1
, et je cite : Fédéralisme. En 1792 et 1793, on
accusa
les girondins de vouloir substituer à l’unité nationale le fédéralism
2
, ils partageront notre stupeur. M. Chiti-Batelli
accuse
le CEC d’un « défaut capital d’esprit critique » qui « vicie » ses tr
3
pratique qu’à une union trop faible mais bientôt
accusée
d’oppression par ses membres, et à des droits trop limités mais taxés
4
x machines qu’elle s’est construites mais qu’elle
accuse
ensuite de l’asservir, cette mauvaise foi trahissant à vrai dire un m
5
a responsabilité. Mais la personne démissionnaire
accuse
les mécanismes, ces objets, et les doue des pouvoirs de sujets qu’ell
6
nt, ils piétinent dans l’ombre ; il leur arrive d’
accuser
de sabotage ceux qui demandent : « Quelle Europe voulez-vous ? Qu’on
7
izarre qu’un porte-parole des industriels suisses
accuse
la « politique d’unification » de vouloir « mêler les peuples d’Europ
8
ées par l’État, ses bureaux ou sa capitale et les
accusent
de colonialisme. Il est certain que la prétention à une politique ind
9
i. Et il est nécessaire d’en avoir un, de pouvoir
accuser
le sort, puisque la passion sera forcément malheureuse. Le défi se