1 ar son allégeance religieuse, à la Réforme ou à l’ Église catholique, qui sont mondiales ; par sa langue, au domaine français,

2 Inde qu’il trouvera des commandes pour bâtir une église de Ronchamps ou une capitale — et c’est le cas de Le Corbusier, père

3 renté culturelle qui s’affirme. Ici, ce sont deux églises de confessions voisines qui s’ouvrent l’une à l’autre, et là ce sont

4 l s’agisse de savants, de festivals de musique, d’ Églises , de firmes, de syndicats, de sports, coopère, se fédère ou s’unit en

5 eurs hérétiques, ce que ne peuvent plus faire les Églises , Dieu merci. L’État-nation centralisé et unifié s’arroge ainsi tous l

6 ions unies et l’Unesco, le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais en sens inverse, un phénomène tout

7 lier des confessions distinctes dans l’unité de l’ Église , c’est-à-dire, en dernière analyse, des vocations particulières au se

8 es bâtiments symboliques de la vie communautaire, églises , mairie, marchés, cafés, lieu de rencontres, d’intrigues, de flirts,

9 rois armées. On les entasse par milliers dans les églises , le cloître et la caserne, les maisons et les places, et finalement s

10 enses champs, un joli village avec une place, une église , des cafés… C’est ce qui a été fait à Meyrin et Meyrin est vivant à c

11 selon les régimes, mais toujours contribuables. L’ Église n’a plus le droit de brûler ses hérétiques, mais l’État a le devoir d

12 orables au « mariage-maquette » ? Ils ont tort. L’ Église leur donne l’exemple en exigeant avant l’entrée en religion plusieurs