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caserne de Fribourg, nous savions que la première
étape
serait de 25 kilomètres, et devait nous porter d’un bond jusqu’au lac
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lèverait sur le Valais, et ce serait la dernière
étape
, une longue dégringolade de deux-mille mètres à travers les alpages d
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au bord de l’eau, marquait la fin de la première
étape
. Nous nous assîmes devant une collation — pain, beurre, confiture et
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acilité avec laquelle nous venions de couvrir une
étape
de 25 kilomètres. Mais à son tour, cet entraînement n’avait été reçu
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irs, je me laisse aller à comparer notre première
étape
à la Jeunesse. Car la vraie force d’un homme jeune ne vient-elle pas
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nse que la plupart auraient flanché pendant cette
étape
nocturne. De fait, nous approchions du village de la Lenk, signalé pa
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hôtel vide nous accueillit. Après la collation d’
étape
posée devant nous par des servantes ensommeillées — il devait être pl
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e courante, nomment un break-down. Si la première
étape
de la grande course m’avait donné une recette de succès, au sens le m
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gaire du terme, l’échec accidentel de la dernière
étape
m’en fournissait la nécessaire contrepartie : il m’apprenait que pour