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aucoup plus vastes. Par ses allégeances civiques,
économiques
et sociales, il se rattache à sa commune, à son canton, à la Confédér
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ul enthousiasme des militants ? Question globale,
économique
et politique au premier chef, elle implique en réalité, quantité de p
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d’assurer à lui seul sa défense et sa prospérité
économique
; ni de poursuivre une politique étrangère autonome. Que deviennent,
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réalisations se limitent comme on sait au domaine
économique
, CECA dès 1953, Marché commun et Euratom dès 1959. Les États, les ser
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ns notre civilisation moderne, une transformation
économique
de quelque envergure ne saurait être limitée au domaine purement écon
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rgure ne saurait être limitée au domaine purement
économique
, comme on disait naguère. D’une part, le social est inséparable de l’
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guère. D’une part, le social est inséparable de l’
économique
, d’autre part, l’économie commande les armements, surtout au prix où
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gies nationales et des doctrines. Créer une union
économique
, même restreinte à quelques pays pour commencer, c’est virtuellement
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res solutions expérimentales et concrètes au plan
économique
, ayant par là même alerté les intérêts et l’opinion, elle débouche en
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nt impraticable ou très onéreux, sur les réalités
économiques
déjà créées ou modifiées par le Marché commun. D’autre part, elle se
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t méthodes de l’intégration déjà réalisée au plan
économique
par le Marché commun ? Voilà qui paraît difficile. En effet, le trait
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ettre d’opérer un jour ou l’autre ce passage de l’
économique
au politique. Ni cette déclaration, ni le traité lui-même, ne fournis
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ur le type de régime politique dont l’intégration
économique
pourrait être la préfigure, ou l’amorce. Ce régime serait-il interéta
14
nt dans les processus de décision des Communautés
économiques
, serait celle des trois solutions qui aurait le moins de chances dans
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elles et grâce auxquelles se développe ce contenu
économique
, et il montrera dans quelle mesure ces structures tendent ou non à se
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erons aussi dans quelle mesure les préoccupations
économiques
, totalement absentes des plans du xive siècle, apparaissent avec les
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d’un parti, d’un pouvoir clérical, politique, ou
économique
. Il est donc le contraire absolu de tout régime totalitaire de tout o
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tivités dont ils s’occupent, pour les rendre plus
économiques
ou plus rentables. Mais la culture vivante vit d’imprudence, et prosp
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e refuser de la faire participer à une prospérité
économique
sans précédent. Nos raisons d’être et de rester Suisses ne sont pas d
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être et de rester Suisses ne sont pas des raisons
économiques
. Le fédéralisme, j’ai tenté de vous le montrer une fois de plus, vit
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et hétéroclites que sont les nations, les régions
économiques
, les unités culturelles, religieuses, linguistiques, les traditions p
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complexités culturelles, psychologiques, et même
économiques
, telle est la santé du régime fédéraliste. Et ses pires ennemis sont
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toutes sortes de manières. Ici, c’est une entente
économique
, là c’est une parenté culturelle qui s’affirme. Ici, ce sont deux égl
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r de l’opinion publique et de groupes de pression
économiques
ou idéologiques, amèneront quelques parlements à soutenir des projets
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emps, la reconnaissance des capacités politiques,
économiques
et culturelles ménagées par l’union virtuelle, ont réussi à provoquer
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eur de la paix.) La vocation culturelle, sociale,
économique
et politique de l’ensemble européen s’exprime désormais par des décis
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t l’objet des discussions politiques, juridiques,
économiques
et culturelles les plus vivantes et les plus difficiles, à l’intérieu
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nstaurer entre les Six (effacement des frontières
économiques
), certains dynamismes nouveaux se trouveront libérés. D’autant plus l
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s réalités régionales. La notion de « métropole »
économique
et culturelle prendra forme. Des reliefs nouveaux, comparables à des
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l, provoquent la naissance de complexes à la fois
économiques
et culturels qui ne recouvrent pas nécessairement les anciennes provi
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ns qui ne sont pas du ressort fédéral. (Relations
économiques
et commerciales, dans la mesure compatible avec les plans fédéraux ;
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droit » de recourir à la guerre. Dans le domaine
économique
, les attributions du pouvoir fédéral sont déterminées en fonction de
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stre de l’Économie fédérale préside la commission
économique
, prolongement de la commission du Marché commun. Le ministre des Rela
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ui dans les processus de décision des Communautés
économiques
européennes. La rencontre de cette vieille tradition, rénovée au xixe
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ipales méthodes d’union possibles : — unification
économique
transposée au plan politique, — alliance d’États souverains, — fédéra
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e la conjoncture présente : nécessité d’une union
économique
amorcée par celle des Six ; pression du tiers-monde, qui exige l’aide
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nombreux politiciens et journalistes. Arguments
économiques
. — La Suisse a très bien réussi jusqu’ici sans subordonner son économ
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prof. Henri Miéville16). Adhérer au Marché commun
économique
en refusant son « prolongement politique » — pour rester neutres à to
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er 1961). « La situation internationale actuelle,
économique
, politique et militaire a, en fait, complètement transformé le sens,
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nvoie au groupe d’arguments précédent. Arguments
économiques
. — La Suisse est située au cœur du Marché commun. Ce n’est évidemment
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bre 1962. 18. Cf. Paul Guggenheim, Organisations
économiques
supranationales, indépendance et neutralité de la Suisse, Bâle, Socié
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ue a créé des réseaux si serrés d’interdépendance
économique
et industrielle, qu’un conflit armé entre deux de nos nations paraît
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e si longtemps admise sur l’origine utilitaire ou
économique
de la technique, aux premiers âges de l’homme, est aujourd’hui abando
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’ouvre l’ère des réalisations. En dépit de succès
économiques
certains, c’est aussi l’ère de la rapide dégradation de l’idéal fédér
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udemment mis au point d’union douanière (même pas
économique
) entre six pays seulement sur les vingt-cinq qui composent l’Europe.
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ropoles, auront pris en réalité plus d’importance
économique
et culturelle que les capitales anciennes, la révolution régionaliste
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, limitées à une partie seulement du seul domaine
économique
, dans un tiers ou un quart de nos pays. Dans l’un des derniers ouvrag
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s différents, et que nous y tenons ; b) Problèmes
économiques
, en tant qu’ils relèvent de l’initiative privée, de la commune, de la
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morbide de l’État-nation aux réalités politiques,
économiques
, techniques et démographiques de notre temps. Ils ne me semblent pas
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astiques, scolaires, universitaires, et plus tard
économiques
, sous l’hégémonie d’une seule ethnie. Modèle monstrueux, si l’on y ré
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deux grands. Ils sont trop petits dans le domaine
économique
pour répondre au « défi américain » — cela n’a plus à être démontré28
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out pour résister à la satellisation politique ou
économique
. Mais en même temps, les États-nations unitaires sont tous trop grand
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des frontières d’état civil imposées aux réalités
économiques
, les régions vont très rapidement se dessiner, s’organiser et s’affir
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t pris en fait (sinon en droit) plus d’importance
économique
et culturelle que les capitales anciennes, la révolution régionale se
55
ux travaux du colloque de Bruxelles : L’activité
économique
suscite dans l’espace des formes de polarisation qui naissent de rela
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terdépendance et de complémentarité géographique,
économique
et sociale […] un certain nombre d’unités territoriales réunissant de
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e d’unités territoriales réunissant des activités
économiques
complémentaires et fortement liées, gravitant autour de centres urbai
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urbains où se localisent d’importantes fonctions
économiques
, en particulier les fonctions de décisions. En outre, ces centres jou
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petites, le nombre et l’importance des fonctions
économiques
et sociales diminuent dans l’unité territoriale considérée, de sorte
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is Armand remarque que « la notion d’indépendance
économique
a changé complètement de contenu. Le mot “indépendance” a perdu son s
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même cadre : culture, ethnie, religion, existence
économique
, loyauté envers le Prince maître de tout, et d’autant plus qu’il deve
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es avantages du petit État (culturels, ethniques,
économiques
, civiques) qu’avaient effacés nos nations écrasant toute diversité, e
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et leur hinterland en venaient à nouer des liens
économiques
et sociaux avec les pays voisins, à s’intégrer dans des régions polyn
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D’autres diront les apports politiques, sociaux,
économiques
et culturels de ce congrès sans précédent : je ne voudrais évoquer ic
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pour assurer seuls leur défense, leur prospérité
économique
, et pour jouer un rôle à l’échelle mondiale ; trop grands pour animer
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les militants. Ce qu’il a initié dans le domaine
économique
et mis sur pied dans le domaine culturel, par exemple, peut être attr
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leur langue, de leurs coutumes, ou des nécessités
économiques
nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la Bretagne, les Flandres ou
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isés — se révèlent trop grands pour animer la vie
économique
, culturelle et surtout civique de leurs régions : celles-ci se senten
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quelles ne peuvent répondre que de grands espaces
économiques
constitués à la mesure des possibilités et des besoins de l’ère scien
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ilités de participation (civique, intellectuelle,
économique
), efficacité, économie des moyens. Enfin, troisième étape, une fois d
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défense, les affaires étrangères et la politique
économique
ou certaines recherches scientifiques) sans léser les droits essentie
72
emagne. Cette regio est une unité essentiellement
économique
. Si une région se constitue vraiment et solidement, comme le veulent
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es qui sont des réalités techniques, culturelles,
économiques
, linguistiques, universitaires, finalement politiques. Les dimensions
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ment hétérogènes, comme les réalités culturelles,
économiques
, du sous-sol et de l’état civil ou de la langue qu’on parle, et qui a
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e se tient pas ! La Bretagne n’est pas une entité
économique
viable. Et qui parle breton à Rennes ? Les ethnies et les économies n
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maines (spirituelles et physiques, culturelles et
économiques
) à une seule et unique surface géographique déclarée « sol sacré de l
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ant dans tous les domaines clés : le politique, l’
économique
, le social et le culturel — aurait sans doute plus de chances de favo
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re des réseaux d’échange et groupes de production
économiques
, ni des institutions sociales et culturelles. 2° Les modules ou unité
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cipe, superposables aux modules ou unités de base
économiques
(ou culturelles) et à leurs structures propres : les uns et les autre
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n comme les intersections de « classes » de faits
économiques
, ethniques, sociaux et culturels d’aires différentes, définissant des
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rait empêcher les citoyens, habitant cette région
économique
, de continuer à se rattacher politiquement à l’une des trois nations
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Le Marché commun, par exemple, qui est un pouvoir
économique
, doit-il entretenir des visées politiques, ou laisser cela à des orga
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politique ; non exclusifs, bien entendu, de liens
économiques
, sociaux ou culturels noués ailleurs. d) Voilà qui nous donnera, san
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is, en tant qu’entités politiques, des « droits »
économiques
qu’ils s’arrogent en barons pillards ; et tant qu’il n’y aura pas, au
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s différemment suivant qu’il s’agirait de régions
économiques
, politiques, culturelles. Cela paraît certes compliqué, mais le probl
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des réalités religieuses, politiques, monétaires,
économiques
, d’état civil, commerciales, tout ce que vous voulez — on met tout ça
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le plan de l’unification européenne, des efforts
économiques
qui étaient faits à Luxembourg par Jean Monnet, et des efforts politi
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sacre à des études d’intérêt largement européen :
économiques
, politiques, culturelles. Depuis la fondation de ces centres, est-ce