1 ve de la même mentalité que le totalitarisme, à l’ échelle nationale. Il traduit le même manque d’imagination, de vitalité, de s

2 x divers stades d’une intégration progressive à l’ échelle européenne. Problème préfédéraliste, à parler rigoureusement, mais pr

3 ormée, germanique, italienne ou française — à une échelle européenne. Toutes nos gloires sont européennes, non seulement par le

4 ève de la même mentalité que le totalitarisme à l’ échelle nationale. Il traduit le même manque d’imagination, de vitalité, de s

5 opres responsabilités, et donc d’actualiser à son échelle sa volonté de puissance personnelle. Parmi les hommes que le souci de

6 iles à transposer dans l’actualité immédiate, à l’ échelle des nations européennes. Premier principe. Une fédération ne peut na

7 es des tâches mécanisables ; b) de manifester à l’ échelle mondiale la vocation générale des Européens, c’est-à-dire de donner u

8 manifester la vocation générale des Européens à l’ échelle mondiale : droit à l’Union. L’Europe fédérée se présente, en conséque

9 inent, et les échanges toujours plus intenses à l’ échelle mondiale. Ce processus dans lequel la fédération joue un rôle d’inter

10 ion, de répartition intérieure, et d’échanges à l’ échelle mondiale. Elle soutient et harmonise les plans d’aménagement du terr

11 es transports, les postes, les grands travaux à l’ échelle continentale (autoroutes, canaux, centrales d’énergie atomique notamm

12 à l’écart des luttes politiques qui se jouent à l’ échelle du continent. Ces conditions idéales se trouvent réunies par la Suiss

13 préfigure le régime qui triomphera, en 1848, à l’ échelle suisse : « La variété, c’est de l’organisation : l’uniformité, c’est

14 e à l’Europe. Aux deux solutions en présence, à l’ échelle du continent : sacrifier les patries à l’union, ou sacrifier l’union

15 marquablement positive et tellement opportune à l’ échelle mondiale ? Pourquoi cette timidité ? L’histoire n’est pas faite par d

16 endu leur emploi pratiquement impossible à grande échelle , depuis près d’une vingtaine d’années. L’immense utilité de la bombe

17 s recettes du bonheur suisse sont applicables à l’ échelle de l’Europe. En effet, si le problème européen est d’accorder quelque

18 son sérieuse qui empêcherait qu’on l’applique à l’ échelle continentale. On me dira : la Suisse est petite, l’Europe est vaste e

19 égions supranationaux, de conventions passées à l’ échelle mondiale ; c) Problèmes sociaux, démographiques et culturels, en tant

20 rands. Ils sont trop petits si on les regarde à l’ échelle mondiale. Ils sont trop grands si l’on en juge par leur incapacité d’

21 is seuls vrais grands. Ils sont trop petits « à l’ échelle des moyens techniques modernes, à la mesure de l’Amérique et de la Ru

22 etits, les États-nations devraient se fédérer à l’ échelle continentale ; et parce qu’ils sont trop grands, ils devraient se féd

23 position pure et simple de notre fédéralisme, à l’ échelle du continent. Car ce fédéralisme date un peu : c’est un fédéralisme d

24 s-nations n’ont plus d’autres pouvoirs réels, à l’ échelle de l’Europe et du monde, que négatifs. Ils peuvent encore soit refuse

25 prospérité économique, et pour jouer un rôle à l’ échelle mondiale ; trop grands pour animer toutes les parties de leur territo

26 préconise et qui n’est que la transposition à une échelle géante de la Confédération helvétique. Je ne souhaite ni une agglomér