1 confusion. Si l’on examine son vocabulaire, on s’ aperçoit qu’il utilise à peu près au petit bonheur les termes d’union et d’uni

2 politique. Finalement, si l’on y réfléchit, on s’ aperçoit que la politique fédéraliste n’est rien d’autre que la politique par

3 s’opposer aux intérêts de l’Europe entière, on s’ apercevra qu’elle a perdu ses bases contractuelles. Déclarer par exemple que la

4 te, et pourvu de son mode d’emploi ; et puis on s’ aperçoit en vivant cela de près que tout repose en réalité sur un tissu serré

5 ème de la régionalisation du territoire. On s’est aperçu que ce sous-développement provenait directement de la structure de l’

6 es États-nations constitués au xixe siècle. On s’ aperçoit alors que le fédéralisme politique (intra ou interétatique), seul pri

7 ’autre d’un idéal qui n’existe pas — et l’on s’en aperçoit très vite — alors que le vrai amour est agent de personnalisation par