en somme que la Renaissance ? Sinon le moment
13 use et commerçante par nécessité, spirituelle par vocation , puis unifiante. L’Europe n’a pas seulement découvert le monde : elle
14 variétés continentales. Ne parlons pas ici d’une vocation de l’Europe ; il ne s’agit que d’une nécessité, qui n’en dicte pas mo
15 sa force principale : l’indiscipline foncière des vocations personnelles et communautaires. C’est de l’ensemble des tensions vala
16 Ou plutôt ses idées sur l’homme, son destin ou sa vocation , car l’Europe justement, seule encore dans l’histoire, a su devenir u
8 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
17 tre aveuglement sur nos propres pouvoirs et notre vocation . Aux yeux du monde, il n’y a qu’un seul péril sérieux : le péril blan
18 nt, c’est ce que nous opposons nous-mêmes à notre vocation universaliste : je nommerai le nationalisme et la superstition matéri
19 me d’asthénie du spirituel. C’est dire que notre vocation est désormais de présenter au monde qui nous imite, mais d’illustrer
20 seule, en faisant le monde, accomplira sa propre vocation . o. Rougemont Denis de, « Éclipse ou disparition d’une civilisati
9 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
21 andale spirituel, la preuve d’une infidélité à la vocation même de l’homme chrétien, comme à l’ordre divin : « Que tous soient u
22 e demande l’union, ce n’est jamais aux dépens des vocations diverses, dont nulle instance humaine n’est juge en dernier ressort.
23 glise a son Ange, selon l’Apocalypse, et c’est sa vocation distincte. « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. »
10 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
24 Nous assistons au transfert décisif de l’idée de vocation , passant des personnes aux nations. II. nation et Liberté, ou le g
25 ssage à l’Europe, cette « transfiguration » d’une vocation nationale dont rêvaient Hugo pour la France et Mazzini pour l’Italie 
26 , confère à ces régions centrales du Continent la vocation d’unir l’Europe sur le modèle fédéraliste : respectueux des diversité
27 ’Europe et de s’y fondre, accomplissant ainsi une vocation nationale, au meilleur sens du terme, mais de portée universelle ? No
11 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
28 le préparait seulement… Rejoignant enfin sa vraie vocation , peut-être, il venait de donner les témoignages d’une soudaine maîtri
12 1962, Articles divers (1957-1962). Jonas [préface] (1962)
29 le préparait seulement… Rejoignant enfin sa vraie vocation , peut-être, il venait de donner les témoignages d’une soudaine maîtri
13 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
30 use qui transcende l’auteur. Homme traqué par sa vocation . Son père le destinait à la science des lois, pour la raison qu’elle
31 e. Peut-il se croire « en liberté et quitte de sa vocation  » ? Déjà Bucer exige sa présence à Strasbourg « usant d’une semblable
32 in, nom de sa personne dans l’Histoire. Suivre sa vocation , au contraire de ce qu’on croit, n’est pas suivre sa pente (même en l
33 style découlent de cette tension instaurée par sa vocation  ; comme aussi ses défauts, à notre goût du jour. Il est moins séduisa
34 ertes, dans la mesure où par la seule vertu de la vocation qu’il portait, il fut l’incarnation de l’autorité ; et dans la mesure
14 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
35 diversités, — voilà la tâche de la culture et sa vocation prospective. Il n’y aurait pas d’Europe sans tout ce que la culture
36 ntégrées à la manière de vivre européenne et à la vocation fédéraliste de l’Europe. Contre la volonté de leurs initiateurs, elle